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Depuis 1997, Bertrand Cesvet est président-directeur général et associé principal de Sid Lee, bâtisseur de marques. À la tête du groupe mondial de stratégie, il agit comme conseiller auprès des clients afin de les aider à transformer leur entreprise et leur marque. Sous sa gouverne, Sid Lee est devenue l’une des agences les plus reconnues dans le monde pour sa créativité et son modèle d’affaires unique. Conférencier convoité, il est l’auteur du livre Conversational Capital : How to Create Stuff People Love to Talk About.

Sid Lee est devenue, en vingt ans, l’une des agences les plus performantes au monde et a acquis une réputation internationale hors pair. Comment expliquez-vous ce succès?

Je l’explique par trois éléments : les talents que nous avons à Montréal, la bonne gestion des forces créatives au sein d’un modèle d’affaires unique, et l’envie d’aller à l’international. Depuis ses débuts, Sid Lee a toujours misé sur la multidisciplinarité.

Cette approche originale est-elle la clé de votre succès?

Oui, tout à fait. Pour nous, combiner des expertises qui sont habituellement séparées est primordial. Nous faisons tomber les barrières qui séparent les divers domaines pour libérer la créativité et créer de la valeur. À ce jour, Sid Lee est la seule entité au monde à proposer à la fois des services d’architecture, de communication et de marketing interactif. La multidisciplinarité est au cœur de notre approche.

L’audace fait partie de l’ADN de l’entreprise depuis ses débuts. Est-ce facile de la conserver quand on devient une entreprise internationale d’envergure?

Si Sid Lee est un chef de file sur le marché montréalais, elle fait encore figure de petite joueuse sur des marchés en développement comme ceux de Los Angeles ou Paris, même si elle rencontre un certain succès. L’audace et la création doivent toujours rester au cœur de notre approche. Il y a six ans, Sid Lee a imaginé C2 Montréal, l’un des plus grands événements d’affaires annuels,qui allie créativité et commerce.

Comment cette idée est-elle née?

Jean-François Bouchard [président du conseil de Sid Lee], Daniel Lamarre [président et chef de la direction du Cirque du Soleil] et moi-même nous sommes un jour demandé ce qui arriverait si les événements TED Talks et Burning Man avaient des enfants. Nous trouvions que tous les Sid Lee Diane Stehlé festivals se basaient sur une vision unidirectionnelle de la communication : des experts qui parlent à des gens. Nous avons alors créé un événement proposant des contenus d’exception dans un cadre d’exception afin que le public puisse échanger. Aujourd’hui, C2 Montréal reflète parfaitement notre ville et sa capacité de créer de la collaboration entre divers milieux.

Même si vous êtes présent un peu partout dans le monde, vous aimez répéter que le cœur de Sid Lee est à Montréal. Pourquoi? Montréal est-elle toujours une plaque tournante de la créativité?

Elle l’a toujours été pour nous, car il y a ici un vaste bassin de gens créatifs. Et qui dit créativité dit culture. Or, Montréal est à la fois européenne, nord-américaine et bilingue. Dès nos débuts, peu importe où l’on allait dans le monde, nous étions capables de nous adapter. Il y a vingt ans, c’était plutôt avant-gardiste, car le Québec s’exprimait beaucoup par la culture, mais pas encore par l’innovation. Aujourd’hui, la ville a une énorme attractivité. Je ne peux envisager le centre de gravité de la compagnie ailleurs qu’à Montréal. Le made in Canada ou made in Montréal ajoute aujourd’hui de la crédibilité à notre démarche, et ça, c’est très intéressant! Parmi vos nombreux clients, on compte notamment le Cirque du Soleil et Adidas.

En quoi ces marques ont-elles compté dans l’évolution de l’entreprise?

Le Cirque du Soleil est une entreprise québécoise qui a toujours eu des aspirations internationales, comme Sid Lee. Nous l’avons accompagnée dans son rayonnement de par le monde. Avec Adidas, il s’agissait d’une entreprise allemande venue chercher des talents ici pour l’aider dans son développement. Cette collaboration a démontré la qualité exceptionnelle de nos services, notamment par les nombreux prix que nous avons remportés.

Lorsqu’on parle du succès de Sid Lee, on évoque souvent le trio que vous formez avec Jean-François Bouchard et Philippe Meunier. Sid Lee, c’est aussi une histoire d’amitié?

