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Si la Géorgie, la Phénicie (Liban actuel), puis la Grèce sont considérées comme les berceaux du vin, l’Italie, la France, l’Espagne et le Portugal sont rapidement devenus les références viticoles mondiales. L’avènement du christianisme, l’implantation de monastères en Europe de l’Ouest au cours du premier millénaire, puis la conquête des autres continents par ces quatre pays au second millénaire, vont asseoir la suprématie des pays dits latins en tant que producteurs de vin. À travers le message biblique qui véhicule la consommation du vin, le clergé va contrôler l’élaboration de ce dernier pendant quinze siècles.

 

L’Italie, la France, l’Espagne et le Portugal forment aujourd’hui le quatuor des plus grands pays viticoles, les plus populaires et les plus convoités. Leurs différentes régions viticoles ont un point commun : toutes ont été édifiées par les moines cisterciens, bénédictins, chartreux ou franciscains. Le terme cru – qui vient du verbe croître – est aujourd’hui associé à l’excellence vinique grâce à eux parce que, bien entendu, ce sont les moines qui avaient la tâche de diriger l’agriculture pour les seigneurs locaux.

 

Il faudra attendre les révoltes de la Renaissance et, surtout, les révolutions civiles de la fin du 18e siècle en Europe, particulièrement en France, pour que les terres agricoles et viticoles soient redistribuées au peuple. La démocratisation du vin se fera alors à travers sa commercialisation internationale, elle qui n’avait été que nationale, à quelques rares exceptions près.

 

N’est-il pas singulier de constater que ce ne sont pas Dijon, Lyon, Turin, Florence, Barcelone, Lisbonne ou Coimbra qu’on cite en exemples viticoles, mais bien des villages qui bordent ces métropoles, des villages qui auraient été pratiquement méconnus s’ils n’avaient pas été élevés au rang de cru?

 

Les grands vins d’aujourd’hui, tous ces noms qui font rêver comme Vosne-Romanée, Aloxe-Corton, Barbaresco, Barolo, Châteauneuf-du-Pape, Saint-Émilion et bien d’autres, étaient essentiellement consommés par les seigneurs locaux. Parfois, certains buvaient un vin venu de loin, offert en présent par un invité prestigieux étranger ou diplomate. Toutefois, cette découverte n’entraînait pas l’ouverture d’un futur échange marchand, elle était anecdotique, éventuellement répertoriée par un secrétaire.

 

© Guénaël Revel

 

Les vins qu’on va faire voyager, qu’on va vendre à des milliers de kilomètres de leur lieu d’origine seront, au début, des vins éconduits par l’élite, des vins rejetés parce qu’ils étaient considérés comme âcres ou acidulés, indigestes et mauvais. Et là encore, ce sont les moines qui trouveront la solution pour les arranger, les améliorer et surtout, y trouver une source de revenus. Ainsi naissent Porto, Madère, Jerez, Malaga, Marsala, Rivesaltes et autres douceurs viniques alimentées par du sucre et de l’eau-de-vie qui permettent au mauvais vin de devenir bon et… sollicité! Portugais, Espagnols, Italiens et Français se partagent l’élaboration grâce à leurs ordres monastiques, tandis que les Anglais s’approprient le commerce.

 

Le correcteur du vin d’alors, au milieu du 18siècle, c’est l’eau-de-vie de fruits ou de plantes. Deux cents ans plus tard, ce seront les produits chimiques et systémiques, issus de laboratoires financés par les états qui s’imposeront! Le réveil écologique est tardif, la génération 2000 a soif de vin dit nature, peut-être plus sain. Le troisième millénaire sonne un retour aux sources… latines : les vins biologiques et biodynamiques ont le vent dans les voiles et l’on prévoit que 20 % de la production mondiale de vin en 2030 sera biologique.

 

À l’heure où la vigne est adaptée à tous les sols et à toutes les latitudes, où même des pays qui ne sont pas naturellement considérés comme viticoles tels que l’Angleterre, le Canada, la Belgique ou la Pologne élaborent de très bons vins, où puise-t-on désormais les fondements des meilleures vinifications? Dans les écrits des moines médiévaux qui, eux-mêmes, s’inspiraient de sources latines!

 

 

Rédacteur : Guénaël Revel

Photo couverture : © Adrien Olichon

Tout le quartier est en effervescence depuis que l’Aman New York a ouvert ses portes dans l’emblématique Crown Building de la 5e avenue. L’hôtel est à la hauteur de la mission de la marque Aman : transporter les invités loin du quotidien en leur proposant des espaces calmes et raffinés qui respirent l’élégance et la convivialité. C’est sans compter le Jazz Club, un établissement de soirée exclusif si séduisant qu’il est caché dans les recoins de l’hôtel, accessible uniquement par une entrée secrète sur West 56th Street.

