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Ritz-Carlton. Un nom qui à lui seul évoque le luxe. Désormais, ce n’est pas seulement à l’hôtel mythique qu’il sera associé, mais également à des résidences privées au style de vie unique. Mêlant élégance et raffinement, ces appartements en plein cœur du Mille carré doré donnent accès aux  services incomparables d’un hôtel Cinq Diamants.

Un mariage réussi entre le passé et le présent

Le Louvre à Paris, le Bundestag à Berlin et, maintenant, les Résidences au Ritz-Carlton à Montréal : jumeler un bâtiment patrimonial à un édifice en verre de facture contemporaine constitue un choix audacieux de plus en plus en plus prisé et même conseillé aujourd’hui. La légèreté du verre et sa transparence soulignent avec élégance le caractère historique du  bâtiment original, ainsi que deux époques  différentes sans être incompatibles.

Si vous observez la nouvelle façade de la rue Sherbrooke, vous ressentirez ce dialogue heureux entre le passé et le présent. « Il aurait été très difficile de réaliser un travail contemporain seulement avec la pierre d’origine et ses  ornementations, commente Claude Provencher, associé fondateur de Provencher Roy + Associés Architectes. Nous ne voulions pas créer une pâle copie de ce qui existait déjà. Nous avons donc proposé le verre, un matériau complètement différent. »

Sur la structure en verre et en aluminium ont été posées de magnifiques persiennes de style européen, et, pour conférer un dynamisme au bâtiment, l’architecte a positionné des loggias de façon stratégique. Comme partout dans le quartier, la forme guillotine des fenêtres de la portion existante devait être conservée. Il fallait aussi pouvoir ouvrir celles-ci en grand afin que les chambres jouissent d’une bonne aération  et d’une importante luminosité. Des fenêtres  d’origine, on est donc passé à de grandes fenêtres, d’une qualité hors pair.

Plusieurs années d’analyse, de réflexion et de travail ont été nécessaires pour aboutir à la façade d’aujourd’hui. Mais le résultat est là : harmonieux, équilibré, sublime.

Des résidences imprégnées de l’âme du Ritz-Carlton Montréal

Bien qu’attenantes à l’hôtel, les Résidences  possèdent leur entrée privée. À peine le seuil franchi, la beauté des lieux frappe : nous sommes dans une résidence de luxe. Tandis que concierge, portier et voiturier nous réservent  un accueil chaleureux et courtois, l’immense chandelier de cristal ainsi que les motifs de  cercles sur le sol de marbre nous rappellent immédiatement la signature inimitable du  Ritz-Carlton Montréal.

De fait, l’équipe de Patty Xenos Design a passé beaucoup de temps à faire des recherches au Centre canadien d’architecture de Montréal (CCA) afin d’étudier les couleurs et les formes caractéristiques de l’hôtel. « Le plancher est directement inspiré du collier de perles qui orne la corniche du Ritz-Carlton Montréal, explique la designer d’intérieur Patty Xenos.

Nous souhaitions également respecter les  standards élaborés par César Ritz. Pour lui, un hall d’entrée devait disposer de matériaux riches et élaborés et inclure un chandelier en cristal.  Il pensait en effet qu’il n’y avait rien de plus beau que l’irisation produite au contact de la lumière ». Et il faut avouer que, cent après,  sa vision est toujours d’actualité.

À l’intérieur des résidences, même les lignes et les proportions des cadres de portes ont été inspirées par la bâtisse d’origine. Et que dire du fameux losange, si emblématique de l’hôtel, placé devant chaque ascenseur?

Bien que modernes, les Résidences au Ritz-Carlton Montréal sont ainsi indéniablement imprégnées du passé historique de l’hôtel, et, surtout, de cette petite touche unique et magique.

Quand qualité rime avec beauté

De superficies diverses (entre 1 200 et 8 600 pieds carrés), les appartements offrent une qualité de construction et de finition incomparables.

Avant même de procéder à l’architecture intérieure, l’équipe de designers a effectué l’analyse de l’impact du soleil sur chaque condominium : « Grâce à cette information, nous avons pu dessiner les plans de chaque appartement des Résidences au Ritz-Carlton Montréal, selon son emplacement dans l’immeuble. Nous avons regardé quel était le meilleur endroit pour positionner le salon afin qu’il soit imprégné de lumière dès le lever du soleil », souligne Patty Xenos.

En pénétrant dans l’appartement modèle, on est ainsi frappé par la luminosité exceptionnelle accentuée par la hauteur des plafonds. Par le calme aussi, même du côté donnant sur la rue Sherbrooke. Il faut dire que les fenêtres isolantes à double vitrage ainsi que le plancher à réduction acoustique jouent parfaitement leur rôle.

« Pour les Résidences, nous avons dû nous conformer aux exigeants standards du Ritz-Carlton. Tout a été étudié dans les moindres détails pour offrir une qualité de vie exceptionnelle », rapporte Rucsandra Calin, directrice des ventes des Résidences.

Ainsi, plusieurs chambres possèdent une superficie bien supérieure à la moyenne, car elles doivent comporter un boudoir. Quoi de plus agréable en effet que d’y prendre un café, lire un journal ou se reposer à toutes heures de la journée?

Dans la salle de bains, l’ergonomie a été pensée au millimètre près. « Le luxe est invisible. Tout semble naturel et à sa place, car chaque chose a été conçue à la perfection », ajoute Philippe Lawi, directeur de projets aux Résidences.

Afin d’offrir le nec plus ultra de ce qui existe sur le marché, les designers ont utilisé les meilleures marques. Ils sont parfois allés jusqu’à faire venir de l’étranger les équipements dont ils avaient besoin. Les meubles et placards de cuisine, signés Poggenpohl, proviennent ainsi d’Europe. Réputée pour la qualité et l’avant-gardisme de ses produits, la marque allemande offre des agencements de tiroirs et d’armoires particulièrement ingénieux; des organisateurs permettent d’éviter toute éraflure à l’argenterie. De plus, tous les produits de Poggenpohl ont été produits dans le respect de l’environnement, un facteur déterminant pour la clientèle des Résidences.

En plus d’avoir une qualité de matériaux et de meubles incomparable, les Résidences au Ritz-Carlton sont équipées d’un système domotique des plus modernes : peu importe où le propriétaire se trouve dans le monde, une application iPhone lui permet de gérer la température, l’éclairage, le son, les volets et le système d’alarme de son appartement.

L’accès à des services hôteliers uniques

Vivre dans une résidence Ritz-Carlton ne signifie pas seulement profiter d’un appartement luxueux : c’est aussi pouvoir bénéficier de tous les services du seul hôtel du Québec à détenir la prestigieuse cote Cinq Diamants CAA/AAA.

Afin de faciliter la vie des résidents, concierge, portier, voiturier et responsable du ménage sont disponibles. « Qu’ils aient besoin de réserver une table dans un restaurant ou une place à l’opéra, les copropriétaires peuvent faire appel à leur concierge personnel, grâce au téléphone situé dans leur appartement et directement relié à la réception », explique la directrice des ventes.

Faisant partie de la grande famille du Ritz-Carlton, ils profitent également de tous les services de l’hôtel : piscine, centre de conditionnement physique, salon de thé ou traiteur.

Aux Résidences Ritz-Carlton, il est donc possible de vivre toute l’année comme à l’hôtel… dans le confort de son chez soi!

Une journée dans la vie d’un résident du Ritz-Carlton Montréal

Vendredi 9 août, Paris
Le voyage touche à sa fin. Madame et monsieur sont impatients de retrouver leur magnifique appartement des Résidences au Ritz-Carlton Montréal. Prévenant une amie de son retour, Madame apprend au détour de la conversation que la canicule sévit dans la métropole du Québec.

Grâce à l’application de son téléphone intelligent, en un tournemain, elle actionne l’air conditionné de son appartement, baisse ses stores et désactive son système d’alarme. Elle téléphone ensuite au formidable concierge des copropriétaires des Résidences au Ritz-Carlton Montréal. Peut-il prévenir la femme de chambre de faire le ménage avant leur arrivée et lui envoyer la limousine à l’aéroport? Ah oui, et puis, le réfrigérateur est vide. Est-ce possible de passer à l’épicerie faire quelques emplettes?

Samedi 10 août – Retour à Montréal
9 h 30 – Aéroport Trudeau Inutile d’appeler un taxi. Le chauffeur est déjà devant l’aéroport avec la limousine. Un soulagement après ces interminables heures de vol.

