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En 2003, Martin Eberhard et Marc Tapenning fondent Tesla Motors. Leur inspiration : l’inventeur Nikola Tesla. Intéressé par l’électricité, il est le premier à concevoir une méthode efficace d’utilisation du courant alternatif pour l’automobile et à faire breveter en 1888 le moteur à induction. Inspiré par cette technologie, le constructeur américain en fera en 2008 le cœur de son Roadster, la première voiture de la marque. La suite de la jeune histoire de Tesla s’annonce prometteuse.

 

Les voitures électriques gagnent du terrain, mais elles sont loin de rattraper les ventes de voitures à motorisation conventionnelle. Et pourtant, leur invention ne date pas d’hier! Ces ventes ne représentent que 0,02 % de l’ensemble des ventes de voitures de tourisme. Selon l’International Energy Agency, le nombre de ces véhicules sur la route devrait cependant passer de quelque 180 000 (en 2012) à 20 millions, en 2020.

 

C’est un potentiel considérable pour Tesla dont les deux fondateurs avaient initialement en tête un projet : construire une voiture électrique de haute performance dont les émissions seraient inférieures à celles d’une Toyota Prius, déjà faibles, et les accélérations plus rapides que celles d’une Ferrari.

 

L’idée n’était cependant pas nouvelle : la firme AC Propulsion planchait déjà sur une voiture conceptuelle, la tzeromd, dont les accélérations surpassaient largement celles des voitures comme la BMW Z8 et la McLaren F1. L’essai qu’en a fait Eberhard fut convaincant. C’est en 2004 qu’Elon Musk rejoint l’entreprise dont il est aujourd’hui la figure emblématique. Le jeune milliardaire, qui a notamment fait fortune en cofondant PayPal, voit grand.

 

Du Roadster à la S

Le Roadster Tesla sonne le véritable coup d’envoi. Le groupe motopropulseur est composé d’un moteur à induction à courant alternatif et d’une batterie lithium-ion dont l’autonomie atteint 394 km par charge. Les accélérations sont impressionnantes : 0 à 100 km/h en 3,7 secondes. De 2008 à 2012, quelque 2 400 exemplaires de cette voiture débarquent un peu partout à travers le monde.

 

En 2012, le constructeur américain, dont le siège est installé dans la Silicon Valley, en Californie, lance cette fois une voiture qui alliera toutes les caractéristiques d’une voiture haut de gamme aux performances du coupé sport : la berline S, la première berline haut de gamme au monde entièrement électrique.

 

Encensée par la critique automobile lui décernant des prix pour la meilleure technologie, la S devient la berline porte-étendard de la marque, allant même jusqu’à devenir, selon un sondage mené à l’échelle nationale, le véhicule le plus aimé en Amérique! Le réputé magazine Consumer Reports, peu porté sur la flatterie, lui a même attribué la note de 99 % à la suite de son essai, affirmant qu’il ne s’agissait pas seulement de la meilleure voiture électrique jamais testée, mais aussi de la voiture ayant obtenu le pointage le plus élevé parmi toutes les voitures essayées.

 

La berline phare

Superbement dessinée, la berline S adopte une configuration à cinq portes. Elle est proposée en quatre modèles : la 70D, la 85, la 85D et la P85D. Le chiffre correspond à la puissance de la batterie : 70 kWh dans le cas de la 70 et 85 kWh dans le cas des modèles 85. Leur autonomie varie de 385 km pour la 70D à 435 km pour la 85D. La lettre D signifie que la voiture est dotée du rouage intégral, une technologie implantée sur les plus récents millésimes.

 

Tesla a également lancé sur le marché une voiture électrique aux performances électrisantes : la P85D. En combinant les moteurs avant et arrière, les ingénieurs de la marque ont mis 691 de puissance en horse power au service du conducteur qui peut, selon les données du constructeur, passer de 0 à 100 km/h en 3,3 secondes. La marque lui attribue d’ailleurs le titre de la voiture cinq portes la plus rapide au monde. En comparaison, la Mercedes-Benz S63 4Matic, la plus puissante des voitures de la Classe S, effectue le même exercice en 4,0 secondes, tout en consommant une importante quantité de supercarburant. La P85D n’a besoin que d’électricité. Et qu’en est-il de l’autonomie, la bête noire de ce type de motorisation? La plus performante des voitures de la famille S offre une autonomie de 405 km, en plus de ne produire aucune émission polluante. Niet. Zéro.

 

Le ravitaillement, tout comme l’autonomie, constitue une source importante de préoccupations pour les consommateurs. Au Québec, par exemple, le circuit électrique alimenté par Hydro-Québec facilite de plus en plus la recharge en installant des bornes de recharge à des endroits stratégiques à l’échelle de la province. Tesla porte une attention toute spéciale aux propriétaires de ses voitures. Il a implanté des bornes de recharge dans des lieux stratégiques, dont ici au Québec. Mais il reste encore beaucoup de travail à accomplir pour augmenter le nombre de superchargeurs. D’ailleurs, Tesla invite les propriétaires à lui écrire pour suggérer un emplacement. En attendant, ils ont accès à la recharge ultrarapide : en 30 minutes, ils peuvent récupérer 270 kilomètres d’autonomie.