Une soirée incomparable

D’abord, il y a les regards complices et les murmures d’anticipation alors que les convives élégamment vêtus s’approchent du lieu inspiré des speakeasys. Un sentiment de hâte et de rébellion les accompagne lorsqu’ils passent le seuil pour découvrir les 3 000 pieds carrés d’élégance conçus par Jean-Michel Gathy. Des banquettes en demi-lune intimes et des tables entourées d’élégants fauteuils rembourrés parsèment les lieux sous de doux halos de lumière. Les finitions sont exquises, la palette, chaleureuse et riche, et l’éclairage, flatteur. De somptueux rideaux se drapent derrière un piano à queue Steinway de 1962.

 

 

La programmation du Jazz Club, variée et passionnante, évolue sans cesse sous la gouverne du directeur créatif Brian Newman, six fois mis en nomination aux Grammy Awards. Des légendes de la musique et les meilleurs nouveaux talents foulent la scène tous les soirs, allant des hybrides de jazz contemporain innovants aux classiques du répertoire américain. Les prestations sont toujours suivies de soirées de danse qui se prolongent jusqu’aux petites heures.

 

 

Lorsque vient le moment de se rassasier ou de se désaltérer, la carte de l’Aman New York propose des collations alléchantes comme le steak wagyu A5 et le sandwich grillé au fromage truffé, ainsi qu’une impressionnante liste de vins, de champagnes et de spiritueux. Des cocktails originaux inspirés des nombreuses destinations mondiales d’Aman envoûtent les sens avec l’ajout d’essences uniques comme le pandan d’Indonésie et le shisho du Japon.

Un son exceptionnel pour les événements exclusifs

Le Jazz Club est entièrement équipé de certaines des technologies acoustiques les plus avancées au monde. Une isolation acoustique sur toute l’étendue des murs, une multitude de haut-parleurs et de microphones, et des boîtiers de raccordement pour le réseau, l’audio et la fibre optique répondront aux besoins de tout événement, allant des enregistrements et lancements d’albums aux fêtes privées. Les artistes et les spectateurs vivront une expérience sonore dynamique sans pareil grâce au système Constellation© de Meyer Sound Laboratories. Cette technologie permet d’optimiser activement le son afin d’offrir au public la possibilité d’apprécier chaque nuance de la musique tout en pouvant tenir une conversation à table.

 

Ouvert du mardi au samedi, de 17 h à 2 h
Spectacles sur scène : de 19 h à 22 h
Piste de danse avec DJ : de 22 h à 2 h
Réservation requise

 

 

Rédactrice : Jennifer Laoun-Rubenstein

Photos : © Avec l’aimable autorisation d’Aman

Un vent de dynamisme souffle sur la rue Bathurst, à Toronto, à l’aube d’un plan de revitalisation à long terme. Un élégant projet d’hôtel-boutique et de résidences de luxe mené par Lanterra Developments suscite l’engouement parallèlement aux propositions de la Ville visant à transformer le quartier Glen Park. Les condominiums Glenhill fusionneront harmonieusement avec l’hôtel Glenhill dans un magnifique immeuble de neuf étages à l’intersection de Bathurst et de Glencairn, offrant des services et des commodités incomparables

Un complément parfait à la communauté

Ce sont 127 unités résidentielles et 23 suites d’hôtel qui accueilleront les résidents et visiteurs de ce quartier en plein essor offrant déjà bon nombre de services communautaires et de restaurants prisés. Le projet Glenhill, bordé à l’ouest par le parc adjacent sur 260 pieds linéaires, abritera 1 020 m2 d’espace commercial et de vente au détail au rez-de-chaussée.

 

« L’hôtel Glenhill sera le premier hôtel du quartier Glen Park, lequel devient une destination de plus en plus recherchée. Intégré à l’un de nos projets de condominiums les plus élégants et luxueux à ce jour, ce sera un complément parfait à la communauté », indique Mark Mandelbaum, président du conseil d’administration de Lanterra Developments.

 

 

« L’hôtel Glenhill sera le premier hôtel du quartier Glen Park, lequel devient une destination de plus en plus recherchée. Intégré à l’un de nos projets de condominiums les plus élégants et luxueux à ce jour, ce sera un complément parfait à la communauté. »

– Mark Mandelbaum, président du conseil d’administration de Lanterra Developments

Un design exceptionnel pour des espaces bien pensés

Lanterra Developments a confié la conception de l’hôtel et des condominiums Glenhill à deux entreprises locales. IBI Group signe la structure emblématique du projet, avec son toit vert et sa cascade de balcons aux étages supérieurs. Une base à ossature préfabriquée fera place à l’entrée en porte cochère et à l’entrée résidentielle donnant sur l’avenue Glencairn, chacune menant à son propre hall discrètement sophistiqué. Studio Munge aménagera l’intérieur avec d’impressionnantes colonnes de pierre naturelle et un plancher en marbre taillé sur mesure.