10 h 30 – Résidences au Ritz-Carlton
Quel bonheur de retrouver son chez-soi! Lovée dans le confortable canapé du salon et entourée de la douce lumière du matin, la pause lecture est un pur délice. L’air est frais, chaque chose est à sa place, le plancher de marbre brille, le réfrigérateur est plein… et le champagne est au frais! Le concierge et la femme de chambre ont encore fait un travail remarquable. Reste à faire signe aux amis. Après deux mois de voyage, un souper ne saurait tarder! Et pourquoi pas ce soir?

Grâce au téléphone relié à l’entrée des Résidences, le concierge n’est jamais bien loin. Peut-il réserver le service de traiteur de Maison Boulud pour 18 h? La réponse est, comme toujours au Ritz-Carlton, « Oui, bien sûr! »

13 h – Chambre principale – Résidences au Ritz-Carlton
Madame ouvre sa garde-robe. Stupéfaction! Comment une garde-robe peut-elle être si terne? Et les invités qui viennent ce soir… Mais elle y pense… L’autre jour, en parcourant le site de Holt Renfrew, une magnifique petite robe décolletée lui a fait de l’œil… ce serait trop bête de résister…

16 h – Résidences au Ritz-Carlton
Séance d’essayage personnalisée. La voilà cette petite robe noire! Elle le savait. Parmi les tenues sélectionnées et apportées en mains propres par l’équipe de Holt Renfrew, c’est bien elle la plus belle.

18 h – Résidences au Ritz-Carlton
Quelle réussite! Mets exquis, conversations animées, service discret : cette soirée de retrouvailles entre amis est inoubliable. Merci encore au service de traiteur du restaurant Maison Boulud!

19 h – Résidences au Ritz-Carlton
Les Canadiens de Montréal jouent contre les Bruins de Boston ce soir au Centre Bell! La nouvelle tombe comme la pluie sur un toit de tôle. Avec fracas. Pas question de rater ça! Changement de programme. Monsieur appelle le concierge. Les billets pour le Canadien sont rares… mais le concierge fait des miracles.

20 h 30 – Centre Bell
L’ambiance est à son comble. Les Canadiens viennent de marquer. Madame et monsieur retrouvent le charme unique de Montréal. À quand la coupe Stanley?

Et vous, aimeriez-vous ce style de vie? Le rêve peut désormais être réalité.

Des résidences sur deux étages époustouflantes

Les deux planchers supérieurs de l’immeuble comprennent des résidences sur deux étages offrant un style de vie unique. « Nous aimons à les appeler nos résidences de rock star, car elles rappellent celles situées à New York en bordure de Central Park », raconte Philippe Lawi un sourire aux lèvres.

Le couloir aérien en verre permettant de s’y rendre suffit à nous impressionner : de tous côtés, la ville s’étend, magnifique, et l’on se croirait dans le ciel.

En grande partie à aire ouverte, le salon présente d’immenses fenêtres de 25 pieds de haut, dont l’effet est spectaculaire. Un escalier majestueux fait le lien entre les pièces à vivre du premier étage (salon, salle à manger, cuisine) et les chambres du deuxième. Un ascenseur intérieur est également à la disposition des occupants.

Uniques à Montréal, ces appartements réunissent sous un même toit les avantages d’un condominium et d’une maison.

« Habituellement, dans un condo, on a des fenêtres sur un coin ou sur un côté. Mais ici, elles sont partout, comme dans une maison. Ainsi, dans les chambres, on profite d’une vue sur le Saint-Laurent, tandis que dans le salon, on regarde la montagne », précise Patty Xenos. Et comme les résidences sur deux étages sont installées sur le toit, le soleil est présent toute la journée.

Autre fait distinctif : chaque appartement jouit d’une immense terrasse côté jardin munie de sorties d’eau, d’électricité et de gaz. Autant de promesses de journées estivales radieuses, réunissant familles et amis autour d’un barbecue…

Situées directement au cœur de Montréal, en plein centre du Mille carré doré, les Résidences au Ritz-Carlton bénéficient d’un emplacement exceptionnel. Bien loin de n’être convoitées que par des visiteurs étrangers, elles rassemblent au contraire une clientèle montréalaise très diversifiée, à l’image de la métropole.

Construites pour durer, tout comme les hôtels Ritz-Carlton,  elles seront certes toujours synonymes de luxe et de raffinement au prochain centenaire de l’Hôtel.

Après quatre ans de travaux herculéens, les appartements seront tous prêts  dans quelques mois. Quelques-uns cherchent encore preneur. À qui la chance?

1 877 RITZ-MTL (748-9685)
514 788-4544
1270, rue Sherbrooke Ouest
Montréal (Québec) H3G 1H6
www.residences.ritzmontreal.com

Texte : Diane Stehle

 

Fondée à Montréal en 1879, la maison Birks s’est imposée au fil des ans comme le plus important détaillant, créateur et fabricant canadien de joaillerie et d’horlogerie. Récemment, la marque Birks, dont la boîte bleue est devenue une icône, a lancé quatre superbes collections ainsi que des bagues de fiançailles serties de diamants du Canada.

C’est en 1879 que le joaillier d’origine britannique Henry Birks ouvre son premier magasin. En 1887, il installe son atelier de joaillerie dans l’édifice du magasin principal situé au 1240, square Phillips à Montréal.

Grâce au talent de ses artisans joailliers, Birks s’impose rapidement comme l’un des chefs de file dans la fabrication et la distribution de bijoux haut de gamme. Sa boîte bleue est synonyme de raffinement et d’élégance; ses diamants symbolisent le cadeau de mariage le plus convoité qui soit.

Deux mille cinq marque un tournant dans l’histoire de la société. Fusionnant avec l’américain Mayors inc., joueur important du commerce de détail possédant 59 bijouteries de prestige au Canada et aux États-Unis, elle prend le nom de Birks & Mayors.

En avril dernier, Jean-Christophe Bédos est nommé président et chef de la direction de l’entreprise. Ancien président-directeur général de la prestigieuse joaillerie Boucheron, il s’est donné pour mission d’élargir l’horizon de l’entreprise en faisant de Birks une marque de renommée internationale.

Quatre nouvelles collections

Pour mieux faire connaître la maison, Jean-Christophe Bédos souhaite renforcer l’identité et le positionnement de la marque en créant de nouvelles gammes de produits qui sauront refléter ses particularités. À l’automne dernier, quatre nouvelles collections voient ainsi le jour. Toutes reposent sur la thématique du Canada, c’est-à-dire la nature, l’hiver, mais aussi sur le patrimoine de Birks.

« Nos collections Birks SnowflakeMC et Birks Rosée du MatinMC sont de véritables hymnes à la beauté des paysages canadiens », explique Eva Hartling, directrice des relations publiques. Tandis que la première offre de magnifiques pendentifs, bagues ou boucles d’oreille en diamants au motif de flocons, la seconde propose de superbes pavés de diamants en forme de gouttes d’eau.

Les collections Birks MuseMC et Les Plaisirs de BirksMC s’inspirent, quant à elles, d’éléments faisant partie intégrante de l’histoire de la marque. Plusieurs des bijoux en or blanc ou rose de 18 carats de la collection Birks MuseMC font ainsi référence à un détail architectural qui ornait le plafond de la première boutique Birks. « Nos créateurs se sont plongés dans les archives de la maison afin de s’inspirer de son patrimoine », ajoute la directrice. Fait notoire, la plupart des modèles de cette série peuvent être gravés d’un message contribuant à enrichir l’objet d’une valeur personnelle et sentimentale.

De plus, Les Plaisirs de BirksMC rassemblent d’adorables pendentifs en or blanc de 18 carats dont les motifs (feuille d’érable, fleur de lys, flocon de neige) rendent hommage à nos racines canadiennes.

Des diamants 100 % canadiens

Outre ces quatre nouvelles collections, les diamants canadiens font aussi partie de la nouvelle signature de Birks. La maison a récemment annoncé son engagement en matière de diamants extraits au Canada et propose désormais des bagues de fiançailles dotées de pierres centrales faites de diamants canadiens. Extraits conformément aux règles de l’éthique, ils s’avèrent particulièrement purs et rares.

« Tout comme pour le vin, on peut dire de nos diamants qu’ils sont d’origine contrôlée. La maison Birks garantit leur authenticité et permet à ses clients de connaître leur parcours, de la mine d’origine à notre boîte bleue », commente fièrement Eva Hartling.