 

Une voiture unique

L’habitacle comporte plusieurs particularités, dont la possibilité d’accueillir, en ajoutant deux sièges pour enfant orientés vers l’arrière, jusqu’à sept passagers. Il est également possible de remplacer la banquette arrière par des sièges capitaine. L’écran tactile de 17 pouces est assurément une pièce maîtresse de la voiture. Tel un iPad format géant, il permet au conducteur de contrôler la plupart des fonctions vitales de la berline.

 

À l’instar des autres voitures de prestige, la berline S offre un niveau élevé de confort et de raffinement aux occupants qui prennent place à bord de l’habitacle. Il faudra néanmoins délier les cordons de la bourse pour, par exemple, ajouter le toit ouvrant panoramique, des sièges en cuir et des garnitures en alcantara, un système audio de qualité supérieure ou encore l’ensemble pour le pilotage automatique qui comprend entre autres un régulateur de vitesse adaptatif, un système d’aide au maintien sur la voie avec direction automatique et le stationnement automatique. Le prix du modèle d’entrée de gamme, le 70D, passe de 86 000 $ à plus de 105 000 $ lorsqu’il est équipé de tous les artifices. Celui du P85D, à un peu plus de 147 000 $. Par rapport à d’autres voitures offrant des performances comparables, une Tesla S ne constituerait-elle pas une… aubaine? Si on compare ces prix avec ceux de voitures telles que la Mercedes-Benz S63 AMG 4Matic (156 400 $) ou la Porsche Panamera hybride (110 000 $), tout porterait à le croire, surtout lorsqu’on considère que les coûts en électricité ne seront jamais aussi élevés que ceux liés à l’achat de supercarburant.

 

Bien que l’on se félicite de l’arrivée de voitures électriques sur le marché, il n’en demeure pas moins que l’idée ne date pas d’hier, comme en témoigne l’invention de Nikola Tesla qui date de plus de 100 ans! Heureusement, cette technologie reprend du galon, et les constructeurs d’automobiles haut de gamme commencent à s’y intéresser. Qui fera concurrence à Tesla Motors? Pour l’heure, Porsche s’affairerait à être parmi les premiers. C’est à suivre.

 

 

Texte : Jean-Pierre Bouchard

C’est sur le cap de l’île Paton, bordé par la rivière des Prairies, que verra bientôt le jour le prestigieux projet immobilier Paton1. Cent deux condominiums et penthouses luxueux seront bâtis sur un vaste domaine forestier sillonné de sentiers pédestres. Tous jouiront d’une vue spectaculaire sur l’eau et la nature environnante.   

 

En 1880, Hugh Paton, un riche homme d’affaires d’origine écossaise, se porte acquéreur de l’île Paton. Il la transforme rapidement en un domaine enchanteur, y faisant construire un pont ainsi qu’une luxueuse villa dotée d’un parc, d’une serre, d’écuries et d’un terrain de golf. Les lieux sont alors fréquentés par la riche bourgeoisie de Montréal. Aujourd’hui, le projet immobilier Paton1 poursuit la tradition.

 

La collection Signature des condominiums et penthouses de Paton1 a été créée pour une clientèle sélecte, soucieuse de profiter d’un luxe d’exception dans un environnement majestueux. Tous les appartements auront vue sur l’eau et la plupart seront traversants, recevant la lumière par leurs façades avant et arrière. La superficie des condominiums variera de 1 200 à 3 200 pieds carrés.

 

 

Le chef de file de la résidence de prestige au Québec, le Groupe Jadco, et son partenaire Magil Laurentienne sont à l’origine de ce projet d’envergure qui a nécessité un investissement de 125 millions de dollars. Unique à Laval et inaugurant une catégorie d’immobilier de luxe inégalée, Paton1 a obtenu dès son lancement un tel succès que, deux semaines seulement après ce coup d’envoi, un tiers de l’immeuble était déjà vendu.

Quand sérénité rime avec élégance

Débarcadère prestigieux avec service de majordome privé, entrée principale somptueuse et hall feutré : le Paton1 offrira à ses occupants le luxe et le confort des hôtels cinq étoiles.

 

 

Chaque unité sera inondée de lumière grâce à une fenestration pleine hauteur et de majestueux plafonds pouvant aller jusqu’à 14 pieds de haut. À l’intérieur des pièces, l’utilisation de matériaux sophistiqués ainsi qu’un design contemporain se conjugueront en une parfaite harmonie pour offrir un espace de vie raffiné à l’extrême. Prolongeant le luxe à l’extérieur, de grands balcons-terrasses donneront une vue panoramique spectaculaire sur l’immensité et la beauté des lieux.

