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Déjà réputée pour ses vols en classe affaires luxueux ainsi que son personnel hors pair, Qatar Airways met la barre encore plus haut avec une première dans l’industrie : la Qsuite, un espace privé doté de cloisons amovibles qui se transforme en grand lit. Cette cabine luxueuse est disponible sur les vols Montréal-Doha, offerts quatre fois par semaine.

 

Après avoir suivi le parcours classique d’un passager en classe affaires, soit un embarquement dans l’appareil séparé du reste des passagers, chaque voyageur est accueilli par le personnel courtois de Qatar Airways à bord d’un Boeing 777-300ER. Grâce à son niveau de bruit bimoteur le moins élevé au monde, à une technologie de climatisation avancée et à un éclairage ambiant complètement DEL, cet appareil offre un niveau de confort extrêmement élevé.

 

 

Une fois à l’intérieur, chacune des 42 Qsuite de l’appareil a de quoi séduire. Chaque détail a été pensé pour que le voyage soit des plus agréables. Les sièges en cuir cousu main possèdent un fini or rose satiné, l’éclairage est tamisé et chaque siège dispose d’un tableau multimédia comportant tous les types de prise électrique. Avec plus de 4 000 titres, le choix de films est également impressionnant. À l’heure des repas, une grande diversité de plats savoureux et de boissons haut de gamme sont proposés. Bien entendu, le service est impeccable, et le personnel multiplie les petites attentions sans être trop présent. Bref, la classe affaires de Qatar Airways mérite sans aucun doute son titre de « Meilleure classe affaires au monde », comme l’ont proclamé les World Airline Awards 2018, gérés par l’organisation internationale d’évaluation du transport aérien Skytrax.

 

Un système judicieux de panneaux modulables

Mais il y a plus encore. La Qsuite vient rapprocher la classe affaires des standards de la première classe. En effet, que vous voyagiez en famille, entre amis ou avec des collègues, des panneaux amovibles vous permettent de disposer d’un espace à partager entre quatre personnes. Pratique pour travailler, manger ou passer un moment ensemble. Puis, lorsque vient le temps de vous détendre ou de dormir, vous pouvez à nouveau vous isoler dans une cabine privée, qui vous offre toute l’intimité dont vous avez besoin.

 

La Qsuite se transforme alors en un tour de main en un grand lit plat et confortable. Du jamais vu en classe affaires. Le personnel vous offre d’ailleurs une tenue de nuit et des chaussons signés The White Company, ainsi qu’une trousse de toilette ultra chic pour vous mettre tout à fait à l’aise. Et comme à l’hôtel, il vous fournit une pancarte « Ne pas déranger » à accrocher devant votre cabine. À 12 000 mètres d’altitude, vous dormirez comme un bébé dans la Qsuite!

 

www.qatarairways.com

 

Texte : Diane Stehle

Cosmopolite, chaleureuse, résolument ouverte sur le monde : Montréal est un lieu où il fait bon vivre. Elle a d’ailleurs été élue à plusieurs reprises comme l’une des villes offrant la meilleure qualité de vie au monde.

 

En plus d’être reconnue internationalement pour ses festivals d’envergure, ses événements artistiques et sportifs de haut calibre, sa vie nocturne éclatante et ses nombreuses activités touristiques, Montréal est devenue une plaque tournante dans plusieurs secteurs tels que l’intelligence artificielle et les nouvelles technologies. Du côté de l’immobilier, la métropole a aussi connu une forte croissance en matière de projets d’envergure et de réalisations haut de gamme, notamment au centre-ville. Plus que jamais, elle a tous les atouts pour attirer les visiteurs du monde entier et les recevoir en grand.

 

Palais des congrès © Eva Blue

 

Montréal Complètement Cirque © Eva Blue

 

Le Biodôme © Daphné Caron

 

Patinage au parc La Fontaine © Freddy Arciniegas

 

Orchestre symphonique de Montréal © Antoine Saito

 

Visite au Musée des Beaux-arts de Montréal © Eva Blue

 

Restaurant Les Enfants Terribles, au sommet de la Place Ville Marie © Eva Blue

 

Le pont Jacques-Cartier © Eva Blue

 

Les Francos de Montréal © Eva Blue

 

Murale de Leonard Cohen © Olivier Bousquet

 

Farine Five Roses © Richard Duret

 