Depuis ses débuts, Birks perpétue en effet une tradition de diamants de qualité. Dès 1879, Birks procédait déjà à une classification rigoureuse de ses diamants, n’offrant à ses clients que les meilleures gemmes au monde. Ainsi, les deux nouvelles collections de diamants de Birks, Birks 1879MC et Birks Square PhillipsMC témoignent de la place de choix que continue d’occuper le joaillier dans la catégorie des bagues de fiançailles. Très originale, cette dernière série s’inspire du style gothique de la cathédrale située juste en face du magasin.

Un service à la clientèle incomparable

L’achat d’un bijou, qu’il soit fait par pur plaisir, pour un mariage ou un anniversaire, correspond souvent à un moment important de la vie. « Comme nous partageons souvent des moments clés de la vie de nos clients, et que les bijoux incarnent un sentiment qu’ils éprouvent, un lien de confiance s’installe entre eux et nous. Nous développons des relations à long terme avec nos clients », ajoute Eva Hartling.

Après l’achat, Birks continue d’accompagner ses clients. Consciente de sa mission depuis 135 ans, Birks s’est toujours distinguée par l’excellence de son service à la clientèle. Ainsi, ceux qui font l’acquisition d’une bague de fiançailles bénéficient d’un service d’entretien gratuit. En effet, un diamant doit faire l’objet d’une vérification deux fois par an. Autant d’attentions et de suivi envers sa clientèle qui font toute la différence.

Depuis l’arrivée de Jean-Christophe Bédos à sa tête, un vent de renouveau souffle sur la maison Birks. Avec ses nouvelles collections et son engagement pour la fabrication de diamants canadiens éthiquement responsables, l’entreprise compte étendre son marché et sa renommée au-delà des frontières canadiennes. À voir l’énergie et l’enthousiasme qui animent son personnel, parions que la société aura bientôt relevé ces nouveaux défis avec brio.

À Montréal
1240, square Phillips
Montréal (Québec)  H3B 3H4
Tél. : 514 397-2511
Sans frais : 1 800 758-2511
Birks.com

Pour en savoir plus sur les diamants :
canadiandiamonds.birks.com/icepurecanadian/fr

Bâtie au milieu du 19e siècle sur la rue Sainte-Catherine par James Ogilvy, la Maison Ogilvy est vite devenue un symbole du magasinage haut de gamme à Montréal. Malgré plusieurs changements de propriétaire, elle a toujours conservé la même mission : proposer aux consommateurs des produits exclusifs en leur offrant un service hors pair. Retour sur une marque qui fait partie de l’histoire de la métropole.

 

Les débuts

C’est en 1866 que James Ogilvy, un immigrant écossais, ouvre un comptoir de linge de maison avec sa femme. Très vite lui vient l’idée de rapporter d’Europe des produits de grande qualité afin de les revendre à Montréal en exclusivité. Il comprend également qu’il ne faut pas se contenter de répondre à la demande du client, mais l’anticiper et même la créer. L’ADN d’Ogilvy est posé. En 1896, il déménage à l’angle des rues de la Montagne et Sainte-Catherine, décision tout à fait audacieuse à l’époque, puisque ce quartier deviendra l’actuel centre-ville. Devant le succès de sa boutique, il décide de l’agrandir et achète le terrain d’en face pour y bâtir un majestueux édifice victorien de quatre étages : la Maison Ogilvy.

 

L’établissement d’une identité forte

En 1927, J. Aird Nesbitt rachète l’établissement. Son apport sera déterminant dans la mise en place de l’identité de la marque et de son ascension. « Nesbitt était un véritable génie du marketing. Il avait décidé que la Maison Ogilvy serait un magasin unique en son genre, marqué par l’héritage écossais, alors que toutes les autres boutiques se ressemblaient. C’est grâce à lui que sont nées les traditions du cornemuseur et du tartan, aujourd’hui emblématiques d’Ogilvy », explique Steeve Lapierre, vice-président marketing chez Ogilvy.

Passionné de culture, J. Aird Nesbitt souhaite également organiser des concerts au sein de l’établissement. Celui-ci n’est pas assez grand? Qu’importe! Il fait bâtir un cinquième étage. Ainsi naît la salle Tudor, première salle de musique à Montréal.  « Avec les concerts d’orgue, la Maison Ogilvy a attiré les Montréalais et gagné leur sympathie. Cela ne s’est jamais démenti depuis. J. Aird Nesbitt voulait, par de tels événements, redonner à la communauté une partie de ce qu’il avait reçu. Cette notion fait toujours partie des valeurs fondamentales de la marque. »

 

Le concept du « shop-in-shop »

À la fin des années 1980, la Maison Ogilvy est vendue à un groupe de jeunes investisseurs. En plus de perpétuer la vision de J. Aird Nesbitt, ils procèdent à d’importantes rénovations et inventent un nouveau concept, le « shop-in-shop ». Pour la première fois au Canada, plusieurs boutiques indépendantes se retrouvent sous un même toit. Chacune présente ses produits dans un environnement unique et, surtout, compte sur un personnel dévoué, expert de la marque. Le succès est immense.

Aujourd’hui, Ogilvy se distingue toujours des autres magasins par l’expérience de magasinage incomparable qu’elle offre au public. Ainsi, le sous-sol abrite des marques jeunes et urbaines, telles que Vince, Canada Goose et Lacoste. Le rez-de-chaussée est quant à lui le paradis des cosmétiques et des accessoires haut de gamme. Bien entendu, les créations de Louis Vuitton ou encore de Longchamp, véritables icônes du luxe, sont offertes en exclusivité. Toujours à l’avant-garde, la Maison Ogilvy a d’ailleurs été la première à distribuer le fameux sac à main en cuir Le Pliage au Canada.

Les deuxième et troisième étages rassemblent les griffes les plus convoitées de la mode féminine, comme Luisa Cerano, Burberry, Michael Kors ou encore MaxMara Weekend ainsi que de vastes rayons de chaussures et de lingerie. Enfin, le quatrième étage se consacre aux hommes tandis que le cinquième est destiné à la maison (et abrite également la fameuse salle Tudor).

« Parce que tous nos vendeurs sont des spécialistes de leur marque, l’expérience de magasinage est profonde et ne ressemble à aucune autre », aime à souligner Steeve Lapierre.

 

Au-delà du magasinage, un style de vie

À l’instar d’Harrods à Londres ou des Galeries Lafayette en France, la Maison Ogilvy est devenue une figure emblématique de Montréal et possède une iconographie très forte, héritage de son riche passé.

Bien souvent, les touristes s’y rendent pour magasiner, bien sûr, mais aussi pour apercevoir son cornemuseur paradant à travers le magasin entre midi et 13 heures, ou pour admirer son immense chandelier. À Noël, ses vitrines peuplées d’animaux mécaniques et de paysages enchanteurs sont attendues par des milliers de personnes et donnent le coup d’envoi du temps des Fêtes.

Étrange phénomène que celui de ce grand magasin qui est perçu comme un géant, et ce, partout à travers le monde! « La Maison Ogilvy n’est pas qu’un simple lieu de magasinage : c’est un style de vie », ajoute Steeve Lapierre. Qu’elles soient intérieures ou extérieures, de nombreuses activités sont organisées par la direction du marketing afin de faire rayonner la marque. Ainsi, poursuivant la tradition instaurée par J. Aird Nesbitt, les concerts de musique d’I Musici ravissent chaque mois de nombreux visiteurs.  Au mois de novembre a lieu Ogilvy en Fête, un rendez-vous de magasinage et de gastronomie très prisé auprès du Tout-Montréal, dont le but est d’amasser des fonds pour la Fondation CHU Ste-Justine. « La Maison Ogilvy est reconnue pour son implication dans la communauté. Chaque année, plus de 3 000 personnes répondent présentes à notre collecte de fonds. »

Steeve Lapierre et son équipe sont convaincus que ce qui fait la différence, encore plus que les marques, « c’est l’expérience que les gens vivent lorsqu’ils viennent magasiner ici. »

 

L’art de se réinventer

Il y a environ un an, la Maison Ogilvy est devenue propriété de la société Selfridges, appartenant au multimilliardaire torontois Galen Weston. Ainsi, après tant d’années de concurrence, elle fait désormais partie de la même famille que Holt Renfrew. Toutefois, Steeve Lapierre voit cela d’un très bon œil. « La force d’Ogilvy est d’avoir toujours su se réinventer. Aujourd’hui, une nouvelle dynamique s’installe. Nous allons pousser encore plus loin l’expérience de magasinage. »
Steeve Lapierre et son équipe n’ont d’ailleurs pas perdu de temps. En quelques mois, ils ont mis en place de multiples initiatives visant à rajeunir l’image de la marque tout en la positionnant sur le marché.