 

 

Le bâtiment à la fenestration généreuse offrira des suites résidentielles de deux et trois chambres (de 1 000 pi2 à plus de 5 000 pi2) et des suites d’hôtel (de 500 pi2 à 1 000 pi2), dont les plafonds atteindront jusqu’à 10 pieds. Les acheteurs pourront adapter leur espace à leur style de vie en choisissant des finitions personnalisées, par exemple une baignoire plus profonde ou une douche à panneaux de verre pour se détendre à la fin d’une longue journée.

Des commodités exceptionnelles

En plus des espaces récréatifs et fonctionnels à la disposition exclusive des résidents ou des clients, ainsi que des zones communes accessibles à tous, l’hôtel et les condominiums Glenhill offriront tout le luxe imaginable à ses usagers. Mise en forme, détente, réunions d’affaires, rassemblements informels, événements spéciaux et commodités de la vie quotidienne : tout est possible grâce aux installations de luxe et à la conciergerie disponible en tout temps. Le consultant en hôtellerie Tony Cohen de Global Edge Investments veillera à ce que l’expérience de l’hôtel soit inégalée. Il a perfectionné son expertise notamment en tant qu’ancien propriétaire des hôtels Thompson et Le Germain de Toronto.

 

 

Grande ouverture de l’hôtel et occupation des premières unités dès l’hiver 2024

Unités résidentielles à partir de 1,1 M$

 

Commodités du Glenhill

  • Service de conciergerie offert en tout temps
  • Service de bagagiste
  • Salle de livraison de colis
  • Halls d’entrée distincts pour la clientèle de l’hôtel et les résidents des copropriétés
  • Entrée en porte cochère
  • Entrée résidentielle sur l’avenue Glencairn
  • Salles de réunion
  • Salons intérieurs et extérieurs
  • Salle polyvalente
  • Espace événementiel privé
  • Bar
  • Piscines intérieure et extérieure
  • Cabanons
  • Spa et saunas (sec et à vapeur)
  • Salle de traitement
  • Salle de mise en forme
  • Studio de yoga
  • Terrasse au deuxième étage avec aménagement paysager
  • Terrasses et pavillons extérieurs
  • Douche et bain de pieds extérieurs
  • Espace d’étirement
  • Espaces barbecue
  • Bibliothèque
  • Toit vert

 

www.glenhill.ca

 

Rédactrice : Jennifer Laoun-Rubenstein

Photos : © Lanterra Developments

En 2020, Chanel célébrait les vingt ans de la J12 avec la J12 X-Ray tout en transparence. Cette année, la J12 Tourbillon Diamant démontre une fois de plus que la maîtrise technique horlogère la plus pointue sait se mettre au service total de l’esthétique. Et de la haute poésie, avec un diamant solitaire en rotation sur un tourbillon volant.

 

En collaboration avec Europa Star

 

Parmi les modèles iconiques de l’horlogerie contemporaine, la J12 occupe une place bien à part. Très subtilement dessinée par Jacques Helleu, alors directeur artistique de Chanel, elle a démontré depuis sa naissance en 2000 une versatilité renversante, sachant sans cesse se réinventer sans jamais se dénaturer.

 

La J12 a non seulement sublimé la céramique, dont elle a varié les tonalités; elle s’est aussi, au fil des ans, muée en chronographe, s’est habillée d’aluminium, a été équipée d’un calibre mécanique Audemars Piguet, a réinventé à sa façon la haute joaillerie en sertissant 724 baguettes de céramique noire autour de son cadran, s’est transformée en plongeuse étanche à 300 mètres sur bracelet caoutchouc, et s’est équipée d’une longue lignée de tourbillons dès 2005.

 

 

À l’occasion de son dixième anniversaire, elle a abordé la Haute Horlogerie compliquée avec la J12 Rétrograde Mystérieuse. Conçue à deux voix entre le Studio de Création d’Horlogerie de Chanel de la Place Vendôme et Giulio Papi, patron de la manufacture de la Vallée de Joux Renaud Papi, propriété d’Audemars Piguet, cette montre combine mouvement tourbillon, aiguille des minutes rétrograde pour contourner l’obstacle d’une couronne de remontage verticale fichée dans le cadran, guichet loupe supplémentaire pour les minutes intercalaires… Dans sa boîte de céramique noire parfaitement ronde, aussi étonnante soit-elle, elle reste immanquablement la J12. Et elle témoigne de façon virtuose comment la technique parvient à répondre aux demandes conceptuelles et esthétiques.

 

Depuis, Chanel a multiplié les incursions en Haute Horlogerie en développant systématiquement ses propres capacités manufacturières. Dès 1993 Chanel acquiert la manufacture G&F Châtelain, sise à La Chaux-de-Fonds. La maison y développe la fabrication de composants céramique, puis développe l’activité de mouvements horlogers dès 2016, devenant dès lors une manufacture horlogère à part entière.

