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Une nouvelle expérience théâtrale torontoise se trouve au carrefour de la rue Yonge et de l’avenue Castlefield. L’important promoteur immobilier Madison Group, en collaboration avec Westdale Properties, plante le décor d’un projet d’habitations en copropriété haut de gamme qui donnera l’impression à tous ses résidents d’être des vedettes. Les Capitol Residences s’élèveront à l’emplacement de l’illustre Capitol Theatre, qui a su émerveiller les spectateurs de 1914 à 1998.

 

Le rideau se lève sur un nouvel acte

Au sommet de sa gloire, et plus particulièrement pendant la Grande Dépression des années 1930, le Capitol Theatre faisait rêver les spectateurs par sa programmation exceptionnelle. Pendant près d’un siècle, la scène et l’écran accueillaient des films et de représentations comme Wings of the Morning (La Baie du destin) et Jane Eyre.

 

« Au cours du dernier siècle, le Capitol Theatre était un lieu incontournable de la scène du spectacle de Toronto. Nous sommes honorés de donner une nouvelle vie à cet endroit historique en inaugurant ces résidences homonymes », se réjouit Josh Zagdanski, vice-président des immeubles de grande hauteur du Madison Group. « Ce projet de taille intermédiaire mettra en scène l’ambiance nostalgique de l’architecture d’origine, mais avec une touche de modernité. Tout comme le Capitol Theatre a été une source de joie et de divertissement dans la ville, les Capitol Residences ramèneront de l’animation dans le quartier. »

 

© Binyan Studios

« Au cours du dernier siècle, le Capitol Theatre était un lieu incontournable de la scène du spectacle de Toronto. Nous sommes honorés de donner une nouvelle vie à cet endroit historique. » – Josh Zagdanski, vice-président des immeubles de grande hauteur du Madison Group

Mise en scène

Les résidents auront le choix parmi 145 unités dont les surfaces d’habitations d’une, deux ou trois chambres varient de 425 à 1950 pieds carrés, à partir d’un peu moins d’un million de dollars.

 

Les équipes primées des firmes d’architectes Hariri Pontarini Architects et Turner Fleischer Architects ont suscité le sentiment d’enthousiasme et l’engouement qui entourent la transformation de cet immeuble qui rend hommage aux grandes soirées d’autrefois.

 

Onze étages seront ajoutés à cet ancien immeuble de trois étages dont la marquise originale et la façade dessinée par John MacNee Jeffrey ont été soigneusement préservées, pour qu’il s’élève au-dessus des rues de Toronto. Les briques moulées en sable et la finition en pierre lisse du revêtement extérieur intègrent harmonieusement les éléments historiques à l’allure contemporaine de l’immeuble.

Aux loges

Le Studio Munge s’est surpassé pour construire un univers évocateur du théâtre et du cinéma des années 1920. L’expérience commence dès que les résidents franchissent la grande porte cochère pour pénétrer dans le hall d’entrée soigneusement orchestré par la conciergerie. Le mobilier somptueux est illuminé par de magnifiques luminaires conçus sur mesure. Il s’agit d’un aperçu de ce que réservent la suite Gallery, le penthouse Premiere, la suite Marquee Estate ou la maison de ville Orchestra. Les finitions sur mesure et les plafonds d’une hauteur de 10 pieds rendront chaque résidence digne des feux de la rampe.

 

© Binyan Studios

Une finale en plein air

La somptuosité des lieux s’étend au-delà des murs de l’immeuble pour que les résidents du Capitol puissent profiter du rare spectacle de la nature au cœur de la ville. Du côté est, la façade étagée accueillera des terrasses couvertes de verdure, tandis que le côté ouest sera bordé d’un parc de 3 700 pieds qui embellira le quartier tout en étendant le terrain pour le bonheur des résidents.

 

Attraits des Capitol Residences

● Armoire à colis automatisée

● Parc luxuriant s’étendant sur plus de 3 700 mètres carrés du côté ouest

● Gymnase avec aires d’entraînement privées

● Simulateur de golf et aire de détente

● Club social doté d’un salon, d’une salle à manger et des offices

● Vaste aire de détente et de repas extérieure comprenant un jardin et des barbecues

● Aire de jeux pour enfants

● Suite résidentielle pour les invités

● Spa pour les animaux de compagnie

● Service de conciergerie 24/7

 

Maintenant en vente

 

 

 

Texte : Jennifer Laoun-Rubenstein

Couverture : © Binyan Studios

La marque Made in Lucerne renouvelle sa ligne Manero Flyback. Des modèles à complication incarnant un esprit cosmopolite adapté à cette nouvelle réalité. Présentation de cette série sport-chic et élégamment optimiste.

