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Après la fête du Travail, l’univers de l’art reprend à New York et se prépare à une série d’expositions artistiques. Tous se rencontreront le premier jeudi de septembre pour visiter une galerie après l’autre. Récemment, ces visites sont devenues plus compliquées, puisque de plus en plus de grandes expositions ont lieu et s’étendent jusqu’aux quartiers Lower East Side et Chelsea. Les galeries du quartier Uptown ont déplacé leurs expositions au mercredi, car il est impossible de gérer un itinéraire à l’échelle de la ville en une seule soirée. Les musées présentent généralement leurs nouvelles expositions quelques semaines plus tard. L’automne sera occupé; voici quelques événements à ne pas manquer.

 

Unstung par Sam Jablon, à la galerie Freight + Volume

Sam Jablon est certainement un jeune artiste intéressant. Il est poète et peintre, et s’intéresse au contenu et à la façon de retenir son public, de ralentir le temps, en les encourageant à lire. L’exposition Unstung est le titre d’un poème que Jablon a écrit, puis peint fragment par fragment sur une série de toiles individuelles. Elles peuvent être lues en ordre ou dans le désordre et donner lieu à une lecture et à un parcours personnels. Les compositions sont à la fois vivantes, parfois vibrantes, et émouvantes, et donnent également à réfléchir. L’artiste a mis en place un format dans lequel il peut jouer librement avec le vocabulaire de l’abstraction, tout en continuant d’explorer le contenu narratif, ce que seuls quelques peintres d’art non figuratif ont réussi. Il va sans dire, Sam Jablon est un penseur agile.

 

www.freightandvolume.com

 

Samuel Jablon, Unstung, 2018. Acrylique et huile sur toile, 127 x 96,5 cm. © Gracieuseté de l’artiste et de la galerie Freight + Volume

A Street of Many Corners par Marela Zacarias, à la galerie Sapar Contemporary

Marela Zacarias crée des sculptures murales colorées avec des motifs abstraits peints dont les ondulations sont caractérisées par un mouvement naturel. Les sculptures sont généralement larges, toujours audacieuses et élégantes. Zacarias sait comment créer des formes dynamiques et équilibrées qui fonctionnent à toute échelle. Leurs belles surfaces évoquent la céramique, mais leur structure est faite à partir de moustiquaire, de bois et de polymère. Zacarias crée souvent des œuvres spécialement conçues pour un endroit particulier et puise son inspiration dans les récits culturels et politiques qui la touchent. Ses motifs évoquent les symboles du Mexique et du Moyen-Orient, l’art du textile et de la poterie ainsi que l’histoire de l’art abstrait. Le titre de cette exposition est un hommage à Alice Mason, Américaine pionnière du milieu de l’art abstrait.

 

www.saparcontemporary.com

 

Marela Zacarias, Blue and Pink, 2018. Bois, moustiquaire, plâtre, pâte à joints, polymère et peinture à l’acrylique, 55,9 x 48,3 x 20,3 cm. © Gracieuseté de l’artiste et de la galerie Sapar Contemporary

Franz Marc and August Macke 1909-1914, à la Neue Galerie

La Neue Galerie remplit sa mission visant à présenter aux New-Yorkais l’art allemand et autrichien, qu’ils ont rarement l’occasion de voir autrement. L’exposition sera lancée au début d’octobre et présentera le dialogue artistique entre deux excellents artistes allemands du 20e siècle du mouvement Blaue Reiter. Macke et Marc se sont rencontrés à Munich et sont rapidement devenus amis. Marc ayant perdu foi en l’humanité, concentra son œuvre sur les animaux. Macke eut un sens délicat de la couleur et fut fasciné par la lumière. Il voyagea avec Paul Klee en Afrique du Nord, à la poursuite de l’inspiration de Delacroix. Les défis des deux artistes remettent en question les stéréotypes véhiculant que les artistes allemands ne sont pas de fins coloristes et qu’ils sont trop rudes. Un véritable régal pour les yeux.