À ce titre, la brochure de ce printemps met en vedette Karlie Kloss, l’une des mannequins internationales les plus demandées du moment. L’an dernier, la séance photo du mannequin vedette Sean O’ Pry, diffusée sur le site Web du magasin, a récolté près de 23 000 vues. « Nous souhaitons associer la marque avec les courants qui sont dans l’air du temps, afin de la rendre actuelle », précise Steeve Lapierre. Un nouveau site Web a également vu le jour cette année, et la marque est très présente sur les réseaux sociaux, Twitter comme Facebook.

Ce dynamisme, c’est en grande partie à Steeve Lapierre lui-même que la Maison le doit. Il faut dire qu’après 27 ans au service d’Ogilvy, dont sept à titre de vice-président marketing, l’homme connaît la marque comme le fond de
sa poche. Parmi ses nombreuses réalisations, il a, entre autres, changé l’orientation des brochures pour leur donner l’esthétique unique qu’on leur connaît aujourd’hui. Il a aussi mis en place Ogilvy en Fête et fait venir des marques comme Michael Kors afin de séduire les jeunes. Fortement marqué par l’esprit de Ralph Lauren à qui il voue une grande admiration, Steeve Lapierre croit fermement en la force d’une marque et en son pouvoir de raconter une histoire. « Nous souhaitons respecter le passé tout en le modernisant, afin de faire évoluer la marque avec son temps. »

Pilotée par une telle équipe de vente, nul doute que la Maison Ogilvy restera une référence incontournable de magasinage. Mais surtout, elle continuera longtemps de nourrir notre imaginaire.

 

LA MAISON OGILVY
1307, rue Sainte-Catherine Ouest
Montréal (Québec)
Tél. : 514 842-7711
– DIANE STEHLE

Après quatre ans de rénovations majeures, le Ritz-Carlton Montréal a rouvert ses portes en mai dernier, et célèbre, cinq mois plus tard, son centenaire. Cent vingt-neuf chambres ultra modernes, un restaurant gastronomique tenu par le renommé chef Daniel Boulud, des salles de réunions de toutes tailles et 45 résidences de luxe : la « Grande Dame de la rue Sherbrooke » est bel et bien de retour sur la scène montréalaise et vient d’ailleurs de remporter la prestigieuse cote cinq diamants.

Fondé en 1912 par six hommes d’affaires convaincus que Montréal avait besoin d’un établissement capable d’accueillir une clientèle de prestige, le Ritz-Carlton est rapidement devenu un hôtel mythique, symbole de luxe et d’élégance. En un siècle, la « Grande Dame de la rue Sherbrooke » a été au coeur de la société montréalaise. Hommes d’affaires, hommes politiques, artistes et célébrités s’y sont succédé. Parmi eux, citons Howard Hughes, Maria Callas, la Reine d’Angleterre, Winston Churchill, Charles de Gaulle, Pierre Elliott Trudeau, et plus récemment, les Rolling Stones et Céline Dion. Des événements importants de l’histoire du Québec y ont été discutés et des mariages ̶ notamment celui, en 1964, d’Élizabeth Taylor et Richard Burton ̶ célébrés. Le Ritz-Carlton, construit selon les normes exigeantes de l’hôtelier César Ritz, a su traverser le temps alors que les autres grands hôtels de la ville ont disparu.

Toutefois, en 2006, l’établissement a perdu de son lustre et a besoin de sérieuses rénovations. Le groupe Torriani et le groupe Mirelis rachètent l’hôtel et Andrew Torriani en devient le nouveau directeur.

Fils d’hôtelier, Andrew Torriani connaît bien le Ritz-Carlton pour y avoir travaillé avec ses trois frères lorsqu’ils étaient étudiants. « Nous avons fait tous les départements afin de payer nos études à l’Université McGill. C’est une période inoubliable. On travaillait fort, mais on s’amusait beaucoup aussi. Quand je suis devenu directeur de l’hôtel, je trouvais ça triste de le voir se dégrader, d’autant plus que je savais de quel potentiel il était doté ». Mû par son attachement à l’hôtel légendaire, il décide de redorer son blason et d’en faire, non pas un simple cinq étoiles, mais un cinq étoiles extraordinaire. « Nous visons la qualité des meilleurs hôtels au monde. »

DES TRAVAUX GIGANTESQUES
À partir de 2008, il entreprend une restauration de 200 millions de dollars à l’aide d’une équipe choc, composée du gestionnaire de projets COPRIM, de l’entrepreneur général Pomerleau, des architectes Provencher Roy et Associés et du designer PXDi. Objectif : redevenir le chef de file des établissements hôteliers de luxe en offrant le nec plus ultra en matière de confort et de service personnalisé. « Nous souhaitions toutefois conserver le classicisme et le caractère de cet hôtel mythique », souligne le directeur.

La façade de l’édifice et les espaces publics sont ainsi préservés et restaurés, de même que le fameux Salon Ovale et le jardin. L’un des changements majeurs consiste en la réduction considérable du nombre de chambres afin de les moderniser du tout au tout. En effet, l’hôtel comptait 229 chambres avant les rénovations, « ce qui est trop pour un cinq étoiles », commente Andrew Torriani. « Aujourd’hui, en Amérique du Nord ou en Europe, un hôtel de luxe doit être plus petit pour pouvoir rendre un service vraiment personnalisé. De plus, il fallait trouver un moyen de financer les rénovations », ajoute-t-il. Les nouveaux propriétaires décident donc d’agrandir et de convertir une partie de l’immeuble historique en résidences privées de grand luxe. Composées de 45 unités, ces condominiums offrent un hébergement haut de gamme tout en permettant à leurs résidents de bénéficier de tous les services d’un hôtel 5 diamants.

DES CHAMBRES À LA FINE POINTE DE LA TECHNOLOGIE
Aujourd’hui, le Ritz-Carlton dispose donc de 98 chambres et de 31 suites, dont la Suite Royale de 4 700 pieds carrés, la suite hôtelière la plus spacieuse de Montréal. Totalement rénovées, elles offrent les plus hauts standards en matière de luxe et de confort. Une première à Montréal, chaque chambre s’appuie sur des technologies avantgardistes : cartes magnétiques, système capable d’enregistrer la chaleur corporelle et d’ajuster automatiquement l’énergie requise dans la pièce, détecteurs de mouvement activant des lumières la nuit pour guider les clients vers la salle de bain, etc. : cette technologie est un atout majeur permettant d’offrir un service à la clientèle unique. « Ce sont les détails qui font la différence. Chaque client peut activer une lumière à l’entrée de sa chambre pour indiquer à la femme de chambre s’il est présent ou non. Ainsi, celle-ci sait immédiatement si elle peut entrer. De plus, nous conservons dans notre système informatique des informations précieuses concernant les préférences des clients. Température préférée dans les chambres, boisson ou plat favoris : tout est répertorié. Nous pouvons ainsi leur offrir une expérience entièrement personnalisée. Au Ritz-Carlton, nous ne faisons pas que répondre aux demandes des clients. Nous les anticipons. »

Dans les salles de bains, chauffe-serviettes, planchers (de chez Parquet Royal) et comptoirs chauffants, ainsi que sièges de toilette avec abattant automatique offrent un confort sans pareil. Ces prouesses technologiques s’intègrent parfaitement dans un décor mariant joliment l’ancien et le moderne. Murs, planchers et mobilier bénéficient de la qualité exceptionnelle des pierres naturelles de Moruzzi, le plus grand détaillant de pierres au Canada. Dans certaines suites, on retrouve les foyers en marbre de 1912, vestige heureux d’une époque révolue. De nombreux meubles d’époque, comme ce magnifique bureau dans la Suite Royale, propriété de l’hôtel depuis sa fondation, apportent une touche romantique et classique à l’ensemble. Les superbes compositions florales de la maison Bouquet par Jean-Pascal de Jean-Pascal Lemire viennent parfaire le tout.

Fait intéressant dans un milieu traditionnellement réservé aux couples ou à une clientèle d’affaires, dans les 22 suites conjointes offertes par l’hôtel, les espaces ont été judicieusement aménagés afin de recevoir des familles et de préserver l’intimité de chacun.

En outre, les rénovations ont permis aux propriétaires d’isoler totalement le bâtiment et de le rendre davantage écoénergétique. Ainsi, lorsqu’une chambre est inoccupée, la température diminue afin de réduire les pertes énergétiques. Pourvues de fenêtres  anti-acoustiques, elles sont aussi totalement insonorisées. Enfin, la magnifique piscine d’eau salée est entièrement chauffée avec la chaleur excédentaire de la cuisine de l’hôtel.