Oui, c’est même d’abord une histoire d’amitié. Pour moi, il est plus facile de travailler avec des amis et la créativité, au sens où nous la concevons, est un sport d’équipe. Nos activités appellent à la collaboration. Or, de la collaboration à l’amitié, il n’y a qu’un pas. Récemment, Sid Lee Architecture a transformé l’hôtel Fairmont Le Reine Elizabeth.

Pouvez-vous nous en parler?

Sid Lee Architecture est en train de laisser son empreinte à Montréal grâce à des projets d’envergure. Pensons notamment à la reconstruction de l’hôtel Fairmont Le Reine Elisabeth, de l’hôtel Four Seasons ou du Bota Bota. Le Reine Élisabeth est un édifice important à Montréal. Nous lui avons donné une nouvelle mission, beaucoup plus en phase avec son époque, c’est-à-dire plus axée sur la collaboration et le style de vie. Nous sommes très fiers du résultat, tout comme de celui de l’Hôtel Four Seasons. Dans les deux cas, ce sont des projets qui changent le visage de Montréal. Et l’on peut en dire autant pour le Bota Bota dans le Vieux-Montréal.

Comment voyez-vous l’avenir de Sid Lee? Quel est votre prochain objectif?

Le plus important enjeu pour Sid Lee est sa notoriété. À Montréal et à Toronto, nous sommes connus de tous et impliqués dans la vie économique et créative de la ville. Nous souhaitons arriver à ce même niveau à Los Angeles et à Paris.

 

www.sidlee.com

 

Texte : Diane Stehle

Photo : Xavier Girard Lachaine

La firme d’architecture Lemay, à qui l’on doit notamment la conception du Centre Bell, fête cette année son 60e anniversaire. Pour l’occasion, nous avons rencontré son président et facilitateur de l’excellence, Louis T. Lemay.

VOTRE ENTREPRISE A 60 ANS CETTE ANNÉE. PARLEZ-NOUS DE SON ÉVOLUTION DEPUIS SA CRÉATION.

La firme a été fondée en 1957. Elle a suivi l’évolution de la société québécoise. En tant qu’entreprise canadienne-française, elle avait, au début, surtout accès aux commandes de l’Église et des écoles. Puis, avec la Révolution tranquille, l’Expo 67 et le programme d’investissement dans l’édu-cation, elle a obtenu de nombreux mandats pour les polyvalentes et les cégeps. À cela s’est ajouté, dans les années 80, le marché privé et corporatif, car de plus en plus d’entreprises québécoises émergeaient. Dans les années 90, Lemay a eu accès aux domaines publics et privés. Enfin, plus récemment, le design d’intérieur, le design urbain, la planification urbaine, l’architecture de paysage, le développement durable, l’ingénierie et l’image de marque ont été intégrés à nos services. Aujourd’hui, nous sommes une firme intégrée qui offre tous les services de conception de l’environnement bâti afin de créer des milieux de vie exemplaires et bénéfiques pour les collectivités.

COMMENT EXPLIQUEZ-VOUS VOTRE SUCCÈS?

Je crois qu’il tient à deux éléments principaux. Tout d’abord, nous avons toujours eu comme vision de développer l’entreprise, de croire que nous pourrions sans cesse l’améliorer. Nous avons compris que notre créativité et le travail d’équipe pouvaient nous aider à atteindre nos objectifs de développement et de croissance, tout en gardant en tête notre promesse d’offrir au client ce qui se fait de mieux. Ensuite, grâce aux compétences, au talent et à la passion de notre équipe, nous avons pu réaliser cette vision. Jour après jour, son énergie a permis à la firme de se développer.

QUELLES SONT VOS PLUS BELLES RÉALISATIONS?

C’est très difficile de faire un choix, mais je dirais que c’est la création du Centre Bell dans les années 90, car ce projet a incarné beaucoup de nos valeurs tout en nous permettant de passer à une étape supérieure. Sinon, le plus beau projet est toujours celui qui n’est pas encore réalisé, celui qui aura lieu demain.

PARLEZ-NOUS DE QUELQUES PROJETS RÉCENTS.