 

 

Les résidents pourront, en outre, profiter d’une piscine intérieure chauffée avec cabanas privés, d’un sauna, d’un centre de conditionnement physique, d’une salle de réception privée et même d’un appartement pour invités. Quant aux amoureux des plaisirs nautiques, ils seront comblés, puisqu’un quai privé sera mis à leur disposition afin d’amarrer leur bateau à la marina.

 

 

L’adresse la plus recherchée de l’île Paton est actuellement offerte en édition limitée et quelques unités sont encore disponibles. Inscrivez-vous dès aujourd’hui sur la liste VIP des premiers acheteurs!

Pour toute information

Pavillon de présentation
4400, Promenade Paton, Laval
Tél. : 1 844 4PATON1

Président-directeur général de Caesars Acquisition Company et de Caesars Interactive Entertainment – Une des plus grosse sociétés de jeu au monde d’hôtels-casinos et internet – Mitch Garber est le nouveau dragon de l’émission Dans l’œil du dragon et a été récemment nommé président du conseil d’administration du Cirque du Soleil. LUXE a rencontré cet homme d’affaires hors du commun.

Pourquoi avez-vous accepté de devenir un dragon? Qu’est-ce qui vous attire dans ce nouveau défi?

Au début je n’étais pas intéressé. Je pensais que les tournages me prendraient trop de temps. Puis, j’ai changé d’avis, car j’ai compris que ce serait une belle occasion pour un anglophone d’apparaître à la télévision francophone. Actuellement, il existe un mur entre les deux communautés et je trouve cela dommage. De plus, ma femme et moi œuvrons beaucoup pour des organismes à but non lucratif. Entre autres, je siège sur le conseil d’administration de la Fondation Montréal inc., qui permet aux jeunes entrepreneurs québécois d’obtenir des bourses. Participer à l’émission Dans l’œil du dragon est donc une suite naturelle de ce que je faisais déjà. Beaucoup de jeunes partent à l’étranger en pensant qu’ils n’ont pas leur place au Québec. Il faut changer cette situation, et leur permettre de s’exprimer devant plus d’un million de personnes par semaine, c’est formidable! Je redonnerai la majorité des profits que je gagnerai par l’intermédiaire de l’émission à des organismes de charité québécois. Enfin, mes enfants sont des fans de l’émission et m’ont poussé à y participer. La série Dans l’œil du dragon a aussi une mission éducative, car on n’apprend pas à l’école comment gérer son argent, son crédit, etc. Elle montre aux jeunes l’importance de bien gérer ses finances.

Vous êtes un grand amoureux du bilinguisme. Comment avez-vous appris le français?

Mes grands-parents habitaient dans les Cantons-de-l’Est. J’allais les voir toutes les fins de semaine. Mon grand-père, qui était médecin, avait une clientèle à 50 % francophone, j’entendais donc beaucoup parler français. Plus tard, j’ai étudié en droit à l’Université d’Ottawa, en français. J’ai aussi été animateur d’une émission de radio consacrée aux sports et j’y ai reçu beaucoup d’invités francophones. Enfin, celle qui est ma femme depuis 23 ans est francophone. Je crois à la préservation de la langue française, à la culture québécoise, mais aussi à l’importance du bilinguisme et même du trilinguisme. On a malheureusement laissé les politiciens séparer les deux communautés et il est temps qu’elles travaillent un peu plus ensemble!

En 2009, vous avez accepté la direction de Caesars Interactive Entertainment à condition de pouvoir établir vos bureaux à Montréal. D’où vous vient cet attachement pour Montréal?

J’aurais pu rester en Europe ou déménager à Las Vegas pour profiter de systèmes fiscaux plus avantageux. Mais j’ai choisi de rester au Québec, car j’aime la culture d’ici. Je veux que, comme moi, mes enfants grandissent dans cette richesse culturelle. Ma propre famille est enracinée au Québec depuis 108 ans. Je ne voulais pas sacrifier la culture à l’argent.

Quel est le meilleur conseil que vous pourriez donner aux jeunes entrepreneurs d’aujourd’hui?

Un entrepreneur doit faire preuve de ténacité et être capable de survivre aux échecs qui surviennent lors de la création d’une entreprise. Il doit travailler plus fort que ses concurrents. Aussi, avoir une bonne idée ne suffit pas : il faut être bien entouré, avoir la bonne attitude et les capacités d’exécution. C’est ce que je recherche en tant que dragon dans l’émission Dans l’œil du Dragon.

En tant que passionné de sport, voyez-vous un lien entre pratiquer un sport et gérer une entreprise?