Jardin Botanique © Michel Tremblay

 

Restaurant Toqué! © Benedicte Brocard

 

Chef Jérôme Ferrer du Restaurant Europea © Restaurant Europea

 

Oratoire Saint-Joseph du Mont-Royal © Oratoire Saint-Joseph du Mont-Royal

 

Parc Jean-Drapeau © André Pichette

 

Planche de surf à pagaie au Parc Jean-Drapeau © Eva Blue

 

BIXI sur l ’avenue McGill College © Eva Blue

 

La Grande roue de Montréal et la Biosphère © Eva Blue

 

Nous remercions chaleureusement Tourisme Montréal pour sa précieuse collaboration.

Texte : Diane Stehle

Couverture : © Eva Blue

L’arrivée des beaux jours invite à une cuisine légère et rafraîchissante. Quatre chefs des plus talentueux   ̶ Kevin Ramasawmy du Bar George, Olivier Vigneault du restaurant Jatoba, João Dias du Ferreira Café et Patrick Bermand du restaurant Patrick Bermand   ̶ ont accepté de nous livrer le secret d’une de leurs recettes savoureuses afin que vous puissiez les réaliser chez vous. De quoi vous régaler et épater vos amis! Bon été et bon appétit!

 


Tartare BG

La recette du chef Kevin Ramasawmy  |  Restaurant Bar George

Pour 6 personnes

Vinaigrette

  • 1 c. à table (15 ml) de cornichons marinés, hachés
  • 1 c. à table (15 ml) de câpres, hachées
  • 2 c. à table (30 ml) de moutarde de Dijon
  • 1 c. à table (15 ml) de sauce Worcestershire
  • 1 c. à thé de Tabasco
  • Sel et poivre, au goût
  • 3 c. à table (45 ml) d’huile d’olive

Bœuf

  • 14 oz (400 g) de filet de bœuf ou d’intérieur de ronde
  • 1 échalote, hachée finement
  • 1 jaune d’œuf
  • 3 c. à table d’un mélange de persil plat, d’aneth et d’estragon, hachés

Mayonnaise aux huîtres

  • 3 huîtres fraîches
  • 2 c. à table de moutarde de Dijon
  • 1 c. à table de vinaigre blanc ou de jus de citron
  • 100 ml d’huile végétale
  • 50 ml d’huile de canola

POUR LA MAYONNAISE AUX HUÎTRES

Placer les huîtres, la moutarde et le jus de citron ou le vinaigre dans un petit récipient et mélanger le tout à l’aide d’un batteur à main en ajoutant tranquillement l’huile, comme pour une mayonnaise classique.

PRÉPARATION

  1. Dans un bol, combiner tous les ingrédients de la vinaigrette. Assaisonner avec du sel et du poivre. Réserver.
  2. Utiliser un couteau pour hacher finement le bœuf.
  3. Dans un bol placé sur de la glace (il est très important de garder le contenu glacé en tout temps), combiner la vinaigrette, le bœuf, les échalotes, le jaune d’œuf et les herbes. Ajuster l’assaisonnement au goût.
  4. Servir froid avec des craquelins ou des croûtons et garnir de perles de mayonnaise aux huîtres. Pour une présentation élégante, utiliser un emporte-pièce ou une boîte de conserve propre ouverte aux deux extrémités. Garnir de câpres et de jeunes radis, au choix.

 


Tataki de bœuf

La recette du chef Olivier Vigneault  |  Restaurant Jatoba

Tataki

  • 500 g de filet mignon AAA
  • 250 ml d’huile de sésame
  • 1 pqt d’enokis
  • 1/4 tasse de quinoa noir
  • 1 botte d’oignon vert
  • Bébés pêches amères à la truffe
  • 125 ml de Nanami Togarashi ou d’épices cajuns

Salade de mini haricots

  • 200 g de haricots extra fins, coupés en biais
  • 1 c. à soupe d’échalote française ciselée
  • 2 c. à soupe de ciboulette
  • Un filet d’huile d’olive
  • 2 c. à soupe de vinaigre de vin de glace

Sauce

  • 165 ml de sauce soya
  • 300 ml d’eau
  • 5 c. à soupe de sucre
  • 12 g de flocons de bonite