À Montréal, nous pilotons plusieurs projets stimulants: Humaniti, une initiative exemplaire en termes de développement durable réalisée selon notre approche unique de conception intégrée; le projet du Quartier de la Montagne, qui combine condos et hôtels sur la rue de la Montagne; la transformation de la Maison Alcan; la conception de la Place Bell, qui deviendra un pôle de divertissement et accueillera le club-école de hockey canadien. À Québec, nous modifions le Grand théâtre de Québec afin d’assurer sa pérennité. Enfin, en dehors du pays, nous venons de remporter le concours international d’aménagement des corniches du littoral de Casablanca au Maroc et travaillons sur plusieurs projets d’hôtels à New York.

COMMENT ENVISAGEZ-VOUS L’AVENIR DE VOTRE ENTREPRISE?

Aujourd’hui, comme je viens de le mentionner, nous œuvrons un peu partout dans le monde grâce à notre offre intégrée. Dans un futur proche, nous souhaitons devenir le leader canadien et œuvrer encore davantage à l’étranger. Le potentiel est là.

QUELLE EST VOTRE VISION DE L’ARCHITECTURE À MONTRÉAL?

Montréal a beaucoup changé ces 15 dernières années. Collectivement, il serait possible de faire encore mieux, mais je crois qu’elle a tout ce qu’il faut pour devenir une destination privilégiée pour la qualité de son environnement de vie. L’organisation de ses quartiers, sa diversité, son centre-ville combinant de façon unique commerces, résidences, bureaux et culture en fait une ville au potentiel incroyable. J’ai en elle une confiance énorme pour l’avenir.

QUELLES SONT LES TENDANCES DANS LE SECTEUR DE L’ARCHITECTURE À MONTRÉAL?

Les tendances sont éclectiques, mais au-delà d’un courant esthétique, il y a, au cœur des conceptions d’aujourd’hui, la question du développement durable. Nous devons créer des environnements de vie sains sans aucune empreinte écologique qui vont permettre aux prochaines générations d’obtenir le meilleur du patrimoine. Il faut penser à long terme. C’est ça l’architecture.

 

Texte : Diane Stehle

Fondée en 2003, la Maison Édéenne réalise des pièces uniques de haute joaillerie avec une approche singulière qui bouleverse l’industrie. Ses sculptures joaillières encensent les histoires intimes de ses clients et les valeurs des grandes marques avec lesquelles elle collabore. D’origine montréalaise et seule canadienne à faire de la haute joaillerie dans le monde, sa fondatrice, Édéenne, est de passage au Québec pour nous présenter sa première exposition dans son pays natal, qui aura lieu aux Grands Ballets Canadiens.

 

L’ex-directeur de la Joaillerie de Christie’s à Genève l’a cité comme l’une des quatre femmes qui ont marqué l’histoire de cette industrie depuis 1900, et ce, dans un univers essentiellement masculin. Elle a, de plus, été consacrée nouvelle légende de la place Vendôme, haut lieu du raffinement parisien. Et pour cause : Édéenne fait bien plus que des bijoux. Elle raconte, à travers eux, l’histoire de ceux qui les portent. « Lorsque je rencontre la personne qui souhaite une pièce, je lui pose une foule de questions intimes. J’essaie ensuite de restituer ce qu’elle m’a dit à travers uneœuvre-portrait. Je veux ainsi montrer à quel point chaque personne est unique », explique-t-elle.

 

Que ce soit par un mécanisme sophistiqué animant le bijou, par des alliances de matériaux a priori impossibles ou par une multitude d’éléments mobiles judicieusement entrelacés, il en résulte des œuvres uniques, où la beauté, combinée à l’innovation technique, suscite l’émerveillement.

 

Bague Carpe Koï en hommage au Japon Poisson en corail sous un cristal de roche, pavé de diamants, sur or gris

De retour à Montréal

Résidant à Paris depuis des années, Édéenne s’est fait connaître aux quatre coins du monde. Elle a notamment exposé ses pièces au Musée de la Légion d’honneur et au Palais de Tokyo, à Paris, chez Wako, à Tokyo, et à la TEFAF de Maastricht. En 2013, elle a aussi été invitée à réaliser la collection célébrant le 400e anniversaire de Mellerio dits Meller, la plus ancienne maison de haute joaillerie de la place Vendôme, et, en 2014, elle a créé une collection pour Lane Crawford, le prestigieux magasin de luxe de Hong Kong.