UN LIEU IDÉAL POUR LES RÉUNIONS
Lors de la restauration de l’hôtel, l’un des objectifs était de pouvoir offrir aux entreprises des espaces de travail adaptés. Aujourd’hui, l’hôtel dispose de plus de 12 000 pieds carrés de salles de réunion de toutes tailles, se prêtant aussi bien à des rencontres de conseil d’administration qu’à des galas ou mariages de 300 personnes. Dotées d’un équipement audiovisuel d’avant-garde, celles-ci s’accompagnent, en outre, d’un personnel dédié hors pair.

Un service de traiteur raffiné ainsi qu’une cuisine entièrement cachère (la seule dans un grand hôtel à Montréal) sont à la disposition des organisateurs. Bien entendu, il est aussi possible d’aller découvrir le nouveau restaurant de l’hôtel, Maison Boulud, tenu par le fameux chef Daniel Boulud, une institution dans le monde culinaire.

Que ce soit dans la salle à manger aux lignes contemporaines, dans la superbe serre vitrée ou, l’été, dans le jardin qui accueille depuis 1950 de charmants canetons, on savoure dans ce lieu une cuisine inspirée, profondément ancrée dans la tradition française. « Depuis notre réouverture, la clientèle de l’hôtel a beaucoup rajeuni et s’est considérablement diversifiée, notamment grâce à ce nouveau restaurant gastronomique », indique Andrew Torriani. Cerise sur le gâteau, le célèbre joaillier Tiffany & Co. a installé sa nouvelle boutique non loin du restaurant. De quoi combler les visiteurs les plus exigeants! Lorsqu’on demande au directeur ce que signifie la réouverture du Ritz-Carlton pour Montréal, il nous répond, le sourire aux lèvres : « Je crois que toute grande ville a besoin d’un ou deux grands hôtels pour montrer aux yeux du monde qu’elle se porte bien. Le Ritz-Carlton joue ce rôle pour Montréal. »

Si l’on en croit l’effervescence provoquée par le centenaire de l’hôtel en octobre dernier, attirant de nombreux invités de marque, dont Leurs Altesses Sérénissimes le prince et la princesse de Monaco, nul doute que le Ritz-Carlton a repris son rang de phare de raffinement au coeur de Montréal et qu’il continuera longtemps encore d’attirer célébrités, gens d’affaires et artistes!

www.ritzmontreal.com

 

LE SAVIEZ-VOUS?
– Les premières personnalités à séjourner au Ritz-Carlton Montréal sont Frederick Williams-Taylor, directeur général de la Banque de Montréal, et Montagu Allan, banquier et sportif de renom ayant fondé la Coupe Allan.
– En 1912, l’occupation en chambre avec bain coûte 3 $, celle en chambre double avec bain 5 $. Pour l’époque, c’est cher, mais pas pour ceux qui deviennent rapidement des clients réguliers.
– En 1957, le milliardaire Howard Hughes est l’un des invités de marque de l’hôtel. Il est entouré de gardes du corps, de trois détectives privés, de deux secrétaires, de huit conseillers financiers, de deux valets et un barbier.
– Plusieurs personnalités du 20e siècle ont séjourné au Ritz. Citons, entre autres, Sarah Bernhardt, Maria Callas, Gene Kelly, Luciano Pavarotti, Sophia Loren, Charles Aznavour, Richard Nixon, Brian Mulroney, George Bush Sr., Catherine Deneuve, Björk et John Travolta.
– Quinze ans : tel est le nombre d’années record durant lequel séjourna un résident permanent au Ritz-Carlton Montréal.
– Le résident permanent le plus célèbre du Ritz-Carlton est sans doute le peintre basque Alphonse Jonguers.
– Le Ritz-Carlton accueille chaque année, au printemps, des canetons du Lac Brome.
– Durant la Seconde Guerre mondiale, le Ritz-Carlton s’est rempli de réfugiés et a abrité généraux et hauts membres de la police comme Herbert Lehman, directeur de l’Administration des Nations-Unies pour le secours et la réhabilitation.
– La plus vieille bouteille de la cave du Ritz-Carlton remonte à 1815, année de la Bataille de Waterloo.»
– Le Ritz-Carlton a longtemps servi de lieu de rencontre au fameux Club 55, un groupe de gourmets y dînaient régulièrement pour ensuite rédiger des chroniques dans le magazine Gastronomie.

 

LE RITZ EN 15 DATES
1909 : Les six fondateurs créent la Carlton Hotel Company of Montreal Limited.
FÉVRIER 1912 : César Ritz accepte de donner son nom à l’hôtel à condition que certains standards de luxe soient respectés, notamment, que chaque chambre comporte une salle de bains, qu’un service de conciergerie soit créé et qu’un grand escalier soit bâti pour que les dames puissent faire des entrées remarquées avec leurs robes de soirée.
31 DÉCEMBRE 1912 : Le Ritz-Carlton Montréal ouvre ses portes.
14 FÉVRIER 1916 : Le Ritz-Carlton est choisi pour être le lieu où sera passé le premier appel téléphonique transcontinental.
1940 : Le Club du Canada commence à tenir régulièrement des réunions au Ritz-Carlton. Holt Renfrew y présente un défilé de mode deux fois par an, attirant chaque fois plusieurs centaines de personnes.
1947 : François Dupré, propriétaire des célèbres hôtels Georges V et Plaza Athénée, achète le Ritz-Carlton Montréal.
1949 : Le Ritz Café ouvre ses portes.
1957 : Une nouvelle aile comprenant 67 chambres et suites est construite.
1964 : Elizabeth Taylor et Richard Burton débarquent à l’hôtel sans préavis et décident de s’y marier. Ils commandent deux caisses de champagne et demandent à deux employés de l’hôtel d’assister à leur mariage.
1976 : L’hôtel se voit décerner la cote la plus élevée qu’un hôtel puisse avoir : les 5 diamants du CAA/AAA.
1988 : La Reine mère séjourne au Ritz-Carlton pour assister à un banquet d’État.
2009 : Durant les travaux de rénovation du Ritz-Carlton Montréal a lieu le tournage du film Barney’s Version dans le Salon Ovale et le jardin.
2010 : Le Ritz-Carlton vend le condo le plus cher de l’histoire du Québec.
2008-2012 : Le Ritz-Carlton subit des travaux de rénovation de 200 millions de dollars. Il rouvre ses portes le 28 mai 2012.
26 OCTOBRE 2012 : Pour son centenaire, l’hôtel organise un gala réunissant de nombreux invités de marque.

 

-DIANE STEHLE

 

Au sud-ouest de la côte floridienne se trouve une île réputée être « le meilleur endroit pour vivre aux États-Unis », notamment en raison de son climat tropical : les moyennes mensuelles se maintiennent généralement au-dessus de 18 °C et on y compte environ 234 jours de soleil par an. Ça vous dit quelque chose? Palm Beach, valeur sûre pour les amateurs de farniente et d’hôtels luxueux, est également renommée pour avoir longtemps attiré l’élite de la société américaine, notamment les familles Kennedy, Pulitzer et Trump. Selon l’office de tourisme des États-Unis, Palm Beach serait le lieu de rencontre des vedettes et des milliardaires, et « les paillettes de la ville, son ambiance festive et le vent chaud de l’océan vous assureront le dépaysement ».

L’HÉBERGEMENT
Les choix d’hébergement sont multiples, mais pour un séjour inoubliable au coeur de ce paradis de villégiature l’hôtel The Breakers Palm Beach s’impose sans conteste. Créée dans le style de la renaissance italienne et inspirée des somptueuses villas italiennes du 15e siècle, cette luxueuse station balnéaire est devenue l’une des destinations insulaires les plus prisées aux États-Unis, entre autres pour les mariages et les événements sociaux de grande classe. Son architecture européenne, ses allures de palais aux fresques murales et son bord de mer de style St-Tropez en font un lieu tout désigné pour un mariage raffiné et romantique.

Répertorié dans le registre national des sites historiques, le site de villégiature a bénéficié d’investissements de l’ordre de 250 m$ durant la dernière décennie, pour sa revitalisation et son expansion. la phase finale de ces travaux a concrétisé la rénovation et la reconfiguration de toutes les chambres d’invités qui offrent dorénavant un tout nouveau décor inspiré de l’ambiance tropicale, de la proximité de l’océan et de l’histoire de l’établissement. avec ses récentes commodités, salles de bains en marbre, mobilier et luminaires faits sur mesure, internet sans fil et télévisions dernier cri, l’hôtel satisfait aux normes les plus exigeantes tout en procurant un confort maximal. les propriétaires de l’hôtel se sont d’ailleurs engagés à y immobiliser environ 20 m$ par année pour assurer sa pérennité et protéger son caractère unique.