 

www.neuegalerie.org

 

Mary Corse: A Survey in Light au Whitney Museum of American Art

Artiste de la côte Ouest, Mary Corse a dédié sa vie à la quête de nouvelles façons d’étudier la lumière. L’esprit audacieux, aventureux et inventif de Corse brille dans chaque pièce de cette vue d’ensemble. Elle repousse les frontières entre l’expérimentation scientifique et la démarche artistique. Son coffret illuminé de manière minimaliste contenant des tubes remplis d’argon est splendide et avant-gardiste. La lueur de ces tubes est constante et douce, par opposition à ses peintures avec microsphères de verre, qui changent selon l’angle de l’observateur. Après dix ans de travail avec le blanc, Corse est passée à sa série Black Earth (Terre noire). Les œuvres faites à partir d’argile du mont Malibu, cuite et vernie à son studio, sont tout aussi impressionnantes. Leur pouvoir et leur réalité physique offrent une conclusion parfaite pour une œuvre qui a commencé dans la lumière céleste.

 

www.whitney.org

 

Mary Corse, Untitled (Space + Electric Light), 1968. Lumière à l’argon, verre plastique et générateur à haute fréquence, 115 x 115 x 12 cm. Musée d’art contemporain de San Diego. © Philipp Scholz Rittermann

 

Texte : Barbara Stehle

Cover: August Macke, Donkey Rider, 1914. Aquarelle, 28,5 x 24 cm. © Gracieuseté de la Neue Galerie

Sommelier en chef au Coureur des Bois Bistro Culinaire, une des plus grandes caves à vins du Québec, Hugo Duchesne a remporté en 2016 le prestigieux prix Grand Award du Wine Spectator et figure parmi les meilleurs sommeliers de la province. En plus de son rôle de sommelier, il enseigne la sommellerie à l’Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec. Il nous livre ici ses derniers coups de cœur.

CHAMPAGNE

Chartogne-Taillet Cuvée Sainte-Anne

ORIGINE : Champagne – France

CÉPAGE : Chardonnay, pinot noir

CODE SAQ : 12748673

PRIX : 53,25 $

Installé dans le village de Merfy au nord-ouest de Reims, Alexandre Chartogne-Taillet vinifie ses vins parcelle par parcelle avec émotion, de façon progressiste, alternant fût de chêne, cuve en inox, amphore en argile et œuf en ciment. Les chardonnays, pinots noirs, meuniers et arbanes reposent sur des sols de sable et de silice. La cuvée Saint-Anne est composée de chardonnay et de pinot noir à parts égales. Il s’agit d’un vin authentique avec une attaque franche et une texture fine et unique. Les saveurs oscillent entre brioche, sel et poire. À ce jour, personne n’a pu résister. Un petit producteur pour un grand champagne.

VINS BLANCS

Josmeyer Riesling 2013

ORIGINE : Alsace – France

CÉPAGE : Riesling

CODE SAQ : 12713024

PRIX : 65 $

Les raisins rétrocèdent de façon naturelle leurs arômes au moût. C’est une course à relais incessante où les fruits à noyau croient avoir devancé le gingembre, tantôt miel, tantôt chèvrefeuille, jamais pétrole. Debout sur la grande générosité des marnes et exultant la fraîcheur des calcaires, le vin est en parfaite harmonie avec le terroir, ce qui engendre un raisin noble à la personnalité unique. Ce riesling accompagnera à merveille un flétan de Gaspésie ou des coquillages, tout près du sel, du safran et de l’acidité.

 

Domaine de l’Aigle à Deux Têtes Côtes du Jura Naturé 2016

ORIGINE : Jura – France

CÉPAGE : Chardonnay

CODE SAQ : 13200183

PRIX : 30,50 $

C’est la plus grande porte d’entrée aux vins du Jura. Les vins d’Henri Le Roy sont de style ouillé et expriment la complexité du terroir jurassique et des marnes. Le chardonnay livre un vin gras, texturé et ample. Avec ses notes de noisette, de beurre frais, de pomme mûre, de levure et de pain grillé, il se mariera parfaitement avec un plateau de fromages du Québec.

 

VINS ROUGES

Arpepe Sassella Stella Retica Riserva 2011

ORIGINE : Lombardie – Italie

CÉPAGE : Nebbiolo

CODE SAQ : 12986330

PRIX : 52 $

Tout droit venu de Lombardie, le nebbiolo (que l’on surnomme dans la région le chiavennasca) de Arturo Pelazzi Perego, est cultivé dans des conditions incroyables, grâce à des murets vertigineux qui retiennent le peu de terre disponible. Le cru de Retica est un vin de haute volée, doté d’une fraîcheur et d’une finesse insigne. Vieilli quatre ans en vieux foudre, le nebbiolo dévoile sa facette passionnante de fruits mûrs francs et de sous-bois, de fraise juteuse et de truffe délicate. Ce vin somptueux et étoffé caractérisé par une structure tannique assouplie est parfait avec un carpaccio de canard à la truffe.