La plupart des gens que je fréquente ont un point commun : ils sont très compétitifs. De mon côté, je ne crois pas être compétitif, mais plutôt passionné. Je pratique plusieurs sports, mais simplement pour être en forme et pour le plaisir. Avoir des passions et être actif fait partie de la vie d’un bon entrepreneur, mais pas nécessairement le fait d’être compétitif. Il s’agit de participer, d’être au bon endroit au bon moment, et de se sentir à sa place.

Vous dirigez une entreprise qui appartient à l’industrie du jeu. Sentez-vous une responsabilité sociale et morale à cet égard?

Oui, totalement. Jouer de façon responsable est l’une des valeurs centrales de Caesars. Nous veillons à ce que les mineurs soient exclus des jeux et que ceux qui n’ont pas un comportement modéré soient dirigés vers des centres d’aide. Nous proposons une liste de liens spécifiques sur nos sites de jeux en ligne.

TPG Capital vient d’acquérir le Cirque du Soleil et c’est vous qui en devenez le président du conseil d’administration. Comment voyez-vous l’avenir du Cirque du Soleil suite à cette transaction?

Ce fonds d’investissement partage les valeurs de Guy Laliberté et du Cirque du Soleil. De plus, leur réseau global et le partenariat avec la compagnie chinoise Fosun est une combinaison gagnante.  Le siège social du Cirque demeurera à Montréal. La créativité qui fait toute la valeur du Cirque du Soleil est ici, au Québec, ainsi que le leadership de Daniel Lamarre et de son équipe Enfin, c’est un honneur pour moi d’être un investisseur du Cirque et le président de son conseil. J’ai une admiration sans borne pour Guy Laliberté et l’entreprise qu’il a créée.

 

La quatrième saison de Dans l’œil du dragon est diffusée les lundis à 20 h sur les ondes d’ICI Radio-Canada Télé.

Texte : Diane Stehle

Une maison au luxe moderne perchée au sommet d’une falaise. Une beauté absolue où la magie des Caraïbes resplendit. C’est sur la côte nord de la République dominicaine que se trouve cette perle rare : la Casa Kimball. Dans son portfolio de propriétés extraordinaires, Lauren Berger Collection a sélectionné cette villa pour le magazine Luxe. La maison a dépassé toutes nos attentes.

 

Située sur un site privé, la Casa Kimball est érigée en retrait, sur une falaise. À partir du nouvel aéroport de Samana, les routes qui partent vers l’ouest et longent la mer offrent des vues à couper le souffle. Les paysages sont demeurés intacts dans cette partie de l’île; les plages de sable fin se succèdent jusqu’à Cabrera, où la maison se situe.

 

Expérience sublime

La Casa Kimball domine l’Atlantique de façon sublime. L’ampleur de sa beauté se mesure à l’étendue majestueuse de l’océan. Trois acres de végétation tropicale luxuriante,entretenus par une armée de jardiniers, l’entourent. En face de la villa, une piscine à débordement fait élégamment le lien entre la mer et le ciel. Un spala rejoint, au bord de la falaise, là où personne ne peut vous voir, mais où vous pouvez voir le monde. Vivre sur une île n’a jamais été aussi exclusif et délicieux.

 

 

Rangr Studio a conçu cette grande villa, qui a appartenu à l’un des fondateurs de Google, pour les plaisirs de la détente et des échanges entre amis. Les architectes se sont efforcés de produire des lignes modernes, de grands volumes géométriques, qui demeurent légers, et le tout est habillé de magnifiques matériaux organiques. Les trois parties de la villa sont orientées pour capter les splendeurs de l’environnement. La Casa Kimball possède tout à la fois : des lignes impeccables, des matériaux élégants et des détails sophistiqués.

 

 

Bien que située dans une région tropicale, la maison est fraîche. Ses nombreuses fenêtreslaissent entrer le vent et un système de pierres intercalées crée des écrans pare-soleil. Tous les éléments du design intérieur et extérieur épousent l’esthétisme du style tropical, tant pour les bois que pour les pierres locales et les lits à baldaquin. Le vent qui remonte de la mer apaise la chaleur du jour et adoucit les nuits dans les huit chambres avec salle de bain. Chaque suite a une terrasse avec une vue splendide sur la flore et les eaux caraïbéennes.

Invitation à la relaxation

Les membres du personnel, qui sont trilingues, s’assurent que tous les désirs sont comblés. Un concierge est à la disposition des invités pour organiser le va-et-vient entre l’aéroport et la maison et faciliter les activités et sorties. On peut profiter de tout à la Casa Kimball : spa, massage, yoga, danse, leçon de natation pour les enfants, etc. Vos désirs seront rois. Gentillesse et efficacité sont les bases de la philosophie du personnel.

 

Pour ce qui est de la restauration, le chef de la Casa Kimball élabore les mets les plus somptueux,à partir de la production agricole etde lapêche locales. Le bar est le lieu des rencontres pour un apéritif, un caféou un cocktail. Les jus frais font le délice des résidents le matin.Quant à l’heure de l’apéritif,elle est ajustée à la période de vacances et le barman répond à toutes les demandes musicales.