 

Récemment, Chanel s’est renforcée encore dans ce domaine en prenant une participation dans la nouvelle manufacture Kenissi, aux côtés notamment de Rolex et Tudor. Désormais, Chanel possède la maîtrise complète des savoirs et des outils techniques qui lui permettent de réaliser totalement en interne des montres d’exception.

Tout part du Studio de Création d’Horlogerie

Chez Chanel, c’est la création et le style qui donnent le ton à la technique. Celle-ci doit strictement se plier aux intentions du Studio de Création d’Horlogerie de Chanel situé à Paris et dirigé depuis 2013 par Arnaud Chastaingt. Depuis lors, il a conçu notamment les montres Boy.Friend ou Monsieur de la Maison Chanel, première création horlogère Chanel spécifiquement masculine, la Code Coco, ou encore, plus récemment, la belle et originale collection Mademoiselle Privé Bouton.

 

Comme Arnaud Chastaingt l’a déclaré : « Tous les créateurs qui travaillent pour Chanel utilisent un vocabulaire commun. » Montre après montre, ses créations savent étonner, voire même décoiffer, s’il le faut, comme il l’a montré avec la récente collection capsule J12 Electro.

 

Mais revenons précisément à la J12. Arnaud Chastaingt a d’abord accompli sur le dessin original de la pièce, son boîtier, son cadran, son bracelet, ce qu’il appelle un « travail de chirurgien ». On ne touche à une icône qu’avec des gants! « C’est un travail structurel, » explique-t-il, « bien plus complexe, parfois, qu’une création à partir d’une feuille blanche. » Pari réussi. La J12 se régénère sans se dénaturer.

 

En 2020 sort l’exceptionnelle J12 X-Ray. Du cadran, il ne reste que l’épure : un cercle graphique central frappé d’une fine minuterie en chemin de fer et un tour d’heures dont les index sont des diamants baguette qui semblent flotter librement tout autour du cœur de la montre. Le mouvement central apparaît ainsi comme suspendu dans le vide à l’intérieur d’un boîtier intégralement transparent. Réalisé en saphir, ce boîtier dont la lunette est sertie de 46 diamants taille baguette est prolongé par un bracelet également taillé dans du saphir translucide – une grande première en horlogerie.

 

 

La montre est équipée du Calibre propriétaire 3.1 entièrement réalisé par la Manufacture Chanel sous la direction artistique du Studio de Création d’Horlogerie de Chanel. Un beau pari et une magnifique expression, à nouveau, d’un style qui dicte sa forme au mouvement.

Chez Chanel, c’est la création et le style qui donnent le ton à la technique. Celle-ci doit strictement se plier aux intentions du Studio de Création d’Horlogerie de Chanel situé à Paris et dirigé depuis 2013 par Arnaud Chastaingt.

La J12 Tourbillon Diamant

Le pas suivant est la J12 Tourbillon Diamant présentée cette année. Son idée est née comme il se doit au Studio de Création d’Horlogerie de Chanel : mettre en rotation un diamant aussi grand que possible au sein de la montre. L’effet visuel de ce diamant tournant au rythme de la seconde doit produire un « effet hypnotique », précieux et fascinant.

 

Pour y parvenir, l’option choisie est de sertir un diamant sur la cage d’un tourbillon volant. Ce sera le Calibre 5, premier tourbillon volant et cinquième mouvement de Haute Horlogerie à sortir de la Manufacture Chanel de La Chaux-de-Fonds.

 

 

Pour les maîtres-horlogers de la Manufacture, la tâche est délicate. Contrairement au tourbillon traditionnel, dont la cage est maintenue à la fois par le bas et par un pont sur le haut, la cage du tourbillon volant, dont la construction est plus aérienne encore, ne repose que sur le fond de la platine. Mais du coup, dépourvue de pont supérieur, elle devient pleinement visible.

 

La performance technique inédite est notamment celle de parvenir à sertir un solitaire sur la cage du tourbillon volant qui effectue un tour en 60 secondes. Il est question d’un équilibre parfait, sachant que plus légère est la cage, meilleurs sont le fonctionnement et la précision du tourbillon. Il a donc fallu développer une taille de diamant à 65 facettes spécifique pour cette création, afin que le diamant serti sur la cage de tourbillon miroite parfaitement au cours de sa rotation en 60 secondes et procure l’effet stroboscopique demandé par le Studio de Création. Et il faut loger le tout sur une hauteur de 6.25 mm.

 

Le cercle en pourtour de la cage elle-même est lui aussi serti de 26 diamants taille brillant, tant et si bien que le solitaire vole dans un cercle de diamants rehaussé encore, dans une composition architecturale de cercles entrecroisés allant en s’agrandissant, par la lunette intégralement sertie de 34 diamants taille baguette ou, dans le second modèle, d’autant de baguettes de céramique noire.

 

Au centre, légèrement rehaussées, les aiguilles bâton des heures et des minutes, également serties de diamants taille brillant, circulent au-dessus d’une sobre minuterie « chemin de fer » et se détachent contre l’épure sur fond noir du mouvement, composé uniquement d’éléments eux aussi circulaires.