 

Nicolas-Jay Pinot Noir Willamette Valley 2014

ORIGINE : Oregon – États-Unis

CÉPAGE : Nebbiolo

CODE SAQ : 13264718

PRIX : 95,50 $

Quand la Bourgogne rencontre l’Oregon. Grand producteur de Bourgogne, Jean-Nicolas Méo s’est associé à l’entrepreneur musical Jay Boberg; et la collaboration est parfaitement réussie. Cette cuvée provient des crus Bishop Creek, en appellation Yamhill-Carlton, Nysa et Momtazi, des sites vallonnés enchanteurs où le fruit est exceptionnel, plein de caractère et de concentration. Les arômes sont terreux et regorgent de cerise noire. Ajoutons la boîte à cigare, les champignons et les framboises confites pour une expérience sublime. L’acidité appelle l’amertume qui appelle un autre verre. C’est un vin qui mérite de regarder les classiques bourguignons droit dans les yeux.

 

 

Mullineux Schist Syrah 2013

ORIGINE : Western Cape – Afrique du Sud

CÉPAGE : Syrah

CODE SAQ : 12857714

PRIX : 144 $

Après avoir travaillé en France et en Californie, Chris et Andrea Mullineux s’installent à Swartland où ils élaborent une syrah qui provient d’une seule parcelle plantée sur des sols de schiste. Étoffée et pleine, elle donne la meilleure expression du terroir, en densité et en structure. Le nez offre des notes de poivre noir, de fruits noirs et d’épices. La bouche est corsée, au caractère charnu et salé. Les tannins sont soyeux et abondants et l’acidité équilibrée sur une finale fraîche, aussi longue que souple. Ce vin est idéal avec du gibier, du jus de viande et des mets fumés.

L’art de Djamel Tatah tient en lui des éléments de l’abstraction américaine et des primitifs italiens, rien ne semble avoir échappé à ce grand peintre de notre temps. L’artiste nous a reçus avec la chaleur et la générosité qui le caractérisent dans son immense atelier du sud de la France.

Vos tableaux représentent des figures qui évoluent sur des fonds monochromes que vous travaillez comme si vous étiez un peintre abstrait. Vous appartenez à votre temps, mais vous utilisez une technique de peinture ancienne, qui remonte à l’Antiquité (la peinture à la cire). Comment définissez-vous votre pratique picturale ?

Pour faire mes tableaux, je m’appuie sur des choix artistiques qui appartiennent à des sphères temporelles très variées, comme la peinture à la cire, qui m’est essentielle parce qu’elle attrape la lumière et permet à la couleur de vibrer. Quant à ma façon de placer mes figures dans des espaces dits « abstraits », cela vient de l’intérêt que j’ai eu très jeune pour des artistes comme Ellsworth Kelly ou Robert Ryman. J’ai compris que la couleur était un champ d’expérimentation illimité du sentiment. À chaque tableau que je peins, c’est toujours une expérience fragile et absolument imprévisible. Tout cela a un sens très précis. Je veux que mes figures n’appartiennent à aucun territoire, à aucune nation. Je cherche seulement à dire leur présence. Voilà pourquoi elles évoluent dans des espaces abstraits. La question pour moi c’est : Que faisons-nous et que pouvons-nous espérer de la vie ?

La musique est omniprésente dans votre quotidien, je me suis toujours demandée si cela a à voir avec l’abstraction dans votre travail.

La musique est une expression qui va directement au cœur, c’est un feeling. Et c’est ça que je cherche quand je peins. Et puis, il y a tout ce qu’on imagine quand on écoute un disque, on est porté par une atmosphère qui nous emmène ailleurs, on change d’état; j’aime cette ivresse. Je peins toujours plusieurs tableaux en même temps, à cause des temps de séchage, étape par étape, couleur après couleur, ça marche comme une rythmique : répétition, variation, reprise, déclinaison.

Dans la grande exposition présentée à la Collection Lambert à Avignon, j’ai été profondément touchée par l’humanité que vous représentez en prise avec les événements de notre monde. Quel est votre rapport au présent, à son histoire ?