The Breakers Palm Beach compte aujourd’hui 540 chambres d’invités, incluant 68 suites, dont la luxueuse imperial Designer Suite, un appartement de 1 700 pieds carrés récemment refait par une équipe de designers très branchés. affichant maintenant le chic et l’élégance intemporelle du « Old Hollywood », la suite comprend une chambre et une salle de bains somptueuses, un salon, une salle de séjour, une salle à manger pouvant accueillir huit personnes et des balcons donnant sur la mer…

AU PROGRAMME
Les amateurs de plage et de baignade sont servis comme des rois au Breakers qui se targue d’offrir une « expérience de bord de mer » fusionnant l’ambiance décontractée de la Riviera française, le magnétisme du littoral italien et le charme intemporel de Palm Beach. Il est vrai que la plage privée de l’hôtel, avec ses 800 mètres de sable blond et ses luxueux chalets privés (location de jour), les cinq piscines de rêve et toutes les activités et excursions nautiques offertes en harmonie avec la vie marine et la barrière de corail voisine  offrent des choix déchirants. C’est d’ailleurs dans ce même esprit que le spa de l’hôtel a été aménagé face à la mer, comme un sanctuaire. Regroupant des baignoires à remous et 17 salles de traitements privées, certaines intérieures avec vue sur l’océan et d’autres extérieures, gratifiées du son des vagues et de la brise océane, le spa offre une gamme infinie de soins du corps et… de l’esprit. la détente ultime!

Côté plaisirs gastronomiques, on trouve sur le site et à proximité de nombreux restaurants proposant une cuisine variée allant des grillades aux fruits de mer, en passant par la cuisine italienne. enfin, si vous êtes un adepte du golf, sachez que vous disposerez sur place du plus ancien parcours de golf de Floride, un 18 trous de 6 100 verges entièrement redessiné en 2000 et aménagé pour les joueurs de tous les niveaux. Est-il nécessaire d’ajouter qu’une foule d’activités sont au programme pour les grands et les petits, quelles que soient leurs ambitions de vacances? L’endroit idéal pour la période de relâche scolaire n’est-ce pas?

www.thebreakers.com

 
– SYLVIE LAMOTHE

Puerto Vallarta. L’évocation même de cette station balnéaire mexicaine nous fait rêver. Plages bordées de palmiers, couchers de soleil réputés parmi les plus beaux au monde, température idéale… Juché au sommet d’une montagne dans un immeuble de douze étages, ce condo à la vue imprenable sur la mer est un véritable écrin au coeur du petit village de Malpa.

UN DÉCOR GLAMOUR, JOUANT SUR LA SYMÉTRIE
Lorsque Stéphane Fréchette et Robert Sauvé, designers de renom et propriétaires de la galerie NordSouth Intérieurs à Montréal, sont chargés d’aménager cet appartement de 3 000 pieds carrés, la direction qu’ils souhaitent prendre est claire : créer un décor glamour, exotique et élégant. De fait, à peine franchi le hall d’entrée, le lieu nous impressionne par sa beauté.

Construit sur une judicieuse symétrie, le salon tout de blanc vêtu se dédouble de part et d’autre comme dans un miroir : canapé en lin, tapis shag, table de verre et chandelier en cristal se font face. Seule différence : les superbes tableaux de l’artiste québécoise Marie-Josée Roy, apportant une puissante touche de poésie à l’ensemble. « Ces tableaux ont été faits sur mesure. L’un représente un homme soufflant vers l’océan, l’autre une femme, cheveux au vent, regardant vers l’horizon », explique Stéphane Fréchette. Dans tout l’appartement, un sol en marbre couleur café court au sol, contribuant à la luminosité des lieux.

Entouré d’une immense fenestration, le salon se prolonge sur une terrasse couverte jouissant d’une vue spectaculaire sur la mer. « Dès que les propriétaires arrivent ici, ils ouvrent les rideaux qui se déplient comme un accordéon. Le soir, comme il fait chaud à Puerta Vallerta, c’est la pièce la plus agréable à vivre. Le vent et l’air frais de la mer y pénètrent agréablement. D’ailleurs, les propriétaires m’ont confié qu’ils délaissaient leur lit bien souvent pour venir dormir sur les canapés modulaires! », raconte en riant le designer. Deux longs et hauts vases parés de magnifiques bouquets, composés par Stéphane Fréchette lui-même, ajoutent de la couleur à ce décor monochrome. Au centre, en plein coeur de cet environnement tropical se dresse un joli foyer d’ambiance, sorte de clin d’oeil ludique au Québec, patrie des propriétaires. Quelques marches mènent à la piscine, dont l’entrée est jalousement gardée par une magnifique tête de Bouddha. « Dans cet immeuble, chaque condominium dispose de sa piscine privée ». Inutile de dire que les soirées festives que les propriétaires aiment à organiser doivent être hors du commun!

L’UNIVERS D’UN ESTHÈTE
Dans tout l’appartement, la passion des propriétaires pour l’art contemporain transparaît et lui confère une âme toute particulière. Ainsi, dans la salle à manger, faisant écho à la brillance du lustre en cristal et de la table laquée, se dressent deux oeuvres d’art s’inscrivant dans une palette de tons dorés : l’élégante sculpture en chrome de Rebag, Le New-Yorkais, ainsi que le Mangeur de roches, du Mexicain Jonas, tout en bronze et en pierres semi-précieuses, et posée sur un piédestal en cristal transparent.

Tandis que le salon faisait du blanc sa couleur de prédilection, la salle à manger et la cuisine se parent d’un noir lumineux et brillant. Seules les huit chaises italiennes en cuir blanc entourant la jolie table conçue par Stéphane Fréchette assurent la continuité avec le salon. Dans la cuisine, l’ilôt présente un comptoir en granit intégrant une plaque au gaz. Deux majestueux luminaires en verre Murano se déploient de part et d’autre de la hotte comme deux fleurs fantastiques.

La grande armoire en laque italienne, aussi belle que pratique, offre beaucoup de rangement. « La cuisine était déjà faite quand j’ai été chargé de réorganiser l’appartement. Elle a simplement été personnalisée par des tableaux et des accessoires », déclare Stéphane Fréchette. Deux peintures de l’artiste italien Karim Ghidinelli viennent ainsi enrichir le tout.

UN STYLE ÉPURÉ INVITANT À LA DÉTENTE
La chambre principale ainsi que la chambre d’amis ont été aménagées de manière tout à fait identique. Le mobilier a été réduit au minimum afin de conserver l’impression de vastitude et de sérénité de l’endroit. « Je voulais un décor élégant, chaleureux mais épuré », explique le designer.

Disposé sur un doux tapis à poils longs comme au salon, le lit en Ultrasuède présente une tête de lit capitonnée, incrustée de cristaux Swarosky on ne peut plus glamour. De chaque côté, de charmantes tables de chevet en bois avec miroir Gucci soutiennent une lampe provenant de la boutique NordSouth Intérieurs. Un fauteuil gris anthracite également en Ultrasuède et cristaux Swaroski répond à l’élégant lit. Enfin, devant la fenêtre, se tient une sculpture d’un artiste local nommé Bero dont le travail nous rappelle celui de Giacometti. Enfin, la vue sur la piscine contribue à faire de cette chambre un véritable havre de paix. Une simple porte coulissante permet de passer aisément de la chambre à la salle de bains. Au sol, des dalles en ardoise noire. Sous la baignoire ovale, des galets gris foncé. Jouant sur le contraste des formes, les meubles-lavabos et les miroirs ont été choisis rectangulaires, venant faire opposition aux courbes de la baignoire. La douche est, quant à elle, munie d’élégants panneaux de verre teinté. Mais la pièce maîtresse réside sans doute dans le tableau d’Alain Cardinal dont le cadre en bois rouge et la figure d’un homme marchant à la rencontre d’un train marquent l’endroit d’une empreinte originale et forte.

Après avoir visité cet appartement exceptionnel, on se dit que décidément, Puerto Vallarta n’a pas fini de nous faire rêver!