 

 

Ce jeu de lumières et de contrastes fait ressortir vivement l’éclat blanc des diamants sur le fond du cadran noir, enserré dans un boîtier de céramique noire ultra résistant, que prolonge un bracelet de la même matière, qui se referme par une boucle déployante en or blanc. Vu de dos, à travers le fond saphir de la montre, le mouvement Chanel Calibre 5 est marqué d’une tête de lion, signature des mouvements Manufacture de la Maison Chanel. À bien l’observer, on se rend compte de petits détails qui font toute la différence : les rubis sont surdimensionnés et bombés, de façon à faire ressortir leur rouge éclat; la périphérie de la platine est gansée, dans l’esprit haute couture de la maison.

 

L’ensemble de la composition architecturale du mouvement s’organise en cercles entrecroisés, à l’image de la face de cette montre exceptionnelle. La J12 Tourbillon Diamant est présentée en deux versions : en céramique noir mat et acier, avec lunette sertie de baguettes de céramique, ou en céramique noire brillante et or blanc 18 carats, avec lunette sertie de diamants baguette, toutes deux limitées à 55 exemplaires.

 

Avec la J12 Tourbillon Diamant, équipée du premier tourbillon volant de Chanel dont un diamant décompte les secondes, la Maison signe un nouveau chapitre majeur de son histoire horlogère.

 

www.europastar.com

 

Rédacteur : Pierre Maillard

Comme un oiseau délicatement posé sur le magnifique bois de Boulogne à Paris, la Fondation Louis Vuitton incarne le mariage parfait entre l’art et la nature. Dédié à la création et à la diffusion, le musée signé Frank Gehry est une œuvre architecturale en soi. Avec une collection et des expositions à couper le souffle ainsi que des récitals, des spectacles et des événements sublimes, l’espace enveloppe ses trésors comme ses visiteurs d’un raffinement suprême. Consacrée à la pérennité de l’art moderne et contemporain sous toutes ses formes, la brillante Fondation Louis Vuitton ouvre les portes au pur enchantement.

 

© Iwan Baan

L’extraordinaire exposition Monet–Mitchell

Mettant en scène un tête-à-tête inédit entre les peintres Claude Monet et Joan Mitchell, les expositions « Le dialogue Claude Monet–Joan Mitchell » et « Rétrospective Joan Mitchell » (en cours jusqu’au 27 février 2023) donnent à voir les perceptions singulières et immersives de deux artistes exceptionnels. Du rez-de-bassin aux étages supérieurs, plus d’une centaine d’œuvres emblématiques prennent d’assaut la Fondation pour présenter deux regards sensibles sur un même paysage et la plus importante rétrospective de l’artiste Joan Mitchell en 30 ans. Fruits de prestigieux partenariats avec le Musée Marmottan Monet (« Le dialogue Claude Monet–Joan Mitchell »), le San Francisco Museum of Modern Art et le Baltimore Museum of Art (« Rétrospective Joan Mitchell »), les deux expositions offrent au public un parcours empreint d’un charme naturel irrésistible. On y témoigne de remarquables correspondances visuelles et thématiques entre les fameux nymphéas de Monet et sa mise en regard abstraite par Mitchell. Dans un écho retentissant de force et de grâce, la restitution des motifs de Monet et leur transposition à travers le filtre de la mémoire de Mitchell mettent en lumière la sensibilité hors-norme de ces grands maîtres et de leurs chefs-d’œuvre incontournables. Vibrante et touchante, l’exposition Monet–Mitchell n’est rien de moins qu’une véritable rencontre au sommet de l’art du 20e siècle.

 

Joan Mitchell, La Grande Vallée XIV (For a Little While), 1983. Huile sur toile, 280 x 600 cm. Musée national d’art moderne, Centre Pompidou, Paris. © La succession de Joan Mitchell

Claude Monet, Le jardin à Giverny, 1922-1926. Huile sur toile, 93 x 74 cm. Musée Marmottan Monet, Paris.

Une expérience unique, pour tous les sens

Au-delà d’extraordinaires expositions temporaires, la Fondation Louis Vuitton donne lieu à un ravissement constant. Autour de l’architecture, des arts visuels ou de la scène et de la gastronomie, elle met à l’affiche des souvenirs mémorables jour après jour. Dans un décor audacieux et innovant, avec l’ambition de « concevoir à Paris un vaisseau magnifique », l’architecte Frank Gehry a créé une destination de délices complets. Collection permanente rassemblant plus d’une centaine d’artistes reconnus internationalement, concerts et récitals, spectacles de danse, ateliers : la visite promet d’être inoubliable et de donner faim et soif de beauté. Le cadre est parfait pour s’attabler au restaurant Le Frank et goûter aux merveilles de son chef étoilé Jean-Louis Nomicos. Raffinée et gourmande, la cuisine est sublimée par l’atmosphère du moment. Du matin jusqu’au soir, Le Frank revisite les classiques de la cuisine française en intégrant une touche de créativité et de saveurs au gré des expositions. Le service du soir (sur réservation seulement) boucle la boucle du grand art.