 

Plats et boissons peuvent être servis là où vous le voulez, à la piscine, au salon, dans votre chambre, mais la salle à manger est attrayante avec sa table faite sur mesure pour vingt personnes. Le plafond et les portes-fenêtres pivotantes en bois brésilien créent un cadre élégant. La salle à manger offre une vue panoramique de l’océan et de la piscine. Un bar extérieur fait le lien entre la piscine et le centre médiatique et ludique. C’est l’endroit où siroter votre verre sur l’un des hauts tabourets, en admirant les merveilles du jour!

Lieux de contemplation

Dans la journée, les bords de la piscine s’offrent au soleil. À deux pas, les arcades de la maison préservent la fraîcheur de l’ombre. De 47 mètres de long, la piscine à débordement est magnifique et présente un détail particulièrement enchanteur : une plateforme rectangulaire détachée du bord qui sert d’îlot de bronzage. Le soir, le plan soyeux de l’eau s’illumine, invitant à la baignade ou à des parties de volleyball nocturnes.

 

 

Les eaux agitées du spa vous attendent en contrebas, à l’extrémité de la piscine, juste au-dessus de la falaise et face à la mer. C’est un des lieux les plus charmants pour admirer le coucher de soleil. De nombreux endroits à la Casa Kimball se disputentle titre du meilleur site d’observation. La terrasse sur le toit dans sa simplicité minimaliste offre un point de vue presque mythique sur l’Atlantique. Le lieu est à peine séparé de l’immensité du décor et son dénuement inspire une paix inouïe.

 

 

Un chemin menant à l’une des trois plages privéesmène aussi à une terrasse cachée, creusée dans la roche, la plus intimiste du site. Le soleil semble vous saluer, au coucher comme au lever. Ce lieu idéal pour méditer incarne la philosophie de la villa : vous rapprocher de la magie du monde.

 

Elle est précieuse la villa qui peut offrir une relation aussi profonde avec les éléments de la nature. La Casa Kimball vous réserve des moments où l’architecture et le monde fusionneront pour faire voir une beauté essentielle et sereine.

 

 

Texte : Barbara Stehle

Il a ses villas chics, ses trois golfs de réputation mondiale, ses boutiques, sa marina, son spa, son village culturel et, bien sûr, la mer des Caraïbes à ses pieds. Le complexe touristique Casa de Campo, à La Romana, sur la côte sud-est de la République dominicaine, a quarante ans d’existence, mais une belle jeunesse!

 

Son immense territoire privé (7 000 acres) se laisse découvrir… à petites doses. Casa de Campo est né dans la tête (ou le cœur) d’Alvaro Carta, propriétaire d’une compagnie portoricaine de sucre de canne et de la maison mère du géant du cinéma américain Paramount Pictures. À La Romana, il possédait déjà un moulin à sucre de canne, et c’est non loin de là qu’il a découvert un rivage immaculé où construire le complexe touristique le plus complet qui soit.

Des villas de campagne ou de bord de mer

À Casa de Campo, ce sont les villas à louer qui volent la vedette! Elles sont toutes différentes, sauf pour le nombre de chambres (de trois à sept selon le choix) et pour la piscine, indispensable. Pour ce qui est de la décoration, la variété est au menu. Certaines sont de vraies maisons de campagne, comme la Villa del Campo, de style très colonial, la très contemporaine et chaleureuse Villa los Triangulos ou comme les quatre magnifiques résidences donnant directement sur la plage, tout en jouissant d’une véritable intimité. La location de telles villas est une option à considérer pour les familles recomposées ou pour les vacances intergénérationnelles. Des enfants aux parents et aux grands-parents, tout le monde peut y trouver sa place, et il en va de même pour les activités extérieures offertes.

 

Bien sûr, pour un couple ou une petite famille, les chambres de l’hôtel ou de l’auberge du golf, au design élégant et à l’ambiance chaleureuse, sont plutôt de mise.

 

Golfs et marina de classe mondiale

Ce n’est pas un, mais trois golfs qu’on trouve en fait à Casa de Campo, dont celui nommé Teeth of the Dog. Conçu par l’architecte Pete Dye, il est classé numéro un dans les Caraïbes et 47e au monde, selon le Golf Magazine. Quant à la marina, on s’est inspiré pour la concevoir des anciens villages méditerranéens, tout en l’équipant selon les plus récentes technologies et tendances de la navigation de plaisance. L’école de voile est réputée pour son excellence et l’on n’a que quelques pas à faire pour s’y rendre, si on loge dans l’un des 105 appartements ou villas de la marina. Plusieurs des restaurants du domaine s’y trouvent aussi. C’est donc dans une ambiance toute « marine » qu’on peut déguster un bon plat de cuisine espagnole ou asiatique, par exemple.