 

En collaboration avec Europa Star

 

Le message de Carl F. Bucherer autour de ses nouveaux modèles Manero Flyback porte sur la figure du « cosmopolite ». Soit, au sens propre si l’on ouvre le dictionnaire, celui qui « s’accommode de tous les pays, de mœurs nationales variées », alternativement qui « comprend des personnes de tous les pays, subit des influences de nombreux pays ». On peut parler de quelqu’un qui voyage beaucoup comme d’un « cosmopolite » ou d’une métropole brassant de nombreuses populations comme d’une « ville cosmopolite ». La marque lucernoise se voit elle-même comme une marque cosmopolite, ancrée au cœur de la Suisse et active dans le monde entier.

 

 

« En 1888, Carl-Friedrich Bucherer a posé les jalons non seulement de notre marque, mais aussi d’une culture d’entreprise internationale et ouverte sur le monde », souligne son PDG Sascha Moeri. « Ses fils Carl Eduard et Ernst visitèrent le monde, étudièrent à l’étranger et ouvrirent, en 1913 déjà, la première filiale à Berlin. Quelques années plus tard, ils développèrent leurs activités en Amérique du Sud, tout en restant fidèles à leur patrie lucernoise. » Et de poursuivre : « Être cosmopolite, cela signifie avoir la capacité de se sentir chez soi partout dans le monde, de faire partie d’un tout. Aborder son quotidien avec style, dynamisme et ouverture d’esprit. Et surtout aimer la variété. C’est exactement cet esprit que reflète notre Manero Flyback, mais aussi qu’incarne notre marque depuis plus de 130 ans. »

 

« Être cosmopolite, cela signifie avoir la capacité de se sentir chez soi partout dans le monde, de faire partie d’un tout. » – Sascha Moeri, PDG de Carl F. Bucherer

 

 

La collection proposée par Carl F. Bucherer permet de jouer avec la notion de temps – via la fonction flyback, soit la capacité de réinitialiser et de relancer le décompte du temps d’une simple pression – et s’adresse à celle ou celui qui rêve de voyager à travers la mécanique à son poignet…

 

Cet esprit se concrétise également dans la diversité grandissante des modèles proposés. Déjà étoffée de deux modèles d’un bleu éclatant, la Manero Flyback est désormais également disponible avec des cadrans argenté, noir ou gris bleu sur bracelet métal. La ligne s’affirme ainsi comme le modèle « sport-chic » de Carl F. Bucherer avec l’adjonction de nouveaux bracelets en acier, une tendance très forte en horlogerie. « Avec ces nouveaux bracelets en acier proposés parmi les nouvelles options de design, nous apportons un accent sportif et élégant à cette ligne », souligne Sascha Moeri.

 

 

Ces bracelets en métal, composés de maillons en acier inoxydable haut de gamme et de neuf éléments qui s’enchaînent, ont été créés spécialement pour la Manero Flyback, afin de lui conférer un tout nouveau look. De fait, ce jeu sur les bracelets illustre parfaitement la formule « changement minimal, impact maximal », donnant du même coup l’allure « sport-chic » à une ligne connue jusqu’à présent pour sa grande élégance formelle.

 

Le cadran lui-même combine une grande cohérence, notamment par les deux compteurs symétriques superposés à la fenêtre de date, à un sens aigu du détail avec l’échelle tachymétrique qui l’encercle. La collection de chronographes 43 mm se décline en cinq différentes couleurs de cadran.

 

Le clin d’œil « rétro » à travers les poussoirs en forme d’attache parisienne accentue la personnalité de ce modèle chrono flyback esthétiquement réussi – le modèle « sport-chic » est de fait un exercice tentant car très en vogue, mais périlleux, beaucoup de marques s’y étant cassé les dents.

 

 

Avec ces nouvelles venues, ce sont désormais treize versions de la Manero Flyback qui sont disponibles, en or rose ou en acier, avec cinq variantes et couleurs de cadran différentes et un bracelet en cuir, textile ou en acier. La ligne s’affirme toujours plus comme un pilier de Carl F. Bucherer, avec un prix qui démarre un peu au-dessus de 6 000 $ US.