 

Joan Mitchell, Quatuor II for Betsy Jolas, 1976. Huile sur toile, 279,4 x 680,7 cm. Centre Pompidou, Paris, en dépôt au Musée de Grenoble. © La succession de Joan Mitchell

Claude Monet, Nymphéas, 1916 -1919. Huile sur toile, 200 x 180 cm. Musée Marmottan Monet, Paris.

Claude Monet, Les Agapanthes, 1916-1919. Huile sur toile, 200 x 150 cm. Musée Marmottan Monet, Paris.

L’éblouissement, toujours au programme

La Fondation Louis Vuitton est l’escale parisienne à découvrir. Le programme de créations Open Space, les concerts d’exception et les événements à venir s’ajoutent en permanence au calendrier des merveilles en cours. À lui seul, le lieu vaut le détour. Le bois de Boulogne, avec ses 28 km de pistes cavalières, ses 15 km de sentiers, ses ruisseaux, ses étangs et sa Grande Cascade font le bonheur des Parisiens depuis plus de 200 ans. Comme un mirage dans un écrin de nature, c’est aujourd’hui un arrêt obligé de la Ville lumière.

 

www.fondationlouisvuitton.fr

 

Rédactrice : Alexandra Pastena

Photo couverture : © Iwan Baan

En plein centre de l’élégantissime 1er arrondissement, l’Hôtel Le Meurice magnifie la Ville Lumière de ses 5 étoiles depuis deux siècles. Parfaitement situés face au jardin des Tuileries, le palace et ses arcades emblématiques de la rue de Rivoli sont le lieu d’expériences grandioses où l’art de vivre atteint tous les sommets du raffinement.

 

Véritable Versailles de la sublime collection hôtelière Dorchester, Le Meurice fait partie du club très sélect des Entreprises du Patrimoine Vivant de France. Quiconque vise un séjour princier dans la mecque européenne du luxe doit se prélasser au moins une fois dans ce joyau incarnant à lui seul l’élégance suprême. Alliant classicisme somptueux et confort ultramoderne, l’hôtel promet une escapade inoubliable qui n’a d’égale que la beauté du Louvre et de la place de la Concorde, tous deux à seulement quelques pas. La riche histoire de l’hôtel s’anime à travers la magie des œuvres qui ornent ses murs.


Entrez dans la légende

De nuit comme de jour, la splendeur du 17e sur laquelle a été bâti Le Meurice est éclatante. Son faste et son opulence fascinent bien au-delà des établissements somptueux. C’est toute une histoire façonnée au fil des siècles, l’inspiration des plus grands et l’âme de bâtisseurs et d’artistes qui ouvrent les portes à l’extraordinaire. Dalí et Warhol s’y sont posés pour peindre, Picasso pour s’y marier et Zola y a écrit Paris, tandis que Ducasse y sublime encore et toujours la plus fine cuisine du monde. Le panache de l’espace est tel que son héritage se transmet de manière aussi douce que foudroyante. Le Meurice n’est rien de moins qu’une émotion forte à chaque coup d’œil, à chaque repas, à chaque service, à chaque instant.

 

Des appartements d’exception

Sur sept étages, les 160 chambres du palace regorgent de trésors d’ameublement et de décoration. Avec des vues imprenables sur la tour Eiffel, le jardin des Tuileries et l’horizon de Paris, les suites Classique, Supérieure, Deluxe, Exécutive et Prestige sont toutes uniques. Soignées dans les moindres détails, habillées de tissus soyeux, décorées de gravures anciennes, parfumées de fleurs fraîches, ces oasis de repos et d’enchantement ne sont surpassées que par la spectaculaire Suite Penthouse Belle Étoile. Avec ses 250 m2 de terrasse et sa vue sur Paris à 360 degrés, son accès direct par ascenseur, sa pièce-penderie, sa salle à manger et sa cuisine attitrée pour un maître d’hôtel et un chef privé, la Belle Étoile est un rêve en soi.

 

 

Avec deux restaurants, trois bars et une pâtisserie dirigés de main de maître par les grands chefs Alain Ducasse et Cédric Grolet, Le Meurice promet des moments de délice d’une finesse absolue. La passion, la créativité et l’excellence sont les clés des deux étoiles Michelin dont jouit l’établissement. Créés avec une inventivité sans frontière, les menus proposés mènent tous, à leurs façons, à l’intense plaisir de la gastronomie française. Qu’on s’attable au Dalí pour s’offrir une ode colorée à la cuisine locale et de saison, au Le Meurice Alain Ducasse pour toucher la quintessence de la subtilité et de l’habileté technique ou à la Pâtisserie du Meurice pour savourer les desserts du meilleur pâtissier au monde, on goûte au comble du bonheur. Et si on a envie de rester au lit, le service aux chambres est garant de la même succulence. Sommeliers, créateurs de cocktails, maîtres d’hôtel et brigades promettent une expérience invariablement impeccable. Le quatre-heures chez Le Meurice est d’ailleurs à ne pas manquer, qu’on y aille pour se délecter de sa fameuse heure du thé ou d’une coupe de champagne.