 

Sport et Forme

Non seulement le complexe touristique compte un spa qui a la particularité d’offrir des soins utilisant des produits locaux, comme la canne à sucre ou le café, mais on peut y pratiquer tous les sports aquatiques possibles, tels que la plongée sous-marine, la plongée en apnée, la pêche, le kayak… En outre, Casa de Campo dispose d’un club de tir, d’un club de tennis, qualifié de Wimbledon des Caraïbes, et d’un original club de polo et d’équitation. Créé par un maharajah indien, ce club est l’un des plus courus des Caraïbes. D’ailleurs, on peut y assister à un match presque chaque semaine!

 

Art et culture

Profiter d’un véritable village culturel à l’intérieur d’un complexe touristique, ce n’est pas si fréquent, surtout un village culturel de cette qualité! Avec ses rues pittoresques et son église, Altos de Chavon est un quartier hors du temps, comme une réplique d’un village du Moyen Âge des bords de la Méditerranée.

 

Au milieu des effluves de bougainvilliers, on peut déambuler jusqu’au musée (proposant des activités pour enfants), en s’arrêtant aux échoppes d’artisans locaux, qui fabriquent des poteries, ou aux ateliers d’artistes en résidence, avec lesquels on peut facilement bavarder. C’est sans compter la dizaine de boutiques et, surtout, le magnifique amphithéâtre extérieur à l’allure grecque, utilisé pour de grands spectacles. Inauguré par nul autre que Frank Sinatra, il peut accueillir 5 000 personnes.

 

Et n’oublions pas la reine des lieux : la plage! Splendides et isolées, plusieurs plages s’offrent à la découverte à Casa de Campo. Une nouvelle aventure chaque jour!

 

VOYAGE RÉGENCE INC.
FRANCINE MARTIN
1410, rue Stanley, Bureau 409
Montréal, QC H3A 1P8
514 284-3366

 

www.voyageregence.com

 

Texte : Anne Pélouas

Charmante petite ville située en plein cœur de l’île de Montréal, à deux pas du centre-ville, Westmount s’étend sur le flanc ouest du mont Royal. Comptant plus de 20 000 habitants, cette ville principalement anglophone abrite encore aujourd’hui la population la plus riche du pays. LUXE vous propose de partir à la découverte de celle qu’on appelait autrefois La Petite Montagne. 

Un peu d’histoire

C’est avec l’expansion du centre-ville qui empiétait sur le Mille carré doré, ancien quartier huppé de Montréal, que Westmount a commencé à prendre de l’ampleur pour devenir la ville résidentielle cossue que l’on connaît aujourd’hui. De la dentelle victorienne des maisons en rangée à l’architecture splendide des grandes propriétés (l’ex-premier ministre Brian Mulroney y a acheté une résidence de deux millions de dollars) qui occupent ses rues sinueuses et ombragées, Westmount a connu la plus grande partie de son développement entre 1910 et 1930. L’architecte Robert Findlay a, durant cette période, conçu plusieurs édifices marquants tels que la bibliothèque, l’hôtel de ville et plusieurs autres bâtiments publics. Tous se caractérisent par leur style néo-Tudor, typique du style national anglais. Voilà pourquoi une promenade dans Westmount nous transporte instantanément en Grande-Bretagne. À côté de ses luxueuses demeures, se dressent également des petites maisons et des condominiums qui ont attiré de nombreuses familles et résidants de la classe moyenne, anglophones comme francophones.

Une ville jardin

L’héritage de la ville de Westmount ne se définit pas seulement par son architecture originale. La présence de la nature, notamment du boisé de son sommet conservé à l’état sauvage, rappelle l’aspect original du site. En effet, Westmount était autrefois recouverte de forêts et occupée par les Amérindiens, comme en témoignent les vestiges d’un ancien cimetière retrouvés au sommet de la montagne.

 

Nommée par la suite village de la Côte-Saint-Antoine, Westmount a été longtemps un petit village rural habité, entre autres, par les familles Décarie, Hurtubise et Leclerc. Au fil du temps, la ville s’est épanouie pour faire coexister en son sein la commodité urbaine, l’ambiance champêtre et les valeurs communautaires partagées par l’ensemble des résidents.

 

Aujourd’hui, elle abrite une forêt urbaine, de nombreux parcs (dont le plus beau est sans aucun doute le parc Westmount) et terrains de jeux, un sanctuaire ornithologique ainsi qu’un belvédère dont le panorama est à couper le souffle. Avec ses 11 000 arbres et ses innombrables pelouses et jardins soignés, sa verdure dépasse largement les limites des espaces verts publics. Depuis peu, elle dispose également d’un nouveau complexe sportif abritant deux patinoires souterraines et une magnifique piscine.

 

En somme, Westmount est un véritable bijou serti au cœur du territoire métropolitain qui offre une qualité de vie exemplaire et dont la richesse se mesure, non pas à la grandeur de certaines de ses propriétés, mais à l’esprit communautaire qui la caractérise.