 

Toutefois, Édéenne souhaitait depuis longtemps organiser une exposition dans son pays natal, auquel elle est encore très attachée. C’est pourquoi elle vient aujourd’hui nous présenter sa première exposition. Elle y met en scène 160pièces dont plus de la moitié ont été prêtées, pour l’occasion, par ses clients de par le monde. Munis d’une lampe de poche et accompagnés d’une conteuse, dans une salle plongée dans un noir complet, les visiteurs sont amenés à découvrir l’histoire sous-jacente de chaque pièce et à vivre ainsi une expérience qui dépasse largement la présentation de l’objet lui-même. «L’exposition se déploie dans un coffre-fort, écrin de ce que mes bijoux portent de plus précieux : l’émotion.» Il s’agit, d’ailleurs, de la première exposition accueillie par les Grands Ballets Canadiens de Montréal dans leur nouvelle Maison.

 

Exposition gratuite du 2 au 16 novembre dans l’Édifice Wilder des Grands Ballets Canadiens.

 

www.edeenne.com

 

Bague articulée Peau d’Âne en hommage au film de Jacques Demy avec Catherine Deneuve Citrine de 17,66 carats, sertie dans une couronne pavée de diamants, rubis et émeraude, sur or gris.

 

Pendentif l’Élue en hommage à Excalibur et au Roi Arthur Épée en or gris, sertie de diamants, avec une citrine de 125 carats et une émeraude

 

Texte : Diane Stehle

Photos : Pierre Choinière

Alors que la Fashion Week battait son plein, LUXE magazine a profité d’un séjour dans la Grosse Pomme pour tester la nouvelle Lincoln MKZ et partager son expérience avec ses lecteurs. Verdict : aimée et approuvée!

 

Au magazine LUXE, nous voyons grand. C’est pourquoi nous tenons à mettre en valeur les projets de prestige qui ont lieu au Québec et au Canada, mais aussi au-delà de nos frontières. New York, par son dynamisme et son effervescence, est l’une de nos villes favorites. Elle a d’ailleurs sa propre rubrique dans notre magazine. Début septembre, profitant des festivités de la Fashion Week, notre éditrice Samia El s’est rendue chez nos voisins du Sud pour un séjour bien occupé. Réunions avec notre chef de la rubrique New York Barbara Stehlé, rencontres avec divers clients, visite éclair dans la magnifique région des Hamptons en compagnie de notre partenaire Lauren Berger, propriétaire de Lauren Berger Collection (voir notre portrait dans ce numéro) : Samia El a adopté durant quatre jours le rythme effréné des New Yorkais.

 

Mais si les heures se sont écoulées à vitesse grand V, l’expérience n’en a pas moins été très agréable, notamment grâce aux services hors pair de l’hôtel Dream Downtown, où la jeune entrepreneure a séjourné. Idéalement situé entre le Meatpacking et Chelsea, cet établissement fréquenté par la jeunesse branchée offre tout le confort et le luxe souhaités, en plein cœur de la ville.

 

De plus, notre éditrice a pu se rendre rapidement d’un rendez-vous à un autre au volant de la nouvelle Lincoln MKZ. Dotée d’une ligne racée et élégante, d’un toit panoramique escamotable et d’un intérieur luxueux avec sièges en cuir, la voiture a attiré bien des regards dans les rues de la ville. Samia El a par ailleurs pu vivre une expérience de conduite incroyable, combinant puissance, sécurité et confort.

 

Au terme d’un séjour fructueux, elle est revenue dans la province avec de nombreux projets en tête et de nouveaux partenariats dont nous vous ferons profiter dans les mois à venir.

 

Il y a quelques années, Josée Dufresne organisait pour ses deux jeunes enfants des fêtes d’anniversaire inoubliables. Devant la tonne de compliments reçus à chaque célébration, ce qui n’était qu’un plaisir de maman est devenu une véritable entreprise. Aujourd’hui, Josée et son associée, Nadine Landry, gèrent des événements d’envergure. De fêtes d’enfants au cinéma Guzzo jusqu’aux événements corporatifs, en passant par les mariages, leur entreprise, La Boum, a le vent en poupe.