 

Rappelons que Carl F. Bucherer a considérablement investi ces dernières années pour devenir autonome sur le plan du mouvement, à travers sa manufacture de Lengnau. Le résultat se retrouve notamment au cœur de cette Manero Flyback, équipée du calibre automatique CFB 1970, d’une réserve de marche de 42 heures.

 

La stratégie intéressante de la marque lucernoise, dans un environnement très concurrentiel, consiste à se concentrer sur quelques complications et à en explorer toutes les possibilités. Qu’il s’agisse du chronographe flyback de cette collection ou du travail sur le rotor périphérique, dont Carl F. Bucherer est devenu un spécialiste reconnu. « Avec sa finesse technique, son design aux multiples facettes et son charme cosmopolite, la gamme Manero Flyback illustre parfaitement l’art horloger Made of Lucerne que nous souhaitons proposer », conclut Sascha Moeri.

 

La stratégie intéressante de la marque lucernoise, dans un environnement très concurrentiel, consiste à se concentrer sur quelques complications et à en explorer toutes les possibilités.

 

MOUVEMENT Automatique, calibre CFB 1970, diamètre 30,4 mm, hauteur 7,9 mm, 25 pierres, réserve de marche 42 h FONCTIONS Chronographe : compteurs des minutes et des 1⁄4 de secondes, fonction flyback, tachymètre; date, heures, minutes, petite seconde BOÎTIER Acier, glace saphir fortement bombée avec traitement antireflet sur les deux faces, fond de boîtier avec glace saphir, étanche jusqu’à 30 m (3 bars), diamètre 43 mm, hauteur 14,45 mm CADRAN Argenté, bleu-gris, noir ou bleu BRACELET Acier PRIX 6 600 $ US

 

www.europastar.com

 

Texte : Serge Maillard

Niché sur une péninsule privée bordant la mythique plage de Miami, le Ritz-Carlton Bal Harbour se dresse sur l’Atlantique en véritable havre de grâce. Offrant tout le meilleur de l’hôtellerie, cet hôtel cinq étoiles promet une expérience immersive hors du commun, empreinte de sophistication pour tous les sens.

 

Définir l’exceptionnel, voici ce que réserve l’accueil du Bal Harbour. Idéalement situé dans le quartier sélect du même nom, le complexe ouvre ses portes sur des horizons paradisiaques et des séjours mémorables. En tête des complexes les plus prisés de la ville, ses installations sont un éden qui sublime la beauté des lieux et n’ont d’égal que la qualité des boutiques, restaurants et galeries d’art qui l’habitent et l’entourent.

 

 

Au sommet des atouts de cet hôtel extraordinaire priment les soins apportés à tous les détails. Espaces de repos, de vie, gastronomie, spa et relaxation : tout est fait dans les règles de l’art, avec la juste dose de raffinement et de convivialité. Les chambres et suites aménagées sur des étages exclusifs sont à couper le souffle. Leurs terrasses sur l’Atlantique ou les jardins luxuriants donnent le goût de plonger dans les vacances. Après un bain de soleil, de mer ou de thalasso, dans une cabine ou un lit de plage grand luxe, la détente gagne à coup sûr. La magie des lieux ouvre l’appétit pour le plaisir, et les chefs, sommeliers et créateurs de cocktails ne laissent personne en reste.

 

Un ravissement pour les yeux et les papilles

Haut lieu de délices, le Bal Harbour a de quoi régaler les plus fins gourmets. Avec plusieurs options de restauration pour satisfaire les attentes des plus exigeants, l’adresse est aussi une destination de haute gastronomie. L’Artisan Beach House sert la tradition de pêche floridienne avec l’excellence du complexe dans un décor somptueux. Le Water’s Edge propose des cocktails et des spécialités locales en plein air ou en bord de mer. L’expérience éphémère Gold Standard Omakase propose quant à elle le summum de l’indulgence. Une dégustation – ou omakase – unique à ne pas manquer, allant jusqu’à quinze plats mettant en valeur des produits d’une délicatesse infinie. Fruits de mer, poissons et garnitures d’une fraîcheur absolue et, surtout, le bœuf Wagyu, de réputation internationale, produit en exclusivité par des éleveurs locaux.

 

Au sommet des atouts de cet hôtel extraordinaire priment les soins apportés à tous les détails.

Spectaculaire à l’intérieur comme à l’extérieur

Le Ritz-Carlton Bal Harbour est une oasis de bien-être couronnée par le dynamisme légendaire de Miami. En quittant l’enceinte de l’hôtel, les hôtes sont à un jet de pierre du meilleur programme d’activités qui soit. Miami Open, Grand Prix de Miami, Museum of Contemporary Art North Miami, South Beach… La liste est longue. Et au détour de chaque découverte, les magnifiques occasions de magasinage se multiplient.