L’avenue Greene

Incontournable pour celui qui souhaite visiter Westmount et profiter d’une agréable promenade, l’avenue Greene est l’artère commerciale de la ville. Cette rue au cachet typiquement canadien-anglais est bordée de ravissantes boutiques, de galeries d’art, d’antiquaires et de librairies. Comment résister aux trésors de la boutique La cache où nappes, linges à vaisselle et accessoires de table rivalisent de coquetterie? Et que dire du magasin de jouets Oink Oink et de la bijouterie Coral dont les atmosphères magiques, à mille lieues des immenses commerces à grande surface, nous séduisent immédiatement? Entre deux boutiques, on ira boire un verre à la terrasse de la Taverne sur le Square.

 

La maison Hurtubise

La maison Hurtubise, construite en 1739 et située au 561, chemin de la Côte-Saint-Antoine, est la plus vieille maison de Westmount. Elle est l’unique survivante des fermes bâties sur La Petite Montagne, au début du 18e siècle. Elle a à peine changé depuis sa construction. À l’intérieur, les vieilles cloisons aux portes basses sont intactes et les boiseries intérieures sont fixées à l’aide de clous forgés à la main.

 

Westmount Square

Le Westmount Square est un complexe multifonctionnel de quatre immeubles situé au cœur de Westmount. Conçu par l’architecte américain Ludwig Mies van der Rohe, il est composé de deux tours résidentielles et de deux immeubles de bureaux, ainsi que d’un centre commercial. Le complexe est relié à la Place Alexis Nihon par un tunnel.

Le parc Westmount

Le parc Westmount est un espace polyvalent de 26 acres, dont les champs offrent l’illusion de la campagne en pleine ville. Les promeneurs qui traversent cet espace vert y trouvent une tranquillité insolite en regardant les étangs, les arbres et la petite chute d’eau.

 

Les serres du parc abritent régulièrement des expositions florales tandis que la galerie du Victoria Hall, une ancienne salle de spectacle érigée en 1924, accueille des expositions d’artistes locaux. La Bibliothèque de Westmount, située dans le parc, a été la première bibliothèque municipale du Québec. Ses fresques et vitraux valent le détour.

 

Texte : Diane Stehle
Photos : Ville de Westmount

Conçus par le Groupe Jadco, la référence en immobilier de prestige au Québec, et aménagés par la firme de design de renom Andres Escobar et associés, les condominiums signature et penthouses Quintessence offrent un mieux-vivre d’exception dans un environnement somptueux à Laval, à deux pas des principales artères routières menant au centre-ville de Montréal et dans les Laurentides. LUXE vous emmène à la découverte d’un de ces lieux de prestige.

 

 

Niché au sein d’un des trois immeubles du complexe résidentiel Quintessence, cet appartement de 2 361 pieds carrés, pourvu de onze pièces, dont deux chambres et deux salles de bains, reflète un art de vivre moderne et sophistiqué. Lignes épurées, décoration sobre, mobilier contemporain et prévalence du blanc : les propriétaires ont misé sur une simplicité chic pour créer un univers propice à la détente et adapté à la vie d’aujourd’hui.

 

Dès que l’on franchit le seuil du hall d’entrée, on est séduit par l’importante luminosité qui pénètre dans le salon, la cuisine et la salle à manger à aire ouverte, grâce à l’immense fenestration. Les hauts plafonds de neuf pieds contribuent également à agrandir l’espace. En toile de fond, la ville et ses environs s’étendent à perte de vue, offrant un panorama à couper le souffle. Des matières nobles comme la pierre de la cheminée et le bois franc du plancher habitent le vaste séjour. Sur les murs, des œuvres d’art bien choisies viennent colorer le lieu de jolie façon, tout en apportant une note personnelle et chaleureuse.

 

Dans la cuisine, moderne et ultra fonctionnelle, les meubles et les armoires en bois ont été conçus sur mesure. L’îlot, surmonté d’un comptoir en quartz, offre un espace pratique pour préparer les repas tandis que les nombreux rangements dotés de tiroirs à fermeture automatique facilitent l’organisation de la vie quotidienne.

 

 

Les chambres, parées de tonalités grises et blanches, présentent la même sobriété que les pièces à vivre. Chacune possède une salle de bains attenante, équipée d’une magnifique douche avec panneaux de verre ainsi que d’une baignoire carrée au design contemporain. La chambre principale dispose, quant à elle, d’un grand walk-in et d’un petit coin salon, idéal pour lire à l’heure du coucher. L’été, les propriétaires aiment déjeuner sur leur grande terrasse et profiter de la vue imprenable sur la ville.