 

 

« Chaque fois que j’organisais l’anniversaire d’un de mes enfants, les parents venaient me voir et me demandaient de planifier celui des leurs! J’ai alors eu l’idée de monter une entreprise spécialisée dans ce type d’événements clé en main », raconte Josée Dufresne. Avec Nadine Landry, une amie de longue date et femme d’affaires chevronnée, elle fonde La Boum. Mais peu de temps après, une rencontre avec Vincent Guzzo, propriétaire des cinémas Guzzo, vient changer ses plans. Celui-ci lui propose en effet d’organiser des fêtes thématiques d’enfants au sein de ses salles de divertissement. La jeune femme accepte. Le mandat, énorme, s’élève bientôt à plus d’une centaine de fêtes par semaine.

Une offre de services qui s’élargit

Toutefois, une fois la formule bien rodée, Josée et Nadine n’ont plus besoin d’être sur le terrain. L’envie d’organiser d’autres événements, notamment des événements corporatifs, les démange. « Nous voulions nous lancer, mais le marché étant déjà très achalandé, nous ne savions pas comment commencer». Encore une fois, les étoiles s’alignent et les deux amies se voient offrir leur premier mandat par l’entreprise de gestion de portefeuilles Allard & Allard Associés. «Nous devions organiser une soirée pour 400 personnes, avec des artistes de cirque, un traiteur, un DJ. La pression était forte », se souvient l’entrepreneure. Mais les deux jeunes femmes s’en tirent avec brio et ressortent de cette expérience confiantes et désormais persuadées d’être à leur place.

Après la diffusion de l’émission, mon site a littéralement explosé!

Le coup de pouce de Mitsou

Quelque temps plus tard, Mitsou, que Josée côtoie depuis un moment dans son cercle de connaissances, lui demande de décorer le restaurant dans lequel aura lieu l’anniversaire de son conjoint, Iohann Martin. Le travail de Josée séduit tous les convives, et l’animatrice décide d’en parler dans son émission de radio et même sur son blogue. « Après la diffusion de l’émission, et la mention sur le blogue de Mitsou, mon site a littéralement explosé! », se rappelle Josée, amusée.

Des événements corporatifs d’envergure

Aujourd’hui, La Boum jouit d’une excellente réputation auprès d’entreprises d’envergure comme de personnalités québécoises. Récemment, le designer Andy Thê-Anh a fait appel à ses services pour son mariage. YPO, la prestigieuse association de leaders, a également embauché l’entreprise durant un an afin qu’elle l’aide à préparer ses conférences. « Nous venons d’apprendre que notre contrat est renouvelé pour un an », se réjouit Josée. L’entreprise dessert aussi les petites et moyennes entreprises et s’ajuste à tous les budgets. Du choix du lieu à celui du traiteur, en passant par la mise en place de l’éclairage et la sélection du DJ, La Boum s’occupe de tout. « Vous n’avez absolument rien à faire sauf profiter de votre soirée! », conclut la jeune femme.

 

www.laboum.ca

 

Texte : Diane Stehle

Qu’ils soient situés dans les Laurentides, dans Lanaudière ou dans la région de Québec, nos chalets coups de cœur ont tous un point en commun : véritables refuges en plein cœur de la nature, ils combinent judicieusement confort et modernité pour vous offrir un séjour dont vous ressortirez ressourcé.

Ô Chalet : le luxe en pleine nature

Au cœur de Lanaudière, à seulement une heure de Montréal, un véritable havre de paix et de bien-être vous attend. Pour une escapade en amoureux, un séjour en famille ou entre amis, Ô Chalet propose des chalets luxueux pouvant accueillir jusqu’à 14 personnes.

 

Les neuf chalets d’Ô Chalet offrent un cadre de vie exceptionnel, où la nature rime avec luxe, calme et confort. Matériaux nobles, cuisines complètes, meubles de qualité, décoration moderne et sophistiquée, équipement dernier cri : tout a été pensé dans le moindre détail pour que chaque moment passé au sein de ces écrins de bien-être soit unique.

 

Et l’environnement extérieur n’est pas en reste. Longeant le paisible lac Clermoustier, les chalets jouissent d’un vaste terrain, d’un quai privé, d’un spa et d’une nature luxuriante, offrant intimité et tranquillité.