Je ne suis pas là pour commenter la situation du monde actuel ou passé. Mon langage, c’est la peinture, c’est l’art. Je fais en sorte que mes tableaux disent quelque chose de subtil sur le fait d’être un homme dans le monde tel qu’il est aujourd’hui. J’ai eu la chance d’être invité à poser un regard sur la collection du grand galeriste Yvon Lambert avec la complicité d’Eric Mézil, directeur de cette Collection, pour mettre en dialogue mes derniers tableaux avec un ensemble d’œuvres d’artistes abstraits américains comme Brice Marden, Robert Mangold, Robert Barry, Barnett Newman, etc. Cela produit un parcours inédit, une expérience inoubliable.

djameltatah.com

 

 

Texte : Barbara Stehle
Photos : © studio-djamel Tatah
Illustrations : Sans titre, 2016. Huile et cire sur toile, 2 éléments, 220 x 200 cm chacun © Djamel Tatah ADAGP Paris – Sans titre, 2016. Huile et cire sur toile 300 x 200 cm © Djamel Tatah, ADAGP Paris

Construite et habitée autrefois par George Stephen, 1er baron Mount Stephen, puis transformée en prestigieux club privé, la Maison George-Stephen renaît aujourd’hui sous les traits d’un hôtel luxueux et ultra contemporain. Propriété du Groupe immobilier et hôtelier Tidan, le 1440 rue Drummond accueille une clientèle sophistiquée au cœur du Mille carré doré, con rmant ainsi la position stratégique de ce quartier dans le marché du luxe à Montréal.

 

Véritable petit palais victorien, l’histoire de la Maison George- Stephen est intimement liée à celle de celui qui l’a fait ériger en 1880, le baron George Stephen. Cet homme d’affaires accompli, cofondateur et premier président du Canadien Paci que, a été l’une des personnalités les plus in uentes du 19e siècle, en contribuant notamment à la réalisation de la ligne de chemin de fer transcontinentale. Il a compté parmi les hommes les plus riches du continent nord- américain. La Maison George-Stephen a ainsi vu dé ler, durant tout le siècle dernier, la haute société montréalaise.

Un édifice classé monument historique

En 1927, le lieu s’est transformé en un prestigieux club privé d’hommes d’affaires. Durant de nombreuses années, il a rassemblé dans son intérieur exceptionnel l’élite montréalaise et internationale et a accueilli de nombreux dignitaires.

 

Classé bâtiment patrimonial dans les années 70, le Mount Stephen Club a été racheté en 2006 par le Groupe hôtelier et immobilier Tidan. Soucieux de conserver son intégrité historique, celui-ci a entrepris de complexes travaux d’envergure a n de lui trouver une toute nouvelle vocation. En mai dernier, l’hôtel Le Mount Stephen a vu le jour.

 

Un heureux mariage entre l’ancien et le nouveau

Le projet a été con é aux rmes d’architecture et de design Lemay et Provencher_Roy. Le résultat est époustou ant. De l’extérieur, la maison patrimoniale est restée intacte. La nouvelle partie — un immeuble de 11 étages — se distingue à peine de la rue, tant l’intégration au paysage urbain a été réussie.

 

La Maison George-Stephen, qui fait of ce d’entrée pour l’hôtel, héberge l’aire de restauration et des espaces événementiels (1 800 pi2) dans un décor plein de cachet. Dans l’aile moderne se trouvent le hall et le comptoir d’accueil, les chambres et suites, la salle de conditionnement physique, un spa ainsi qu’une grande salle de bal de 5 000 pi2.

 

Ici et là, des meubles d’époque provenant de la Maison George-Stephen habillent un couloir ou une suite, gardiennes du temps et de l’âme des lieux. Comme le déclare Antoine Naoum, directeur général de l’hôtel, «Le Mount Stephen conjugue à merveille l’héritage ancien et l’art de vivre contemporain.» Séjourner dans cet hôtel, c’est donc non seulement béné cier d’un service à la clientèle hors pair (concierge Clef d’Or), mais aussi voyager dans le temps en pro tant de tout le confort de la modernité.