Un magnifique aménagement paysager

Le style Quintessence s’exprime tant à l’intérieur, dans un condominium comme celui-ci, mariant design et élégance intemporelle, qu’à l’extérieur, dans la cour centrale magnifiquement aménagée. Toute l’année, les résidents peuvent profiter d’un centre de conditionnement physique, d’un spa privé ainsi que d’une suite pour invités et d’une salle de réception. Dès l’arrivée des beaux jours, la piscine extérieure chauffée bordée de cabanas privés est une oasis de détente incomparable.

 

Bien entendu, un système de contrôle d’accès électronique garantit une sécurité maximum. Ceux qui partent en Floride ou à l’étranger peuvent ainsi le faire en toute tranquillité, puisqu’un gardien est là pour surveiller l’immeuble en tout temps. Enfin, de nombreux commerces (café, bistro, boulangerie, épicerie fine, nettoyeur) ainsi que des boutiques de classe internationale et des restaurants raffinés complètent cet environnement enchanteur. La construction de deux immeubles commerciaux  viendra clore ce projet comportant au total cinq phases.

 

Les condos luxueux des deux premières phases ont tous trouvé preneurs et la moitié de ceux qui composent la troisième ont déjà été vendus. C’est dire si les acheteurs ont reconnu en Quintessence un projet unique et innovateur, venant redéfinir le luxe, à Laval et sur la Rive-Nord.

Bureau des ventes

3730, boulevard Saint-Elzéar Ouest, Laval

QC H7P 4J5

Lundi au vendredi 12 h à 19 h

Samedi et dimanche 12 h à 17 h

1 855 5LIVING

ventes@essencedevivre.com

Quand des spécialistes de la restauration s’associent avec des figures de la vie nocturne montréalaise, il en ressort deux restaurants ultratendance qui trouvent rapidement leur place dans le cœur des fins gastronomes. Bienvenue au Flyjin et au Jatoba!

Le Flyjin : un deux pour un de choix

Une équipe dynamique, un chef de grand talent, un lieu chic et mystérieux et une ambiance d’enfer : tels sont les ingrédients pour devenir la référence en matière de gastronomie et de divertissement à Montréal. Nicolas Urli (Restaurant Hà, Jatoba), Alexandre Brosseau (Le Sous-Bois), Marco Benatar (Jatoba), Alexandre Besnard et Patrick Hétu (A5 Management) l’ont bien compris en créant le Flyjin il y a deux ans.

 

Niché dans un sous-sol en plein cœur du Vieux-Montréal, cette magnifique brasserie asiatique offre un concept unique en proposant deux produits en un : d’une part, un restaurant-bar aux influences asiatiques, d’autre part, une boîte de nuit festive animée par d’excellents D.J. Et le coup de génie, c’est que l’un ne sacrifie rien à l’autre. Le menu, signé par le réputé chef Antonio Park, rivalise de créativité et d’originalité pour proposer des saveurs subtiles. Sur le coup de minuit, le mobilier, l’éclairage, la musique, et même le personnel se métamorphosent pour laisser place à une piste de danse et accueillir les noctambules. On comprend mieux pourquoi le Flyjin a adopté pour devise : les choses ne sont pas toujours ce qu’elles semblent être…

 

 

Ceux qui, comme Guy Laliberté ou Hugh Grant, aiment fêter dans une ambiance incomparable, ne manqueront en aucun cas les événements spéciaux. Les prochains auront lieu dans le cadre du Grand Prix, les 5, 6 et 7 juin. Réservation de mise!

 

417, rue St Pierre, Montréal
514 564-8881

 

www.flyjin.ca

 

Le Jatoba : une expérience gastronomique

Après le succès du Flyjin, les partenaires d’affaires ont décidé de poursuivre sur leur lancée en s’associant avec le chef montréalais de renommée internationale Antonio Park et en fondant le Jatoba en janvier dernier. Installé dans les anciens locaux du Phillips Lounge, en plein centre-ville, l’établissement est voué cette fois à l’expérience culinaire d’influence japonaise. Que ce soit pour un déjeuner d’affaires ou un souper tardif entre amis, le chef et associé Olivier Vigneault imagine des plats d’un raffinement exceptionnel. Auparavant copropriétaire du Yuzu à Québec, chef exécutif au Marabout et au Miso ainsi que chef de cuisine chez Kaizen et Park, le jeune homme fait à nouveau la preuve de son talent hors du commun. Au menu, dumplings, tataki d’albacore ou de bœuf, morue noire, fruits de mer et autres mets réinventés.

 

Assis confortablement sur la terrasse au pied des gratte-ciel ou à l’intérieur de la vaste salle au décor sophistiqué et chaleureux, ce sera un moment de pur bonheur.

 

Le Flyjin et le Jatoba présentent tous deux des salles multifonctionnelles pouvant accueillir des groupes pour des soirées corporatives ou des événements spéciaux.

 

1184, Place Phillips, Montréal
514 871-1184

 

www.jatobamontreal.com

 

Texte : Diane Stehle