 

Un service à la clientèle hors pair

Amoureux de l’endroit, les propriétaires, Jean-Marc et Manon, offrent à chacun de leurs visiteurs un accueil chaleureux et personnalisé. Lors de la période des Fêtes, ne vous étonnez donc pas si votre chalet arbore un beau sapin et que son salon brille de mille feux sous des décorations de Noël! Et si jamais vous manquez d’idées d’activités, le couple se fera un plaisir de vous renseigner.

 

Toutefois, comme Jean-Marc et Manon vous le diront, surtout durant l’hiver, la plupart de leurs invités se sentent tellement bien au chalet qu’ils peinent à s’extirper de cette douce langueur qui les envahit, et sortent donc rarement du domaine. Et ils ajouteront sans doute avec fierté : « Ici, nos clients se sentent comme à la maison. »

 

www.ochalet.ca

 

Pourvoirie Genessee : le paradis des amoureux de la nature

C’est sans doute le secret le mieux gardé de la ville de Québec… Située à seulement trente minutes de la capitale nationale, la Pourvoirie Genessee s’étend sur un territoire d’environ dix kilomètres carrés sur lequel s’écoule la rivière Montmorency. Peuplé d’une faune et d’une flore magnifique et doté d’un immense parc de cervidés, cet éden abrite en outre trois luxueux chalets, offerts à la location.

 

Sans être escorté par Jérémi, charmant propriétaire du domaine, il est presque impossible de trouver l’endroit tant il faut parcourir de sinueux chemins à travers la forêt avant de voir enfin devant soi le portail convoité. Pourtant, le site n’est qu’à deux pas de Québec, et l’une de ses montagnes offre une vue spectaculaire sur la ville et son château. Amoureux de la nature, Jérémi et son frère avaient toujours rêvé de créer un lieu singulier où passionnés de pêche et de chasse et amateurs de plein air pourraient venir séjourner dans un environnement exceptionnel. Mais attention : à mille lieues du concept de pourvoirie aux logements rudimentaires, leur idée était de mettre sur pied un hébergement haut de gamme, offrant tout le confort nécessaire pour se détendre après une grosse journée d’activités.

 

Quand, il y a quelques années, ils ont découvert le site, ils savaient que leur rêve pourrait enfin se concrétiser.

 

Dix kilomètres carrés de nature, trois chalets

Aujourd’hui, le domaine propose trois chalets luxueux,dotés de deux à quatre chambres, pouvant hébergerjusqu’à dix personnes. Décoré avec goût, chacun d’entre eux dispose d’un grand foyer, de planchers chauffants, d’une cuisine tout équipée, d’une machine à laver et d’une sécheuse de marque, de la télévision satellite et de l’Internet haute vitesse. De plus, isolé les uns des autres, chacun jouit d’un vaste terrain garantissant intimité et tranquillité.

 

Tout autour, trois lacs privés avec embarcations invitent à la détente… et à la pêche. L’un d’eux est d’ailleurs approvisionné en poissons pour le plus grand plaisir des pêcheurs. Pour les plus expérimentés, la rivière Montmorency est propice à la pêche à la mouche.

 

En toutes saisons, les visiteurs peuvent parcourir les 40 kilomètres de chemins forestiers et de sentiers qui sont à leur disposition, que ce soit à pied, en VTT, en raquettes, en ski de fond ou en motoneige. S’ils ont de la chance, ils apercevront peut-être des orignaux, des cerfs de Virginie ou des ours noirs. En outre, le domaine possède son propre parc de cervidés. L’hiver, les enfants sont invités à nourrir les quarante chevreuils, boucs et autres bêtes à cornes.

 

Jérémi et son frère avaient choisi d’appeler leur domaine de rêve «Genessee», car ce terme iroquois désigne une belle vallée. Ils avaient raison. L’endroit porte son nom à merveille.

 

www.genessee.ca

 

Chalets Lac à la Truite : un écrin de bien-être au cœur des Laurentides

Situé à Sainte-Agathe-des-Monts, entre Saint-Sauveur et Mont-Tremblant, le site des Chalets Lac à la Truite propose un complexe d’une vingtaine de chalets dans un cadre enchanteur. Que ce soit pour une escapade en amoureux ou entre amis, ou pour un séjour d’affaires, le lieu est idéal.