 

 

EN BREF

  • 95 chambres et suites (à partir de 850 $ US)
  • Vue sur l’océan et accès direct à la plage
  • Deux restaurants et des expériences culinaires inédites
  • Cabines de plage privatives avec bains à remous
  • Piscine chauffée de style européen
  • Spa avec soins complets
  • Salle de conditionnement physique
  • Centre d’affaires et espaces événementiels
  • Services de concierge, bagagiste et voiturier

 

www.ritzcarlton.com

 

Texte : Alexandra Pastena

LUXE vous transporte vers Paris pour vous faire découvrir un lieu à couper le souffle. Dans le 16e arrondissement, sur la très célèbre Place du Trocadéro, au cœur de la Cité de l’architecture et du patrimoine, l’expérience que propose l’établissement Girafe s’annonce spectaculaire.

Tout le charme de l’Art déco des années 30

Au rez-de-chaussée, le restaurant Girafe, réputé pour son excellence, charme dès l’arrivée avec un cadre élégant et sophistiqué. La salle à manger de style Art déco est magnifique et baignée de lumière, avec des baies vitrées offrant une vue époustouflante sur la tour Eiffel. C’est un véritable tête-à-tête.

 

Le décor chic et minimaliste, imaginé par Joseph Dirand, s’inspire des années 30. L’ambiance y est lumineusement feutrée, avec des banquettes claires et des fauteuils enveloppants de couleur crème. Les tables de bistrot participent aussi à l’intimité classique du lieu. L’impressionnant comptoir en marbre, les pilastres longilignes et les hauts plafonds contribuent au grandiose. C’est à la fois douillet et raffiné.

 

© Adrien Dirand

 

À l’extérieur, à l’abri des regards, le cadre est si somptueux que le minimalisme est de rigueur. Tout en élégance, avec des tables aux nappes immaculées accompagnées de chaises tressées parfaitement parisiennes, le décor est à couper le souffle. Surplombant le Champ-de-Mars, cette vue imprenable fait de la tour Eiffel une convive à votre table.

 

Ensuite, direction le 9e étage pour découvrir le secret le mieux gardé de Paris. Bienvenue à la Suite Girafe, prenant place dans l’ancien appartement du conservateur des lieux. Aujourd’hui, dans une ambiance très privée, le décor du restaurant reste profondément influencé par l’architecture Art déco du bâtiment. Tel un salon suspendu devant la tour Eiffel, cet espace exclusif se pare d’une atmosphère encore plus feutrée. Ici, les tonalités sont plus chaudes. Le bois ambré façon loupe d’orme, avec ses nuances contrastées et le velours brun fumé des banquettes confèrent à cet écrin parisien l’intimisme chaleureux pour se sentir privilégié. Le marbre rouge s’étalant au sol ajoute une touche d’impertinence pour s’élancer vers l’extérieur.

 

© Adrien Dirand

 

De la terrasse panoramique, la capitale se déroule à 270° et la Dame de fer se révèle encore plus éblouissante. Elle semble si accessible.

Une expérience marine et raffinée

Côté cuisine, c’est aussi un sans-faute pour ces établissements du groupe Paris Society. La carte y est délicieusement iodée et les plats, concoctés par le chef Benoît Dargère, se révèlent créatifs et savoureux. Les produits de saison sont toujours travaillés de main de maître et les recettes, parfaitement exécutées. Des classiques plateaux de fruits de mer ultra frais, clin d’œil à l’esprit brasserie, aux sashimis plus contemporains, en passant par les poissons dorés indémodables, chaque plat est tout à fait délectable. Assiettes d’huîtres à partager, caviar osciètre à découvrir, tartare de thon, ceviche de daurade, carpaccio de bar, poissons entiers selon les arrivages, linguines au homard, le menu est généreux et il est difficile de faire un choix. Un véritable éloge à l’iode sous toutes ses formes, où se côtoient fruits de mer, poissons crus et cuits, avec une attention particulière portée à la qualité des ingrédients. Imaginée comme une seahouse parisienne, cette adresse est à ne pas manquer pour tous les amoureux de cuisine marine.