 
Galerie NordSouth Intérieurs
www.nordsouth.com
MONTRÉAL :
8128, Décarie Montréal (Québec) H4P 2S8
514 288-1292
MIAMI :
16600 N.W. 54th Avenue suite 6, Miami Gardens,
Floride, USA 33014 (305) 621-0110
PUERTO VALLARTA :
Avalon #806 Gardenia 248. Col Amapas, Puerto Vallarta, Jalisco 48399
011-521-322-110-1022 ou (305) 205-5958

 

– DIANE STEHLE

Laval, ville d’affaires, ville de banlieue, ville de villégiature et ville de culture qui attire de plus en plus de familles et de gens d’affaires heureux d’avoir accès à la nature sans trop s’éloigner du centre-ville de Montréal. La Ville de Laval s’est d’ailleurs dotée d’un plan de développement qui repose sur une approche dite d’urbanisme durable. La planification urbaine est audacieuse et bien organisée, et plusieurs entreprises en profitent pour s’y installer. de nombreux projets immobiliers s’y développent aussi et contribuent au dynamisme actuel de la ville.

UNE VILLE HAUT EN COULEUR
Grâce aux montagnes et aux nombreux parcs naturels de la région des Laurentides, la rivière des Mille Îles, le quartier historique de Sainte-Rose et les activités diversifiées de son centre-ville, Laval est devenue une destination touristique et un axe d’affaires recherché en plus d’un milieu de vie convoité.

UNE VILLE EN ÉVOLUTION
Le développement immobilier, particulièrement le marché de la copropriété, est en explosion à Laval. des projets localisés en plein centre-ville et en périphérie sortent des sentiers battus pour offrir qualité de construction et qualité de vie en donnant toute l’importance voulue aux besoins des résidents. La créativité des différentes constructions rend certes le choix difficile pour ceux qui songent à s’installer dans la région.

Les condos Quintessence, par exemple, possèdent une architecture tellement raffinée et soignée qu’il est impossible de ne pas les remarquer. Outre les détails architectoniques, l’extérieur impressionne par ses aires de verdure, son allée boisée et ses multiples boutiques, cafés et bistros de grande classe qui occupent le rez-de-chaussée. L’aménagement de la somptueuse cour centrale munie d’une piscine ne laisse rien au hasard et prend des allures de havre grec avec ses invitants récamiers à baldaquin disposés çà et là sur le patio. L’intérieur est tout aussi princier que l’extérieur. Chics, classiques, les condominiums signatures et les penthouses du Quintessence reflètent la générosité des matières riches sous la pureté lumineuse du blanc.

À proximité du centre-ville et de tous ses services se trouve le village urbain d’Urbania qui propose un quartier dynamique avec accès rapide aux centres commerciaux, aux cafés, restaurants et librairies populaires. au-delà de la qualité de construction et du  modernisme du style, Urbania présente une grande variété d’unités dont les caractéristiques varient avec originalité sur le plan de l’aménagement et du nombre de chambres.

Tout près du Carrefour Laval et du Centropolis, le projet Viva Condos urbains regroupe plus de 700 unités dans un style qui marie couleurs riches et textures modernes. Chacun des huit immeubles qui composent le Viva dispose d’un gymnase privé, et tous sont reliés par une cour intérieure où un sentier pédestre a été aménagé. Les résidents trouvent aussi sur leur chemin des jardins, des fontaines et un vert de pratique pour le golf! De l’espace au-dehors, mais aussi au-dedans, grâce à la variété dimensionnelle des unités qui permet de répondre aux besoins et au goût de chacun.

Le boulevard Saint-Élzéar Ouest voit aussi poindre les Condos Lumière, une construction où le verre occupe une place centrale au sein d’une architecture moderne au design spectaculaire. Encore ici, les espaces verts se multiplient à l’extérieur afin d’offrir aux résidents un riche environnement naturel qui compte même une patinoire en hiver! Les unités s’ouvrent toutes sur l’énergisante lumière naturelle qui pénètre et qui se répercute sur les matières lisses choisies dans des teintes de base de blanc, gris, et café. D’une douce élégance!

Centropolis, propriété de la société immobilière canadienne Ivanhoé Cambridge, une destination commerciale qui s’est développée sur plusieurs années et qui continue de croître d’année en année. « nous avions le projet de créer un lieu de rassemblement et de socialisation, nous dit Hélène Veilleux, directrice générale de Centropolis, et nous sommes très fiers du fait qu’au-delà des retombées économiques positives que Centropolis apporte à la région, les gens ont enfin un lieu central hors du commun où se réunir, se retrouver et passer plusieurs heures entre amis ou en famille, à bouger, à manger ou à se divertir! »

Centropolis est un immense complexe qui réunit boutiques, restaurants et lieux de divertissement et d’activités physiques. Il occupe une superficie totale de 3,5 millions de pieds carrés (!), dont 550 000 sont des espaces locatifs. Les bâtiments, construits dans le respect des normes environnementales élevées, entourent la Place Centrale où de nombreuses activités extérieures se déroulent en toute saison. en été, l’espace est animé par des séances de yoga et de Zumba (danse aérobique latine) ou par des spectacles de musique et des projections de film. en hiver, on peut patiner des heures durant sur la glace réfrigérée. L’un des attraits uniques de Centropolis est sans contredit le nouveau restaurant de glace amarula. entièrement construit de glace et de neige, ce restaurant est le deuxième du genre en amérique du nord! en semaine ou pour le brunch dominical, c’est une expérience à ne pas manquer! Qui plus est, les plats sont préparés par le chef Éric Gonzalez de l’auberge Saint-Gabriel de Montréal, connu pour son goût fin et ses assiettes structurées…

Centropolis réunit d’autres restaurants dont l’offre est tout aussi variée selon le style culinaire et le décor recherchés : de la Méditerranée au Québec urbain en passant par la Thaïlande et l’europe, les saveurs de 24 restaurants s’offrent à vous. Pour n’en nommer que quelques-uns, mentionnons le restaurant L’arômate, le Calvi, le Mikasa sushi bar et le enoteca Mozza. et pour terminer la soirée, quoi de mieux que de poursuivre la fête dans un des bistros ou dans une des boîtes de nuit présents sur le site? deux activités un peu « extrêmes », exclusives au Canada, sont rapidement devenues populaires lorsqu’elles ont été introduites à Centropolis. Il s’agit pour la première du Maeva Surf ou du flowboarding qui se définit comme un mariage de surf, de skateboard et de snowboard. La deuxième est le SkyVenture, un tunnel à soufflerie vertical qui reproduit l’effet de la chute libre d’un saut en parachute. Tentés par l’expérience?

Le site compte trois centres de conditionnement physique, un spa, un cinéma (le Colossus), des boutiques haut de gamme, comme la mercerie pour hommes Henri Vézina, une maison de grande réputation et Joaillerie Signature qui propose des collections exclusives de marques réputées comme Chanel, Gucci et U-Boat. enfin, Centropolis possède aussi une composante de bureaux et services qui regroupe en tout 24 centres d’affaires. Malgré la grande variété de son offre, Centropolis continue de grandir et de se développer. ainsi un investissement de plus de 30 millions de dollars sera fait afin d’ériger une tour de bureaux dont l’ouverture est prévue pour 2014.

UNE VILLE QUI FAIT ENVIE
Sur tout le territoire de Laval, on trouve des adresses de renom, entre autres, les deux concessions du Groupe Lauzon automobiles, audi et Porsche, qui suscitent un intérêt grandissant auprès de la clientèle amatrice de véhicules allemands aux qualités indéniables. L’ouverture du nouveau Terminal audi y est certes pour quelque chose, mais les conseils et services des professionnels expérimentés des deux garages y jouent aussi un rôle très important dans la satisfaction de la clientèle.

Côté mode, Laval fait aussi envie avec des boutiques de prestige réparties sur ses artères principales où les gens soucieux de leur apparence peuvent compter sur des vêtements et des accessoires originaux et souvent exclusifs. C’est le cas de la boutique Le Lavalois du boulevard Le Corbusier qui offre des marques griffées de designers québécois, canadiens et européens, telles que Basler, elisa Cavaletti, roberto naldi, Gerry Weber, pour les femmes et Meyer, Bruno Saint Hilaire, Bugatti, Baumler, pour les hommes. « nous avons des produits de grande qualité, c’est vrai, mais notre personnel conseille nos clients judicieusement dans leur choix, en fonction de leur goût, mais aussi en fonction de la coupe qui leur sied le mieux, nous précise le propriétaire Claude Cossette. Parfois, un petit ajustement fait toute la différence entre un beau vêtement et une apparence impeccable. C’est pourquoi nos couturiers à la touche italienne sont si populaires! »

Côté restauration, la ville compte une variété d’institutions qui sauront ravir tous les palais et tous les appétits. Le Mitoyen, un des 31 restaurants classés Quatre diamants au Québec, se démarque pour sa cuisine et aussi pour son décor champêtre. Le Saint-Christophe est aussi à visiter de même que le restaurant Amato spécialisé dans la cuisine italienne.