 

Tenu par M. Gentemann, propriétaire et fondateur du domaine, et sa fille Diana, le site des Chalets Lac à la Truite séduit par ses confortables chalets, mais aussi par l’ambiance conviviale qui y règne. Bordés par un vaste lac qui se transforme l’été en plage privée avec embarcations à louer, les chalets peuvent accueillir de 1 à 24 personnes. Tous possèdent un spa ou une baignoire à remous et sont équipés à la fine pointe de la technologie.

 

Déconnecter et relaxer

Pour rendre le séjour encore plus agréable, le lieu dispose de son propre centre de bien-être. Ouvert toute l’année,« Le Soleil » propose une salle de conditionnement physique, une piscine intérieure chauffée, un hammam, un spa extérieur nordique et une grande terrasse extérieure. Par temps froid, les résidents du Chalet Spa 1 ont un accès direct au Centre par un couloir intérieur : de quoi faire une expérience de cocooning absolue!

 

Le lieu de villégiature fait aussi affaire avec des massothérapeutes certifiés qui offrent des soins sur place. Et si vous ne voulez pas cuisiner, optez pour le forfait «Souper au coin du feu » : il comprend un délicieux repas provenant d’un traiteur de la région, Deus entremetteurs, ainsi qu’une bouteille de vin. Le tout vous sera fourni dans le confort de votre chalet, devant un feu de foyer que vous n’aurez plus qu’à allumer!

Bienvenue aux groupes

Le lieu peut également recevoir des groupes jusqu’à 24 personnes, que ce soit pour un événement d’entreprise, un mariage ou un anniversaire. Piscine intérieure privée, vaste salon, équipements dernier cri, traiteur, animateur et musiciens : le Chalet Château met à disposition des visiteurs le personnel et le matériel nécessaire à la réussite d’un événement d’envergure.

 

Enfin, sachez que, quelle que soit la saison, les activités sont nombreuses à proximité. Ski alpin, ski de fond, randonnées, pêche, golf : il y en a pour tous les goûts. Réservez dès maintenant. Diana et son père vous attendent!

 

www.chaletslacalatruite.com

 

 

Texte : Diane Stehle

Sophie Tessier, propriétaire de La Rousse Espace Beauté, un salon de coiffure haut de gamme situé sur le boulevard Saint-Laurent et bien connu des stars québécoises, n’a pas seulement la fibre créative : elle est aussi une excellente femme d’affaires.

 

La preuve? Son « beauty truck » La Rousse Mobile, qui sillonne le Québec depuis un an, connaît un succès monstre. S’inspirant de l’engouement pour les food trucks, ce salon de beauté itinérant conçu à l’intérieur d’une roulotte au fini chromé offre des services express aux femmes : coiffure, manucure et maquillage, à la carte ou en forfait. Il est possible de réserver La Rousse Mobile pour des événements privés tels que des anniversaires, des mariages, des enterrements de vie de jeune fille, des bals de finissants ou encore des événements d’entreprise (festivals, lancements, etc.).

 

Avec son décor blanc immaculé et son service cinq étoiles, La Rousse Mobile offre une ambiance élégante, à mille lieues de l’image édulcorée de la roulotte populaire : « Je souhaitais réinventer le concept du salon de beauté afin d’offrir une expérience de bien-être novatrice dans un lieu moderne et unique », explique celle qui vient d’être sélectionnée parmi les cinq finalistes canadiennes du concours Contessa 2017, une compétition qui récompense les coiffeurs les plus talentueux.

 

Ambassadrice des produits Revlon Professional, Sophie Tessier utilise exclusivement les marques de ce groupe, soit Revlon Professional, Style Masters, American Crew, CND et Vinylux, pour une simple mise en plis ou pour un événement privé.

 

Les réservations étant faites un an à l’avance pour profiter des services de La Rousse Mobile, rendez-vous dès maintenant sur le site Web.

 

www.laroussecoiffure.ca

 

 

Texte : Diane Stehle

Les New-Yorkais passent bon nombre de leurs soirées à sortir sur les toits, s’ils réussissent à passer le garde de sécurité qui sélectionne les jolis minois dans la file impressionnante de candidats. Si ce processus n’est ni politiquement correct ni agréable à vivre, la vue et l’atmosphère en valent le coup. Alors, préparez-vous, souriez, relaxez, soignez votre apparence et allez-y!