PRÉPARATION

  1. Blanchir le quinoa pendant 18 à 20 minutes. Étendre sur une plaque, puis déshydrater au four à 200 °F pendant 6 à 8 heures. Faire frire à l’huile fumante.
  2. Enrober le morceau de filet mignon de Nanami Togarashi ou d’épices cajuns. Saisir à l’huile de sésame fumante de 1 à 2 minutes de chaque côté, puis réserver au froid.
  3. Blanchir les mini haricots extra fins à l’eau bouillante, saler puis refroidir. Émincer finement, assaisonner avec la fleur de sel, le poivre, l’échalote, la ciboulette, l’huile d’olive et le vinaigre de vin de glace.
  4. Porter la sauce soya, l’eau et le sucre à ébullition pendant 1 minute puis infuser les flocons de bonite. Passer au tamis puis réserver au froid. Couper le filet en tranches très fines, puis servir.

MONTAGE DE L’ASSIETTE

  1. Déposer 6 tranches fines de tataki au fond de l’assiette.
  2. Placer 2 cuillères à thé de quinoa souffléà l’extrême gauche des tranches de tataki, en ligne droite.
  3. Placer 3 cuillères à thé de salade de mini haricots du côté droit du tataki en ligne droite.
  4. Garnir de 2 bouquets d’enokis et de 4 quartiers de bébés pêches amères à la truffe. Entre chaque bouquet d’enokis, placer les oignons verts en formant une petite montagne. Finalement, verser quelques cuillères à soupe de sauce le long de la salade.

 


Sardines grillées, poivrons rôtis et fleur de sel

La recette du chef João Dias  |  Restaurant Ferreira Café

Pour 4 personnes

INGRÉDIENTS

  • 8 sardines, nettoyées et coupées en filets
  • 1 poivron rouge rôti (idéalement sur charbon de bois)
  • 1/4 tasse d’olives noires dénoyautées
  • 8 tranches minces de pain de maïs
  • 8 à table d’huile d’olive
  • 1 c. à table de vinaigre de vin rouge
  • 1 c. à thé d’origan séché
  • 1 c. à thé de pousses de coriandre
  • 1 botte de ciboulette
  • Fleur de sel
  • Sel de mer
  • Laitue pour garnir

PRÉPARATION

  1. Faire sécher les olives et le pain de maïs au four toute la nuit, à température minimale. Une fois séchés, écraser légèrement à l’aide d’un mortier; mettre de côté.
  2. Porter une poêle d’eau à ébullition, et réduire à feu doux. Ajouter la ciboulette pour une minute, et refroidir dans l’eau glacée.
  3. Égoutter la ciboulette et verser dans un mélangeur électrique avec 3 c. à table d’huile d’olive et la fleur de sel. Mélanger jusqu’à consistance crémeuse et mettre de côté.
  4. Retirer la peau et les graines du poivron rôti et couper la moitié du poivron en fines tranches. Assaisonner avec de l’huile d’olive, le sel de mer, l’origan et le vinaigre. Mettre de côté.
  5. Verser l’autre moitié du poivron rôti dans le mélangeur électrique avec 3 c. à table d’huile d’olive et le sel de mer. Battre jusqu’à consistance crémeuse.
  6. Chauffer le four à 350 °F et placer les filets de sardine sur une couche de fleur de sel, dans un plat de cuisson.
  7. Cuire les sardines pour 5 minutes.
  8. Placer les sardines dans un joli plateau, décorer avec la laitue et les poivrons crémeux, le mélange de pain de maïs et d’olive, la ciboulette crémeuse et les pousses de coriandre.

 


Vivaneau « Red Snapper » au gros sel 

La recette du chef Patrick Bermand  |  Restaurant Patrick Bermand

INGRÉDIENTS

  • 1 vivaneau de 700 g frais et vidé
  • 500 g de gros sel de mer
  • 4 blancs d’œufs
  • 1/2 citron
  • 1 branche de thym frais
  • 1 feuille de laurier (facultatif)
  • Sel et poivre du moulin

PRÉPARATION

  1. Dans un récipient, verser le gros sel et incorporer les blancs d’œufs. Mélanger grossièrement avec les mains.
  2. Dans un plat à cuisson, placer le vivaneau entier qui a été au préalable frotté à l’intérieur avec le citron et farci d’herbes.
  3. Prendre le mélange de sel et de blanc d’œufs et en recouvrir le poisson de la tête à la queue, de façon uniforme et égale.
  4. Mettre au four à 400 °F durant 25 minutes.
  5. Après la cuisson, laisser reposer durant 10 minutes, hors du four.
  6. Le gros sel et le blanc d’œuf ont fait une carapace croustillante sur le poisson. Pour cette dernière, placer un linge propre sur le poisson et, à l’aide d’une grosse cuillère, taper sur la croûte en ne traversant pas la chair.
  7. Enlever la peau et délicatement retirer les filets du poisson en enlevant les arêtes restantes.