 

© Romain Ricard

 

Côté desserts, la carte gourmande propose des classiques de la gastronomie française. Les chouquettes sont déclinées au praliné, les mille-feuilles à la vanille empreints de tradition et les gaufres parfaites pour partager. Quoi de mieux qu’une délicieuse note sucrée pour clore un repas aussi exquis? La cave est à la hauteur de la renommée des établissements, et le service excellent est assuré par une équipe triée sur le volet. L’expérience Girafe est à vivre, en salle ou en terrasse.

 

© Romain Ricard

 

www.girafe-restaurant.com

 

 

Rédactrice : Alexandra Wegliszewski

Couverture : © Romain Ricard

Les majestueuses tours résidentielles Maestria sont couronnées de penthouses luxueux, qui offrent le privilège d’habiter dans un lieu aérien et prestigieux, dans un sentiment de liberté inégalé. Du 56e au 61e étage, les penthouses Or et Diamant du projet Maestria surplombent la ville, offrant une vue panoramique des lieux les plus convoités de Montréal. Les grandes fenêtres permettent notamment de contempler le mont Royal et le fleuve Saint-Laurent dans toute leur splendeur naturelle. De plus, elles proposent une vue imprenable sur la Place des Festivals et l’Esplanade de la Place des Arts : le cœur de la culture et des arts au centre-ville.

À la jonction entre fonction et élégance

Les penthouses des tours Maestria présentent une surface habitable de jusqu’à 4 435 pieds carrés et des plafonds de 11 à 24 pieds de haut. Ces appartements aux finitions luxueuses sont offerts en configurations de deux ou trois chambres à coucher.

 

 

L’art de recevoir est mis à l’honneur grâce à une cuisine resplendissante. Alliant un attrait visuel exceptionnel et une impressionnante fonctionnalité, elle est dotée de comptoirs en quartz, de finitions en pierre naturelle et d’électroménagers encastrés haut de gamme. Le four double, la plaque de cuisson et la hotte à la fine pointe permettent de cultiver un rendement culinaire supérieur, tandis que le lave-vaisselle et le réfrigérateur disparaissent derrière des panneaux de finition en ébénisterie, pour une esthétique des plus harmonieuses.

 

 

Le bain autoportant et le plancher chauffant confèrent élégance et raffinement à la salle de bain des maîtres. À l’extérieur, la terrasse individuelle de style loggia vient compléter l’expérience Maestria.

 

En plus des autres caractéristiques de sécurité incluses dans le projet, les penthouses disposent dune porte dentrée à âme pleine avec serrure électronique qui conférera aux résidents l’intimité recherchée.

 

Des commodités supplémentaires sont également offertes, dont un espace de stationnement intérieur chauffé et éclairé ou un garage privé en option pour les penthouses Diamant.

 

Toute personne intéressée à en apprendre plus sur les nombreux avantages quoffrent les penthouses Maestria est invitée à communiquer avec un représentant du projet.

 

Texte : Jennifer Laoun-Rubenstein

Élégant et indéniablement contemporain, l’hôtel Muir s’impose comme pièce maîtresse du tout nouveau quartier de Queen’s Marque. Situé en front de mer en plein cœur d’Halifax, cet établissement luxueux saura vous charmer par la qualité de son hospitalité haut de gamme.

 

Muir est une destination unique, inspirée par la beauté naturelle de la Nouvelle-Écosse. Avec son emplacement de premier ordre, qui attire toutes les convoitises, jouissez d’un accès direct à l’océan et émerveillez-vous devant une vue imprenable. Profitez d’espaces intérieurs soignés, d’un centre de remise en forme et de bien-être ultra-premium, de commodités et d’avantages exclusifs, en plus d’expériences culinaires de prestige.

Un design minimaliste et raffiné

Conçues par le Studio Munge, les chambres et les suites de l’hôtel allient esthétisme et fonctionnalité. Avec pour canevas le style mid-century modern, l’ameublement de qualité supérieure s’harmonise parfaitement avec les singulières œuvres d’art, offrant ainsi un cadre serein et raffiné. L’utilisation de matériaux bruts et nobles contribue également à la beauté du lieu.

 

 

Des murs incurvés de chêne blanc agissent comme fil conducteur à travers tout l’établissement; il n’y a qu’à les suivre du regard pour retrouver l’océan. Les vastes fenêtres, présentes dans tout l’hôtel, inondent les pièces de lumière du large et vous pouvez déjà sentir les embruns sur votre peau. Le spectaculaire port d’Halifax est à vous.