HÔTEL STANDARD HIGH LINE

Ma terrasse préférée en nocturne se trouve sur le toit de l’hôtel Standard. Elle est si haut perchée et si vaste qu’on y profite toujours d’une brise. La vue sur le fleuve Hudson et sur l’horizon est spectaculaire, surtout au coucher du soleil. Le bar est superbe, le mobilier confortable et la foule branchée prête à fêter. La terrasse est adjacente à deux autres lieux tentants du Standard : la très VIP Boom Boom Room et Le Bain, sa boîte de nuit mitoyenne, qui comprend un bain à remous de la taille d’une piscine. Vous avez là trois raisons de vous y rendre.

 

848 Washington St., New York

SALON DE NING AU PENINSULA

Élégant et insondable, le Salon de Ning est tellement couru que vous devrez connaître quelqu’un qui connaît quelqu’un pour obtenir une table à l’heure d’affluence. Vaut-il le déplacement? Sans aucun doute : la vue y est majestueuse, les plats et les cocktails, délicieux. Le décor, sorti tout droit du Shanghai des années 1930, vous donne l’impression d’être dans un film. Portez des vêtements griffés Alexander McQueen et la soirée vous appartient.

 

700 5th Ave., New York

BAR 54 DU HYATT HOTEL

Vous voulez une liste de cocktails respectable pour agrémenter votre visite? Le Bar 54 est votre lieu de destination. Derrière cette liste de cocktails : la mixologue de talent Julie Reiner. Vous ne regretterez pas votre verre et ne serez pas déçus par la vue des gratte-ciel qui vous entourent.

 

135 W 45th St., New York

 

LE TOIT DU METROPOLITAN MUSEUM OF ART

La vue unique sur Central Park et ses superbes installations extérieures en font l’un des toits les plus artistiques de New York. Le toit du MET donne lieu à un nombre incroyable de rencontres. En fin d’après-midi ou en début de soirée une fin de semaine, l’endroit est parfait pour le premier arrêt d’une soirée romantique. Les œuvres d’art y sont bien choisies, la vue spectaculaire et le menu du bar correct : préparez-vous à souper ailleurs si vous souhaitez impressionner la personne qui vous accompagne.

 

1000 5th Ave., New York

LE SKYLARK

Ouvert au public seulement en semaine (la fin de semaine étant réservée aux fêtes privées), ce lieu sophistiqué en plein cœur du quartier de la mode au centre-ville doit être réservé tôt. Cette destination chic s’est constituée une clientèle fidèle en toute saison, grâce à ses espaces intérieurs et extérieurs qui lui permettent d’être ouverte toute l’année. La vue y est incroyable et le menu, savoureux.

 

200 W 39th St., New York

 

LE BAR HUGO

Calme et chic, le bar Hugo sur le toit de l’hôtel Hugo fait partie de l’un des très rares toits accessibles dans Tribeca. Il n’est généralement pas bondé et on s’y plaît. Les cocktails y sont délicieux, les bouchées italiennes savoureuses et la vue sur le fleuve splendide. On peut apercevoir la statue de la Liberté en soirée. Vous avez donc plus d’une raison de vous y rendre!

 

525 Greenwich St., New York

LE DELANCEY

Le Delancey fait partie de la présente liste parce qu’en plus d’être branché, il est agréable. Les plats y sont bons, les cocktails parfaits et l’addition plus abordable qu’à bien d’autres endroits. Pilier de la vie nocturne du quartier Lower East Side, il ne se compare à aucun autre lieu de la ville. Le plus souvent, en soirée, vous y trouverez une foule assez jeune de hipsters et d’artistes. Décoré de divans rouges pour se prélasser au milieu des palmiers, le Delancey est une véritable oasis urbaine. Une foule d’initiés s’y rassemble pour les soirées DJ. Ambiance assurée.

 

168 Delancey Street, New York

 

LE GANSVOORT

Situé dans le Meatpacking district près de l’hôtel Standard, l’hôtel Gansvoort possède une piscine et un bar sur son toit au 11e étage. La piscine est réservée aux clients, mais le grand public y est le bienvenu pour prendre un verre ou une bouchée. La terrasse étroite qui longe l’extérieur du bâtiment permet au bar Plunge et au bar-salon Zerzura d’être à l’abri du soleil. La vue sur les gratte-ciel et le quartier du Whitney Museum est charmante.

 

18 9th Ave., New York

 

 

Texte: Barbara Stehle