 

Destination prisée des amateurs de luxe à l’échelle de la planète, l’Hôtel Le Meurice est un établissement à part. S’y régaler d’une nuitée est tout simplement un incontournable pour tous ceux qui souhaitent créer et offrir des souvenirs qui n’ont pas de prix.

En bref

  • Idéalement situé face aux Tuileries, près du Louvre et de la place de la Concorde
  • 160 chambres, toutes uniques
  • Deux restaurants (dont Le Meurice qui est récompensé de deux étoiles Michelin), trois bars et une pâtisserie
  • Des salons et des banquets dignes d’événements et de mariages de rêves
  • Un spa dédié à la beauté, avec les soins antiâges exclusifs de la Maison Valmont
  • Une conciergerie et un service aux chambres exceptionnels

 

 

www.dorchestercollection.com

 

Rédactrice: Alexandra Pastena

Première institution au Canada vouée exclusivement à l’art contemporain, le Musée d’art contemporain de Montréal (MAC) témoigne brillamment du rôle fondamental de l’art actuel dans notre société. Fort d’une collection de plus de 8 000 œuvres venues des quatre coins du monde, le MAC est un incontournable pour les esthètes de leur temps depuis plus de 50 ans.

 

Faire connaître, promouvoir, conserver l’art contemporain local et assurer une présence de l’art contemporain international : voilà la mission qui fait vibrer le MAC décennie après décennie. En faisant rayonner l’art d’aujourd’hui sous toutes ses formes, le MAC est un espace de découvertes et d’expériences émouvantes et inattendues. Avec plus de 1 800 artistes contemporains dans ses murs, c’est le meilleur endroit à Montréal pour ressentir et comprendre le monde à travers le regard des plus créatifs de notre ère.

Grands noms, grandes expositions

Ateliers de création pour tous, rencontres avec des artistes émergents et reconnus, extraordinaires expositions temporaires et permanentes… Il y a toujours quelque chose de fabuleux à apprendre, à faire et à voir au MAC.

 

Leonard Cohen – Une brèche en toute chose

Jusqu’en février 2024, les admirateurs de Leonard Cohen peuvent se réjouir de l’exposition virtuelle Une brèche en toute chose (disponible au Canada seulement). Exclusivement en ligne, elle permet de revivre l’exposition éponyme présentée par le MAC en 2017. Véritable immersion visuelle et sonore, l’exposition explore l’universalité des thèmes marquants de l’œuvre de Cohen et les liens qui peuvent être tissés avec l’art contemporain. À découvrir : une cinquantaine d’œuvres de la collection du MAC et toutes les œuvres et chansons de l’exposition originale.

 

Leonard Cohen © Lorca Cohen

Nelson Henricks – Des œuvres inédites

À l’affiche jusqu’en avril 2023, l’artiste montréalais Nelson Henricks présente, en primeur, deux œuvres inédites produites spécialement pour cette exposition. À voir : Heads Will Roll, une installation vidéo et Don’t You Like the Green of A?, une interprétation surréaliste du regard de la célèbre peintre abstraite Joan Mitchell.

 

Nelson Henricks, Heads Will Roll (tambour)

Andy Warhol – Screen Tests

À l’affiche jusqu’en avril 2023, à même la visite de l’exposition Des œuvres inédites, Screen Tests est une composition d’Henricks mettant en lumière 15 essais vidéo produits par Andy Warhol entre 1964 et 1966. La mise en commun des visions fait écho au mouvement queer et donne à voir une œuvre avant-gardiste, à l’image de son inspirateur.

 

Andy Warhol, Donyale Luna [ST195], 1965. Film 16 mm, noir et blanc, muet, 4.5 minutes à 16 images par seconde © The Andy Warhol Museum, Pittsburgh, PA, un musée du Carnegie Institute. Tous droits réservés. Avec l’aimable permission du Andy Warhol Museum

Plus de 1 000 000 $ amassé lors du célèbre Bal de la Fondation du MAC

C’est plus de 950 personnalités qui ont foulé le tapis rouge lors du Bal de la Fondation du MAC. Après deux ans d’absence, l’événement a récolté un montant record voué à faire rayonner l’art contemporain québécois, canadien et international, à soutenir l’enrichissement de la collection du musée, et à produire des expositions et des programmes éducatifs exceptionnels.