 

Texte : Diane Stehle

 

Niché au sein du magnifique hôtel Mount Stephen à Montréal, le Bar George rend hommage à la riche histoire du site par une savoureuse cuisine d’inspiration britannique. À sa tête se trouve Kevin Ramasawmy, un chef passionné dont le parcours atypique révèle un talent et une personnalité exceptionnels. Rencontre avec ce natif de l’île Maurice.

 

Votre père travaillait dans un hôtel-restaurant à l’île Maurice, votre pays natal. En quoi cela vous a-t-il influencé à exercer ce métier?

J’accompagnais souvent mon père au travail. J’observais beaucoup les chefs en cuisine. J’étais impressionné par leurs toques et leur esprit d’équipe. Très tôt, j’ai eu envie de faire ce métier. À douze ans, j’ai reçu une formation pour être garagiste. Rapidement, j’ai compris que ce n’était pas pour moi! Deux ans plus tard, j’ai commencé à travailler en salle dans un bar de bord de plage. Le propriétaire a ouvert une boîte de nuit et, à dix-sept ans, je me suis retrouvé le plus jeune responsable de ce type d’établissement sur l’île.

Racontez-moi votre rencontre avec Anthony Walsh, chef exécutif corporatif des restaurants Oliver & Bonacini, dont le Bar George fait partie.

Après avoir rencontré ma femme Caroline et m’être installé à Montréal en 2004, j’ai gravi les échelons en travaillant dans divers restaurants, jusqu’à occuper un poste de garde-manger aux côtés du chef cuisinier Jeff Stirrup. J’ai ensuite déménagé à Toronto en 2011 où j’ai fait une rencontre déterminante : celle du chef Anthony Walsh, au restaurant-bar Canoe, l’un des meilleurs restaurants au Canada à l’époque. Nous sommes très vite devenus amis. C’est pour moi un véritable mentor. Puis, la vie nous a séparés pendant quelque temps. Mais un jour, alors que je travaillais à Montréal chez Maison Boulud, nous nous sommes recroisés. Il a ouvert un restaurant à Toronto, et je l’ai aidé. Depuis 2017, nous sommes tous deux au Bar George.

 

Vous avez aussi travaillé avec Daniel Boulud. Quel rôle ce chef a-t-il joué dans votre carrière?

Daniel Boulud a énormément influencé ma carrière. J’ai travaillé dans son restaurant Daniel à New York, puis, pendant plusieurs années, chez Maison Boulud, ici à Montréal. Il m’a appris à préparer une cuisine gastronomique grandiose, et m’a transmis tout un savoir-faire. Je me souviens que les premières fois, à New York, il m’impressionnait par son expertise et sa passion pour le métier. C’est en l’observant que j’ai vraiment eu le goût de devenir chef. Et puis, il m’a fait confiance.

Comment décririez-vous la cuisine du Bar George?

Nous voulions rendre hommage au baron George Stephen qui a vécu dans cette maison patrimoniale. Avec chef Walsh, nous sommes donc partis cinq jours en Angleterre afin d’être inspirés par la cuisine britannique. Je peux vous dire qu’en cinq jours, on a mangé pour des mois! Nous sommes revenus avec une foule d’idées qui, combinées à mon goût pour le travail des légumes et à mon intérêt pour les producteurs locaux, ont donné le menu actuel. Je dirais donc que la cuisine du Bar George est d’inspiration britannique, qu’elle est fraîche et très invitante. Elle s’adresse à un vaste public. Vous pouvez ainsi manger léger ou vous régaler d’un bœuf Wellington.

Quels sont les plats phares du restaurant?