 

Un lieu de détente et de gastronomie

Avec son emplacement privilégié face à l’océan, Muir vous enveloppe dans une bulle de sérénité. Vous aurez accès au centre de bien-être Windward, comprenant entre autres un centre de remise en forme ultra-premium, des séances de conditionnement physique, une piscine thermale, une salle d’halothérapie, un hammam à l’eucalyptus et un sauna infrarouge. Profitez également du Spa Interlude et de ses services d’esthétique, de massage et de coiffure. Pour les expériences en plein air, Muir vous propose des excursions en yacht et en bateau à moteur, et met à votre disposition des kayaks, des planches à pagaie et des vélos.

 

En plus d’offrir un cadre magnifique propice au bien-être, Muir sait recevoir. À l’avant-garde d’un quartier reconnu pour ses qualités gustatives, il sera le lieu parfait pour des réunions d’affaires et des célébrations privées. Au Drift, dégustez une cuisine de la Nouvelle-Écosse revisitée, avec des versions modernes des plats classiques du Canada atlantique. Retrouvez-vous entre collègues le long de son bar spacieux, délectez-vous d’un millésime local au coin du feu ou profitez de sa terrasse avec une vue imprenable sur l’océan. Également, pour votre plus grand plaisir, accompagnés d’une bouteille de votre bar privé, des repas contemporains et délicatspréparés par le chef pourront vous être servis dans votre chambre. Puis, pour une expérience de cocktails haut de gamme et exclusivement réservée aux invités et clients de Muir, rendez-vous au BKS. Cet endroit secret dispose d’un accès à une terrasse privée surplombant l’océan. L’une des plus belles vues de la ville s’offre à vous!

 

 

DES SERVICES À LA HAUTEUR DE VOS ATTENTES

  • Accès premium aux réservations dans Queen’s Marque
  • Centre de bien-être Windward et spa Interlude
  • True Colours, la galerie d’art privée de Muir
  • Restauration à la chambre 24h/24 avec possibilité de repas préparés par un chef
  • Salles de réunion, services d’impression et restauration pour les entreprises
  • Service de voiture avec chauffeur privé dans une Range Rover hybride
  • Voiturier et bornes de recharge électrique
  • Excursions sur le yacht Muir
  • Équipement d’activités de plein air à disposition
  • Blanchisserie et nettoyage à sec
  • Service de soin aux animaux
  • Réception et sécurité 24h/24

 

Muir est membre de Marriott Bonvoy.

www.muirhotel.com

 

Texte : Alexandra Wegliszewski

Œuvre du chef George Ruan, le restaurant Jōji à New York est le nouveau joyau de la collection mondiale d’expériences gastronomiques exceptionnelles du chef Daniel Boulud. Jōji, qui signifie George en Japonais, porte le nom du chef George Ruan, qui a fondé le restaurant avec les chefs Xiao Lin et Wayne S. Cheng. Le restaurant se spécialise dans la somptueuse expérience gastronomique japonaise de l’Omakase, qui consiste à s’en remettre au chef et au sommelier pour profiter du ballet de saveurs qu’ils ont parfaitement chorégraphié ensemble pour le plaisir du palais. Le Jōji est situé dans le Midtown, dans l’emblématique One Vanderbilt, époustouflante tour de verre de 93 étages bâtie en 2020. Conçu pour maximiser la lumière naturelle, c’est l’endroit idéal pour ce restaurant rayonnant qui offre un espace à la fois sophistiqué et serein empreint d’un charme japonais authentique. LUXE s’est entretenu avec le chef George Ruan au sujet de ce nouveau projet éponyme et de son propre parcours culinaire.

Quelle est la source de votre passion pour les arts culinaires?

Observer la passion, le talent et l’amour des arts culinaires du chef Masa a nourri ma propre passion. J’ai été formé par lui pendant presque vingt ans. Il m’a appris à faire preuve de passion et d’attention dans tout ce que je fais. Depuis, il s’agit des principes qui nous guident, du plat que nous préparons à l’expérience que nous cherchons à offrir aux convives.

Le Jōji se trouve dans le magnifique nouvel immeuble du One Vanderbilt. Pourquoi avez-vous choisi New York, et cet endroit en particulier, comme lieu de votre nouvelle entreprise culinaire?

New York est la ville où j’ai grandi. Mon opinion est naturellement biaisée, mais il y a de la magie dans l’air, surtout lorsqu’il est question d’expériences culinaires. Elles sont nombreuses et diverses. Cette diversité croissante permet à chacun d’y trouver son compte. L’aménagement intime convient parfaitement pour l’expérience Omakase, et l’emplacement à Grand Central a une signification profonde, rendant hommage aux petits comptoirs de sushis à l’intérieur des stations de Tokyo. Mais encore une fois, tout est fait à notre façon. L’un des principes fondateurs de Jōji est de bousculer certaines des idées reçues de l’Omakase japonaise et de la gastronomie. La base du One Vanderbilt, un gratte-ciel novateur au cœur d’une ville possédant certains des plus hauts immeubles au monde, semble un endroit parfaitement approprié pour le Jōji.