 

Sous le thème Idylle, le gratin composé d’artistes et de gens d’affaires s’est vu ravi de célébrer l’art contemporain lors de cette soirée tenue au remarquable Marché Salada du Royalmount. Au-delà des prestigieux cocktails et repas, les invités se sont régalés d’expériences immersives et ont pu participer à un encan silencieux mettant en vedette de grands artistes, dont Marc Séguin, Caroline Monnet, Kim Dorland et Janet Werner.

 

En constante évolution et au cœur de l’action

Cohérent avec sa mission, le sublime MAC établi dans le Quartier des spectacles est en pleine transformation. Jusqu’en 2025, il s’installe à la Place Ville-Marie, située à quelques pas. Sa visite dans ses locaux temporaires promet une programmation inédite à tous les amateurs d’art contemporain et, au passage, une multitude de destinations gourmandes et de magasinage offrant le meilleur de Montréal.

 

www.macm.org

 

Rédactrice : Alexandra Pastena

Quand l’extraordinaire s’impose, il faut savoir ouvrir les portes du cellier et le souligner en grand. En collaboration avec la SAQ, voici l’occasion de savourer le meilleur, de le célébrer et de le partager avec passion. Voici le nec plus ultra de l’art du vin.

 

En collaboration avec : SAQ

Vins blancs

 

 

La Chablisienne Château Grenouilles Chablis Grand Cru 2018

France, Bourgogne, 750 ml

SAQ CODE: 14921265

PRIX : 120,00 $

Un chardonnay à la robe limpide et brillante, aux notes fleuries et légèrement boisées. Une texture fine, un nez retenu, avec une mise en bouche délicate et sophistiquée. Et une fois aéré, une intensité parée d’une fraîcheur minérale et d’une persistance aromatique remarquable.

 

 

 

 

Domaine de Montille Puligny-Montrachet Premier Cru Les Chalumeaux 2018

France, Bourgogne, 750 ml

SAQ CODE: 14859836

PRIX : 146,00 $

Un chardonnay frais, au caractère ouvertement floral et à la robe brillante. Avec une mise en bouche longue et bien équilibrée, laissant s’exprimer pleinement le fruit. Sa grande pureté aromatique offre une finale équilibrée et complexe, avec une légère amertume saline très agréable.

 

 

 

 

 

Maison Champy Corton Charlemagne Grand Cru 2020

France, Bourgogne, 750 ml

SAQ CODE: 14977971

PRIX : 237,25 $

En plus de la puissance naturelle du Corton-Charlemagne, ce chardonnay à la robe dorée soutenue respire la joie de vivre. Entre palette d’agrumes délicate, minéralité crayeuse et complexité boisée, c’est le parfait mélange du caractère fort de la tradition et de la fraîcheur juvénile.

 

 

 

M. Chapoutier Ermitage De l’Orée 2018

France, Vallée du Rhône, 750 ml

SAQ CODE: 14778518

PRIX : 312,75 $

Cet Ermitage est un vin blanc sec au caractère bien trempé. Un cépage vigoureux et généreux, drapé dans une robe d’un doré intense faisant écho à un nez à la fois floral et fruité. La mise en bouche est ronde et complexe, corsée et épicée.

 

 

 

 

Vins rouges

 

 

Domaine Camille Giroud Clos de Vougeot Grand Cru 2019

France, Bourgogne, 750 ml

SAQ CODE: 14965778

PRIX : 372,75 $

Ce pinot noir, à la superbe robe grenat, offre des tanins souples et veloutés. Un corps rond et une longueur exceptionnelle pour un équilibre parfait entre fruits et chêne. Au nez et en bouche, c’est toute l’animalité des Côtes de Nuits qui se révèlent.

 

 

 

 


Roberto Voerzio Fossati Barolo 2017

Italy, Piedmont, 750 ml

SAQ CODE: 14803859

PRIX : 453,75 $

Un cépage nebbiolo à l’image des subtilités de son terroir. Un corps léger et aromatique, avec des tanins riches et des notes fleuries au nez. Une acidité significative très vive et une finale longue et terreuse. Un vin du Piémont énergique, complexe et intense.

 

 

 

 

 

 

Carruades de Lafite Pauillac 2018

France, Bordeaux, 750 ml

SAQ CODE: 14200927

PRICE: 516,75 $

Ce pauillac, d’un rouge foncé profond, présente des tanins si fins, qu’il en résulte une texture quasi poudreuse, typique de Lafite. Le nez est élégant et puissant, avec des notes de baies presque iodées. La bouche est généreuse et raffinée, avec une finale longue et persistante.

 

 

 

 


Luciano Sandrone Vite Talin Barolo 2015

Italy, Piedmont, 750 ml

SAQ CODE: 14799351

PRICE: 537,25 $

Corsé et contrasté, ce millésime de Barolo bien structuré, aux tanins profonds, propose une finesse envoûtante. Expansif au nez, c’est avec une aération patiente qu’il révélera en bouche toutes les saveurs des fruits rouges gorgés de soleil, autant qu’une finale fumée aux notes d’herbes séchées.