Il y a justement ce bœuf Wellington que tout le monde nous réclame. Je ne peux pas l’enlever du menu. La morue noire a aussi beaucoup de succès. Ce plat a été inspiré par ma mère et par ma femme. Il a des saveurs de cari, qui rappellent la cuisine de ma mère et de l’île Maurice, mais il présente aussi une délicieuse sauce aux palourdes que j’ai nommée « sauce à la Caroline », en l’honneur de ma femme! Tous nos plats comportent beaucoup de légumes. Côté dessert, notre pouding au whisky est très populaire. La Bombe Alaska produit aussi un effet spectaculaire sur nos clients : c’est un dessert pour deux que l’on fait flamber au cognac au milieu de la table.

Pourquoi avez-vous décidé de faire ce métier? Que représente-t-il pour vous?

Je crois qu’on naît avec cette passion pour la cuisine. J’aime le fait d’être récompensé tous les jours par la satisfaction et le plaisir de voir mes clients heureux. Mais surtout, j’aime l’esprit familial des brigades. Au Bar George, nous sommes une trentaine en cuisine. Une équipe formidable!

 

www.bargeorge.ca

 

Texte : Diane Stehle

L’été est à nos portes et, avec lui, l’envie de savourer un bon verre de rosé, avec ou sans bulles. En collaboration avec la SAQ, LUXE vous a préparé une sélection des meilleurs produits pour trinquer en famille ou entre amis. Santé!

 

VIN MOUSSEUX ROSÉ

Domaine Bergeville Le Rosé Brut 2017

France, 750 ml

CODE SAQ : 13374597

PRIX : 27,85 $

Arborant une couleur rose framboise, ce vin mousseux est plutôt intense avec ses bulles fines et persistantes. Exhalant de subtiles notes de fraise, de brioche et de sucre d’orge, il est agrémenté de saveurs de petits fruits rouges. En bouche, sa texture ample se termine dans une finale assez persistante.

 

CHAMPAGNE ROSÉ

Forget Brimont Premier Cru

France, 750 ml

CODE SAQ : 10845883

PRIX : 54,50 $

Ce champagne rosé à la belle robe saumonée propose des notes de petits fruits rouges, de fruits blancs et de fleurs, auxquelles s’ajoutent des saveurs de fraise, de pomme et d’amande irrésistibles. En bouche, sa texture ample se termine dans une finale persistante.

 

VINS ROSÉS

Bastide de la Ciselette Bandol 2017

France, 750 ml
CODE SAQ : 13184056

PRIX : 26,15 $

Ce rosé fait la part belle au cépage typique de l’AOC Bandol : le mourvèdre. Finesse, rondeur et salinité vous porteront tout au long de la dégustation. Des saveurs de fruits rouges, de fruits à chair blanche et de fruit de la passion vous séduiront; tout le terroir de Bandol concentré dans votre verre.

 

 

Vieux Château d’Astros 2018

France, 750 ml

CODE SAQ : 10790843

PRIX : 18,35 $

Ce vin rosé s’ouvre sur une pointe d’agrumes, tantôt la feuille de kéfir, tantôt le pamplemousse, un brin exotique. En bouche, il rafraîchit et évoque le gingembre et l’orange amère.

 

 

Miraval Côtes de Provence 2017

France, 750 ml
CODE SAQ : 12296988

PRIX : 22,20 $

En plus d’avoir de célèbres propriétaires (les vedettes américaines Angelina Jolie et Brad Pitt), ce vin séduit par ses délicats reflets rosés, aux arômes de fruits et à l’acidité rafraîchissante.

 

 

 

 

Domaine De La Mordorée La Dame Rousse 2017

France, 750 ml

CODE SAQ : 12376881

PRIX : 31,25 $

Ce rosé sec s’affirme par des notes de fraise, de framboise, de rhubarbe et de poivre blanc. En bouche, sa texture ample culmine dans une finale assez soutenue. Exquis sur une terrasse en été.

 

 

Texte : Diane Stehle

Dans chaque numéro du magazine, la fondatrice d’Art Intelligentsia, Barbara Stehle, docteure en histoire de l’art, vous présente un artiste et une œuvre d’art. Art Intelligentsia offre des services de consultation destinés aux collectionneurs d’art, qu’ils soient débutants ou chevronnés.

Todd Murphy?: The Courage of Margaret Mead

La temporalité prend une tout autre signification dans les tableaux et les installations de Todd Murphy. Nous sommes transportés vers une contrée inconnue, une allégorie de toutes celles où nous avons vécu. L’univers de Murphy dépeint des personnages qui nous sont familiers, mais représentés de manières inhabituelles. La dynamique entre les objets et les sujets semble venir d’un autre monde, ou rappelle une époque depuis longtemps oubliée.