Des chambres et suites luxueuses

Les 90 chambres et suites sont en effet dotées de multifenêtres du sol au plafond et, dans certains cas, d’une terrasse privée. Toutes sont équipées à la ne pointe de la technologie : contrôle numérique de l’éclairage et des rideaux, télévision à écran plat, sanitaire avec siège chauffant, matelas faits sur mesure, salle d’eau avec tête de douche pluie et chromathérapie, etc.

 

Quelle que soit la chambre occupée, l’hôtel a été conçu de façon à ce que chaque visiteur jouisse d’une vue sur la ville, tout en pro tant d’un environnement paisible et intime. Les quatre lofts, se dressant sur deux étages, disposent quant à eux d’une spectaculaire toiture de verre laissant voir le ciel et les étoiles la nuit venue. Au dernier étage, la Suite Royale de 5 000 pi2 offre la plus grande super cie pour ce type d’espace à Montréal. Pratique, ce plain-pied avec ascenseur présente un milieu de vie lumineux et ultra confortable, avec son immense plafond de verre, son décor enchanteur et ses multiples terrasses.

 

 Caractéristiques des lofts

  • 69 CHAMBRES, 16 SUITES,
    4 SKY LOFT (LOFTS SOUS LES ÉTOILES) ET 1 SUITE ROYALE DE 5 000 PI2
  • CHAMBRES ENTIÈREMENT DOMOTISÉES
  • DOUCHE AVEC CHROMOTHÉRAPIE
  • SANITAIRES INTELLIGENTS

Caractéristiques des lofts sous les étoiles

  • FOYER
  • PLAFOND DE VERRE PANORAMIQUE EN ANGLE
  • MARCHES ÉCLAIRÉES
  • BAIN AUTOPORTANT SIGNATURE
  • TERRASSES PRIVÉES

Commodités et services

  • CONCIERGERIE
  • BLANCHISSAGE ET NETTOYAGE À SEC
  • SERVICE DE VALET
  • CENTRE DE MISE EN FORME
  • SPA LUXUEUX
  • SALLE DE BAL ELIZABETH (5 000 PI2)
  • SALLES DE RÉUNIONDANS LA MAISON PATRIMONIALE (1 800 PI2)

LE BAR GEORGE

Offrant une ambiance d’époque avec une carte contemporaine, le restaurant Bar George contribue à célébrer le patrimoine historique du Mount Stephen. Superbes boiseries en acajou de Cuba, vitraux, escalier spectaculaire, bar circulaire en marbre: en faisant abstraction des tenues des visiteurs, on se croirait à la grande époque du Mille carré doré. Autrefois réservé aux membres du club privé, le Bar George est maintenant ouvert au grand public. C’est l’occasion de déguster l’excellente cuisine de saison aux saveurs britanniques des chefs Anthony Walsh, de Oliver & Bonacini, et Kevin Ramasawmy (auparavant de la Maison Boulud et Daniel) à l’heure du lunch ou du souper, ou bien pour le brunch la n de semaine.

 

Redé nissant les standards de l’excellence, l’hôtel Le Mount Stephen fait ainsi partie des trois hôtels canadiens qui gurent au palmarès sélect des Leading Hotels of the World. «Montréal est en train de devenir une destination de luxe. Nous sommes très ers de contribuer à cette mutation. L’hôtel Le Mount Stephen est le fleuron du groupe Tidan », conclut M. Naoum.

 

www.lemountstephen.com

 

 

Texte : Diane Stehle

Pour la première fois en Amérique du Nord, une exposition exceptionnelle réunit 17 artistes australiens en bijoux contemporains. Portant le nom métaphorique de Aurora Australis, cet événement se tiendra du 1er juin au 15 juillet 2018 à la Galerie Noel Guyomarc’h, la seule galerie dédiée à cette discipline au Canada. Une occasion unique de découvrir le talent des créateurs australiens. 

 

Les paysages exceptionnels, la diversité incomparable de la nature et la rencontre avec l’art indigène ont toujours été des sources d’inspiration et de réflexion en art. Aujourd’hui, d’autres questionnements rejoignent les préoccupations contemporaines : l’identité, l’environnement urbain et naturel, la politique, la vision du réel… Le bijou de création ne fait pas exception. L’isolement géographique justifie sans doute une absence de visibilité sur la scène nord-américaine. Pourtant, cette discipline est très dynamique que ce soit à Melbourne, Sydney ou Canberra. Encouragés par divers organismes gouvernementaux et par les musées qui font régulièrement l’acquisition d’œuvres, ces artistes méritent une plus grande visibilité. Après la Finlande, la France, l’Espagne, les Pays-Bas et Taïwan, cette exposition s’inscrit également dans les intentions de la galerie de faire découvrir les bijoux d’ailleurs. 