 

© Eric Vitale

Pourquoi avez-vous décidé d’ouvrir le Jōji? Parlez-nous de son évolution et du début de votre collaboration avec le chef Daniel Boulud.

Mes partenaires, les chefs Xiao Lin et Wayne S. Cheng, et moi évoluons depuis longtemps dans la cuisine japonaise et le monde de la fine cuisine en mettant l’accent sur les aliments et les clients. Le Jōji est, pour nous, une ode à la cuisine japonaise dans ce qui se veut notre interprétation de la gastronomie moderne. Après avoir travaillé pendant des dizaines d’années aux côtés du chef Masa, nous voulions continuer à saisir l’essence des ingrédients et du service, mais dans un environnement intime qui trouve également écho dans le monde d’aujourd’hui. Pour beaucoup de personnes, c’est une soirée en ville qui devrait être réjouissante. C’est pourquoi nous espérons offrir une expérience un peu différente de l’Omakase raffinée. Notre équipe est tissée serrée. Je connais certains membres depuis des années, voire des décennies. Nous savions que nous avions besoin de personnes ayant la même vision, la même passion pour la cuisine et l’expérience. Nous cherchions un partenaire qui aurait les moyens de soutenir l’entreprise et d’y mettre en place une structure. Le partenariat avec le groupe de restaurants Dinex du chef Daniel Boulud nous est venu tout naturellement.

 

© Eric Vitale

Votre spécialité est l’expérience Omakase traditionnelle à plusieurs services. Pouvez-vous nous décrire ce dont il s’agit et nous raconter l’histoire de cette tradition?

L’expérience Omakase est une aventure gastronomique multidimensionnelle. Le repas met en valeur un échantillon des différentes saveurs et techniques culinaires. Il vise l’équilibre entre les ingrédients cuits et crus, entre les plats chauds et froids. Comme nous sommes de l’école de l’Omakase plus traditionnelle, nous voulions conserver ses qualités, comme les ingrédients et le service raffinés, mais les transposer dans un environnement décontracté qui demeure synonyme de fine cuisine.

 

© Eric Vitale

Quelle est la source d’inspiration du menu de Jōji? Qu’est-ce qui vous enthousiasme le plus?

Les changements dans la nature au fil des saisons et la variété d’ingrédients qui en découlent m’ont toujours inspiré. Nous voulions transmettre cette idée à nos convives. Comme nous changeons constamment notre menu, si l’un d’eux revient, il pourra déguster des plats qui seront différents de ceux de sa dernière visite. Les convives trouveront un menu différent chaque fois qu’ils viennent au restaurant. Nous venons d’inscrire un nouveau plat au menu : sébaste braisé avec ail des bois. L’ail des bois est l’un de ces ingrédients saisonniers qui peuvent être des héros méconnus. Lorsque j’ai l’occasion de l’apprêter avec un poisson qui figure régulièrement à notre menu, cela me rend très heureux.

 

© Eric Vitale

Quelle est votre source d’inspiration pour l’expérience client? Quel est l’ingrédient dont vous ne pourriez pas vous passer?

Nous discutons sans cesse, les chefs Wayne et Xiao et moi, des différents ingrédients et des plats que nous pourrions cuisiner, pendant que nous faisons la préparation en cuisine, lorsque nous cuisinons à la maison ou lors de nos sorties au restaurant avec des proches. Les sources d’inspiration abondent. La possibilité d’échanger des idées avec d’autres chefs facilite grandement la planification du menu et la mise au point des recettes. J’aime travailler avec le Saba (maquereau) lorsque possible. Cela dit, l’important est de se laisser guider par les saveurs et d’utiliser les meilleurs ingrédients possibles de la terre et de la mer selon la saison. En fin de compte, je veux offrir à notre clientèle un bon repas dans une belle ambiance. Je veux leur offrir une soirée agréable et mémorable alors qu’ils profitent d’une expérience Omakase somptueuse!