 

Une impressionnante peinture, The Courage of Margaret Mead, illustre une jeune femme vêtue d’une robe du soir blanche au cœur d’une vaste salle silencieuse. Dos au public, elle regarde une grande vitrine remplie d’une multitude d’oiseaux de diverses espèces. Ils paraissent tous sans vie. Des tigres et d’autres félins sauvages entourent Margaret. Sont-ils vivants ou empaillés? Ils semblent tous suspendus dans le temps, sur le point de sortir de leur état inanimé.

 

L’œuvre de Murphy présente une scène poétique qui soulève des questions. Que fait Margaret dans cet endroit étrange au beau milieu de la nuit? Est-ce un rêve ou un moment de notre histoire? L’éclairage nocturne changeant contribue au mystère spatial?: plutôt vert près des oiseaux, jaune au-dessus des félins, lunaire sur la robe. La composition est géométrique, les personnages naturalistes, l’œuvre d’un beau clair-obscur.

 

Margaret Mead était une anthropologue révolutionnaire qui a eu une vie amoureuse intense et peu commune. Elle avait le courage que toute femme rêverait d’avoir. Son dernier poste était au Musée américain d’histoire naturelle de New York (AMNH), qui est sans doute la source d’inspiration de Murphy pour cette œuvre.

www.toddmurphy.com

www.artintelligentsia.com

 

Texte : Barbara Stehle
Todd Murphy, The Courage of Margaret Mead, 2000, 40,6 x 61 cm © Todd Murphy

En moins de dix ans, le Bota Bota, spa-sur-l’eau est devenu un emblème du Vieux-Montréal. Ce succès, on le doit à toute une famille d’entrepreneurs chevronnés : Geneviève Emond, présidente et copropriétaire, son père Daniel, copropriétaire, sa sœur Natalie, vice-présidente de l’expérience client et Stéphanie, qui, même si elle n’est pas officiellement employée de l’entreprise, apporte son expertise en tant que propriétaire d’un autre spa bien connu, le BALNEA spa à Bromont. Retour sur l’histoire d’une réussite familiale cent pour cent québécoise.

Nous sommes en 2008. Daniel Emond, cofondateur avec Stéphanie, sa fille aînée, du BALNEA spa à Bromont, s’apprête à se lancer dans un nouveau projet avec sa fille cadette, Geneviève. « Nous trouvions que ce qui était offert à Montréal n’était pas à la hauteur de ce qui se faisait à l’extérieur de la ville ou en région », raconte Geneviève Emond. Le père et la fille décident alors d’offrir aux Montréalais un spa urbain de qualité, accessible sans voiture. Très vite, la proximité de l’eau devient une condition sine qua non.

Dès le début, les deux complices s’intéressent au parc des Éclusiers, idéalement situé avec sa vue sur la ville, le fleuve et Habitat 67. Mais il est interdit d’y construire. Toutefois, un ancien bateau-théâtre est à vendre. « L’idée de bâtir un spa sur un bateau donnant directement sur le fleuve a alors germé », déclare Geneviève. Deux ans plus tard, en décembre 2010, Bota Bota, spa-sur-l’eau voit le jour.

 

« Si notre croissance se poursuit, c’est grâce à notre équipe et
à notre service à la clientèle hors pair. »

Geneviève Emond, présidente et copropriétaire

Un esprit maritime rafraîchissant

Le Bota Bota est sans aucun doute traversé par un esprit maritime qui fait toute son originalité. Encore aujourd’hui, les visiteurs se changent dans l’ancienne salle des machines et profitent des cinq ponts pour admirer la ville. Avec une vingtaine de cabines de soins de massothérapie et d’esthétique, deux étages et un jardin consacré au circuit d’eaux (saunas, bains vapeur, bains froids), une piscine et plusieurs bains à remous extérieurs, cet endroit est doté de magnifiques installations. Mais son succès ne tient pas qu’à l’excellence de ses infrastructures. « Si notre croissance se poursuit alors que nous sommes dans notre huitième année d’activité, c’est grâce à notre équipe et à notre service à la clientèle hors pair. Et c’est là que Natalie, mon autre sœur, joue un rôle important », explique la jeune femme.