UNE VILLE QUI BOUGE
Pour ceux qui s’interrogeraient sur les activités à faire à Laval, sachez qu’elles sont nombreuses et variées! en hiver comme en été, ou pour la relâche du printemps, les parcs, galeries et centres d’interprétation bouillonnent de propositions.

En hiver, la Ferme L’auteuilloise propose le Poney luge, une activité de glisse unique, et le skijoring où le skieur est tiré par un cheval! Originales à souhait, ces deux activités sont, surtout, très populaires. Le Parc de la rivière-des-Mille-Îles inscrit de nombreuses activités à son horaire hivernal et printanier. Il est possible, entre autres, de s’adonner à la pêche blanche, à la glissade ou à la sculpture sur neige. En été, alors que la température nous invite à la détente et aux activités plus relaxantes, on peut vivre une réelle expédition à bord d’un bateau-dragon sur la rivière des Mille Îles, ou profiter de la Marina Venise pour se laisser flotter sur un ponton ou pour se rafraîchir dans la piscine.

Les activités familiales occupent une grande place dans la vie des Lavallois. Ainsi, les enfants peuvent étendre leurs connaissances du monde scientifique en vivant Les samedis au labo que propose le Musée armand-Frappier. Ils pourront aussi enrichir leur culture scientifique au Centre d’interprétation de l’eau qui prévoit une série d’activités éducatives très stimulantes.

UNE VILLE RICHE D’HISTOIRE ET D’ART
Le Vieux Sainte-Rose est un lieu de rendez-vous incontournable pour les résidents et les visiteurs de la région. Ce secteur propice aux découvertes culinaires propose aussi de nombreuses boutiques, antiquaires et galeries d’art comme la Galerie d’art La Vieille caserne où des artistes en arts visuels créent des oeuvres sous le regard charmé des visiteurs.

L’art occupe réellement une place de choix dans ce secteur de la ville, puisqu’il s’y déroule de multiples événements à longueur d’année : festivals, spectacles musicaux et autres événements populaires, sans oublier le très visité Symposium de peinture et de sculpture de Sainte-Rose du début du mois d’août.

Les circuits patrimoniaux qui sont suggérés dans ce quartier historique vous permettront de faire connaissance avec le passé de ce secteur tout en marchant librement, guidés par le plan de visite disponible un peu partout.

Bref, Laval est une région qui bouge, qui progresse, qui s’active et qui profite de son bagage historique et de son avantageuse localisation. Riche de vie et riche d’occasions de profiter de la vie!


– SANDRA GRAVEL
PHOTOGRAPHIES : JIMMY HAMELIN

Vivre au Ritz-Carlton. Désormais, ce rêve est possible grâce à une nouvelle formule, unique à Montréal, offerte par les Résidences au Ritz-Carlton : devenir propriétaire d’un condo luxueux en bénéficiant de tous les services cinq étoiles de l’hôtel.

DES RÉSIDENCES D’UN CALIBRE EXCEPTIONNEL
Le Ritz-Carlton Montréal, qui vient de fêter son centenaire, a rouvert ses portes et présente désormais 45 résidences d’exception. Situées dans la partie sud-ouest de l’édifice, ces nouvelles sections toutes de verre vêtues côtoient à merveille la pierre de l’édifice patrimonial. C’est au cabinet d’architecture de renom Provencher Roy et Associés que l’on doit cet heureux mariage entre l’ancien et le moderne. « Nous avons mandaté Claude Provencher et son équipe, car il était important pour nous de respecter la richesse de l’immeuble », commente Philippe Lawi, directeur de projets aux Résidences au Ritz-Carlton.

De fait, les résidences ont dû se conformer aux exigeants standards du Ritz-Carlton afin d’offrir une qualité de construction, de services et de définition hors pair. « Le Ritz-Carlton a approuvé toutes les finitions dans les moindres détails », souligne Rucsandra Calin, directrice des ventes des Résidences. Quelle que soit leur taille, tous les appartements ont fait l’objet du même soin et de la même qualité de finition.

« Contrairement aux autres projets immobiliers de luxe qui offrent une qualité proportionnelle à la grandeur des appartements, ici, tous nos condos bénéficient des mêmes standards. Il n’y a pas de résidence moins Ritz ou plus Ritz. Il y a seulement une résidence Ritz, que l’on habite le pied-à-terre avec vue sur le jardin ou l’appartement-terrasse du dernier étage », ajoute-t-elle.

L’ACCÈS À TOUS LES SERVICES DE L’HÔTEL
Devenir propriétaire aux Résidences Ritz-Carlton, cela signifie vivre dans un condo de luxe, mais aussi pouvoir profiter de tous les services du seul hôtel à détenir au Québec la prestigieuse cote Cinq Diamants.

Concierge, portier, voiturier, entretien ménager, piscine et centre de conditionnement physique comptent parmi les nombreux avantages mis à la disposition des occupants. « Les résidents peuvent venir prendre le thé avec des amis dans les salons du Ritz, quand ils le veulent. Ils y sont chez eux. S’ils en ont envie, ils peuvent aussi vivre toute l’année comme s’ils étaient à hôtel en profitant, par exemple, des services d’une femme de chambre », explique le directeur de projets.

Un style de vie unique à Montréal dont bénéficieront quelques rares élus. En outre, d’après Rucsandra Calin, ces condos sont un très bon investissement : « Grâce à leur affiliation avec le Ritz-Carlton et leur emplacement unique en plein coeur du Mille Carré Doré, ils représentent une valeur sûre appelée à s’apprécier avec le temps. »

Le nec plus ultra du haut de gamme. « Là, tout n’est qu’ordre et beauté / Luxe, calme et volupté. » Tel est le vers du poète Baudelaire qui nous vient à l’esprit en pénétrant dans l’appartement modèle des résidences du Ritz-Carlton.

Luxe : parce que le design épuré et la simplicité sophistiquée des pièces nous séduisent immédiatement. Plafonds hauts, fenestration exceptionnelle : que l’on soit dans le salon, la cuisine ou l’une des chambres, la lumière envahit l’espace, soulignant la sérénité des lieux, tandis que marbre, noyer et verre se conjuguent en une parfaite harmonie.

Calme : bien que situé sur la rue Sherbrooke, en plein coeur du centreville, le magnifique salon à aire ouverte est incroyablement silencieux. « Lorsque je fais visiter ce condo, les clients sont émerveillés du silence qui s’en dégage malgré l’immense fenestration », raconte en souriant la directrice des ventes.

Fenêtres isolantes à double vitrage, plancher avec réduction acoustique, thermopompe silencieuse : tout a été mis en place afin de préserver l’intimité des occupants.

Quant à la volupté, vous le devinerez, elle est partout : dans la cuisine, dont le raffinement n’a d’égal que l’extrême praticité, dans la salle de bain incroyablement spacieuse et invitante, dans le salon dominé par un immense foyer, dans les chambres dont le seul papier peint de soie suffit à nous emplir de chaleur, et jusque sur la terrasse pourvue d’un plancher chauffant…

Et que dire de ces superbes portes blanches, répliques exactes de celles de l’hôtel, portant le sceau romantique de l’établissement? Par leur présence, elles nous rappellent que les Résidences au Ritz-Carlton, au-delà de leur cachet, conservent l’âme d’un monument chargé d’histoire.

En outre, la beauté des lieux s’accompagne d’un confort inégalé, soutenu par les technologies les plus performantes. Le système domotique dont est pourvu chaque appartement le reflète à merveille. Capable de contrôler la lumière aussi bien que le chauffage, la musique ou même les stores, il fonctionne avec une application pour iPhone. Ainsi, peu importe où vous vous trouvez, vous gérerez chaleur, lumière et son de votre maison pour qu’elle soit prête à vous accueillir quand vous y arriverez.

Quelques unités restent encore à acheter. Selon la superficie des condominiums (entre 1 200 et 8 600 pieds carrés), les prix varient de 1,4 à 15 millions de dollars. Amoureux du Ritz, n’attendez plus pour concrétiser votre rêve!

www.residences.ritzmontreal.com

Texte : Diane Stehle