 

www.jojiny.com

 

 

Rédactrice : Lesley Bishin

Romans

Un appel d’air et d’amour

En plein hiver, deux familles sont réunies dans une maison centenaire pendant trop longtemps. Alors on se penche sur l’extérieur, comme pour la première fois. Dehors, la nature déploie une nouvelle langue, une cueilleuse d’asclépiades sauve la vie de soldats, un superhéros dompte les peurs à bord de son tracteur… Dehors, tout redevient possible. Un livre indispensable où l’existence valse avec la mort, où l’on se souvient de ce que signifie « être vivant ».

 

Femme forêt d’Anaïs Barbeau-Lavalette – Éd. Marchand de feuilles

 

Un joyau de savoir-faire

En 2018, Diégane Latyr Faye, jeune écrivain sénégalais, découvre à Paris un livre mythique, paru en 1938 : Le labyrinthe de l’inhumain. Il s’engage sur la piste du mystérieux T.C. Elimane dont on a perdu la trace depuis le scandale déclenché à la parution de son livre. Il se confronte alors aux grandes tragédies que sont le colonialisme ou la Shoah. Du Sénégal à la France en passant par l’Argentine, quelle vérité l’attend au centre de ce labyrinthe? Ce livre écrit par un jeune auteur de 31 ans est récipiendaire du prix Goncourt 2021.

 

La plus secrète mémoire des hommes de Mohamed Mbougar Sarr – Éd. Philippe Rey

 

 

Livres de cuisine

Récit culinaire

Tout ramène Lara Fabian à la table. Pour elle, les repas symbolisent la famille, les amis, le réconfort, la joie et la gratitude. La chanteuse entrecroise des moments significatifs de sa vie avec des recettes qui y sont rattachées : souvenirs d’enfance, histoires familiales, parcours professionnel, confidences et photos de ses archives personnelles se mêlent à des recettes porteuses de providence et d’histoires cocasses, jusque-là jamais racontées.

 

Je passe à table de Lara Fabian – Éd. Libre Expression

 

Faire son pain

La boulangerie – et le pain, en particulier – est une passion présente dans la vie de Josée Fiset depuis près de 30 ans! Cofondatrice de Première Moisson, la femme d’affaires qui a consacré sa vie au pain nous dévoile tous ses secrets. Avec ses explications simples et illustrées, ce livre rend accessible à tous la fabrication du pain maison avec 150 recettes sans pétrissage.

 

Le Pain d’une vie! Faire son pain maison… de Josée Fiset – Éd. Pratico-Pratiques

 

 

Manger végétarien

La famille McCartney revisite l’ouvrage pionnier de la cuisine végétarienne publié en 1989 par Linda McCartney et propose des recettes adaptées aux saveurs et tendances contemporaines : pancakes, chili no carne, pad thaï, burger végétarien, minestrone, cookies… L’origine de chaque plat et ses bienfaits pour la santé sont évoqués. Avec des anecdotes et souvenirs personnels.

 

La cuisine familiale de Linda McCartney de Linda McCartney – Éd. Michel Lafon

 

 

Beaux livres

En osmose avec le paysage

Il était une fois un paysage – forêt, ville, lac, fleuve. Dans chacun d’eux, une maison est née des rêves conjugués d’un architecte, d’une équipe et d’un client. Voici 16 lieux de vie conçus par Pierre Thibault et qui s’inscrivent naturellement dans le paysage, 16 lieux qui témoignent de l’approche globale de l’Atelier Pierre Thibault.

 

Maisons paysage de Pierre Thibault, Denys Arcand – Éd. La Presse

 

Zoom sur l’Italie

Des vues aériennes et plongeantes de l’Italie, de ses paysages et de ses villes. Plus de 400 photographies d’églises et de dômes, de forêts de clochetons et de campaniles, de placettes au coin des rues, d’arcades ombragées, de sommets enneigés des Dolomites et des Apennins, de collines toscanes, entre autres.

 

Splendide Italie d’Alberto Bertolazzi, Marcello Bertinetti, Antonio Attini – Éd. National Geographic

 

Partir et méditer

Partir tout près, un peu plus loin ou très loin… pour se déconnecter et se réapproprier le temps. Panorama de 80 lieux de retraite propices à la méditation, que ce soient des paysages, des abbayes ou des sites patrimoniaux comme la forêt de Brocéliande, le monastère de Montserrat, l’île de Shikoku au Japon ou l’abbaye de Cîteaux. Pour les voyageurs en quête d’authenticité.

 

Partir & méditer : 80 lieux pour se ressourcer de Hugues Demeude, Manon Liduena, Marie-Emilie Michel – Éd. EPA