À cela s’ajoutent bien sûr des services de massothérapie de qualité procurés par des experts formés à des techniques des quatre coins de la planète. Résultat : la clientèle revient, année après année.

 

Au-delà du spa : la marque

Au fil des ans, Bota Bota, spa-sur-l’eau a mis au point son propre magazine électronique, Le Hublot, son blogue, ses événements (comme les cours de yoga gratuits l’été). Plus qu’un spa, il est devenu une marque axée sur le bien-être et la détente. «?Nous voulons être présents dans la vie des Montréalais au quotidien, pour les aider à mieux vivre. Or, on ne peut aller tous les jours au spa. Voilà pourquoi nous avons développé ces multiples avenues?», ajoute Geneviève. Et de conclure : « Les gens ont conscience que la vie est de plus en plus stressante. Ils cherchent des moyens de remédier à cette situation. Nous les aidons à combler leurs besoins. »

Circuit d’eaux

40 $ avant 11 h en basse saison
Du lundi au jeudi

Forfait Méduse

  • En tout temps : 245 $
  • Circuit d’eaux escale
  • Massage 4 mains de 60 minutes
  • Manucure au gel

Forfait Calypso

Du lundi au jeudi : 326 $ (pour deux personnes)
En tout temps : 348 $ (pour deux personnes)

  • Circuit d’eaux voyage
  • Massage suédois de 60 minutes
  • Assiette de dégustation
  • Un verre de vin

www.botabota.ca

Texte : Diane Stehle

 

Depuis sa fondation en 2012, ensō yoga est devenu une destination incontournable pour les amateurs de yoga chaud de Montréal. Situé en plein centre-ville et installé dans un immense espace de 12 000 pi2, le centre propose une grande variété de cours dans un environnement spacieux, moderne et chaleureux, où tout a été pensé pour favoriser la concentration et le bien-être.

 

Sitôt franchie la porte du centre ensō yoga, on se retrouve dans un endroit à la fois moderne et chaleureux, spacieux et accueillant. « J’ai moi-même conçu l’aménagement de l’espace », souligne André Riley, qui a cofondé le centre avec Emily Webster. « Nous avons voulu créer un environnement inspirant et facile d’accès, où les gens se sentiraient bien accueillis. Les gens se sentent souvent intimidés par les centres de yoga traditionnels, ou ont peu d’affinités avec leur aspect spirituel. Au centre ensō yoga, nous encourageons les gens à bouger plus consciemment, tout en mettant l’accent sur le travail du corps, la concentration et la détente des muscles », ajoute-t-il.

Une propreté éclatante

La clientèle, majoritairement féminine, apprécie particulièrement la propreté exemplaire des lieux, un atout de taille puisque les cours se déroulent dans des salles chauffées à 38 °C. Le centre ne lésine pas au chapitre de la propreté : les planchers et les douches sont lavés après chaque cours et l’on peut sans aucune crainte marcher pieds nus, de la réception aux salles de cours. Tout a été conçu pour faire des visites au centre une expérience agréable et simple. C’est pourquoi les vestiaires sont munis de casiers à verrouillage électronique (plus besoin de cadenas!) et qu’on y retrouve des élastiques et des séchoirs à cheveux, des douches où sont fournis shampoing, revitalisant et nettoyant corporel, ainsi qu’une aire de détente avec accès sans fil à Internet. De quoi alléger sérieusement le sac de sport!

Des cours pour tous les goûts et tous les niveaux

Le centre offre six cours différents, allant du traditionnel yoga chaud (ensō hot flow), au hot pilates et au hot barre. Les classes sont accessibles à tous, y compris aux débutants. « La chaleur aide les muscles à se détendre. Donc, même si vous n’êtes pas d’une souplesse optimale, vos muscles se relâcheront plus facilement. De plus, il est toujours possible d’adapter les postures en fonction de votre niveau », précise le propriétaire. Le cours le plus populaire? Le ensō hot barre, une fusion de pilates et de ballet, qui permet de sculpter et de définir les muscles tout en améliorant la stabilité et la posture. Côté tarifs, le centre offre plusieurs options et forfaits, dont l’abonnement mensuel et les cours à la carte. Tous les cours peuvent être achetés en ligne, ou sur place. Il ne vous reste plus qu’à essayer le yoga chaud et à découvrir ses nombreux bienfaits!

 

www.ensoyoga.ca

 

Texte : Marie-Claude Ethier