 

« Aurora Australis rassemble 17 artistes australiens contemporains dont le travail, tant dans la forme que dans les matériaux, est totalement unique. Les pièces sélectionnées se veulent une illustration de l’ampleur et de la qualité de la production australienne actuelle, soutenue et animée par une communauté engagée d’artistes, de professeurs et d’institutions », commente Katie Scott, propriétaire de Gallery Funaki de Melbourne et commissaire invitée.

 

L’impressionnante sélection de Katie Scott invite au voyage, à la réflexion, et à poser un regard sur de nouvelles possibilités expressives et esthétiques du bijou. De plus, les approches, tant dans les idées que dans les matériaux, sont si variées que l’exposition met en lumière la pluralité de ce pays lointain qu’est l’Australie, qui se révèle non pas comme un lieu unique, mais comme plusieurs lieux réunis?; et non pas comme une seule nationalité, mais comme le cumul d’histoires et d’expériences multiples. 

 

Katie Scott déclare d’ailleurs à ce propos : « Lorsque Noel Guyomarc’h m’a proposé de monter cette exposition, je n’ai pas voulu chercher de thème propre à rassembler tous ces artistes. Ce sont au contraire les différences dans les préoccupations et les approches artistiques de chacun que je trouvais intéressantes. » Une exposition d’envergure muséale à ne manquer sous aucun prétexte.

 

Du 1er juin au 15 juillet 2018 à la Galerie Noel Guyomarc’h

 

www.galerienoelguyomarch.com

 

Le Groupe Brivia et le Groupe Gansu Tianqing Real Estate, partenaires du projet YUL Condominiums, s’associent à nouveau dans le développement du Stanbrooke, une tour d’habitation locative haut de gamme de 19 étages. Celle-ci sera construite au 2061, rue Stanley, tout près de la rue Sherbrooke, et accueillera ses premiers locataires en juillet 2018.

 

Après le succès du prestigieux projet YUL Condominiums, les deux associés ont cette fois opté pour la location puisque le marché et le quartier s’y prêtaient particulièrement bien. «?Le lieu est à proximité des universités, des rues Stanley et Sherbrooke et des nombreuses tours de bureaux. Avec ce projet, nous visons particulièrement les étudiants et les jeunes professionnels, mais aussi les personnes qui souhaitent avoir un pied-à-terre à Montréal la fin de semaine en plein cœur du centre-ville», explique M. Kheng Ly, fondateur, président et PDG du Groupe Brivia.

 

C’est à la firme Marco Manini Architecte, en collaboration avec la firme internationale de consultants en design Humphreys & Partners Architects, que l’architecture du projet a été confiée, avec pour mission de créer un milieu de vie urbain chaleureux, moderne et à la fine pointe de la technologie, où il fait bon vivre, travailler et socialiser.

 

Stanbrooke comptera 178 appartements disposant d’une, deux ou trois chambres et d’une superficie de 364 à 1130 pieds carrés. Une quarantaine d’entre eux seront semimeublés (cinq électroménagers, base de lit, rangement et bureau). Le loyer comprendra les principaux services tels les télécommunications, le réseau sans fil et l’électricité. «?Nous souhaitons offrir à notre clientèle un environnement connecté intelligent. L’idée d’inclure ces services dans le loyer était toute naturelle», ajoute M. Ly. Les futurs occupants pourront louer leur appartement pour une durée minimale de six mois.

 

« Nous souhaitons offrir à notre clientèle un environnement connecté intelligent. »

 

Kheng Ly, fondateur, président et PDG du Groupe Brivia

 

Chaque unité sera en outre dotée d’innovations technologiques comme la domotique et la luminothérapie. Le locataire pourra ainsi choisir l’ambiance qu’il souhaite mettre chez lui en choisissant la couleur de l’éclairage.

Des aires communes de choix

Afin de créer un sentiment d’unité et de bien-être, de nombreuses aires communes seront mises en place. « Nous voulons que Stanbrooke offre des lieux propices aux échanges et à la vie en communauté, à l’image de notre clientèle, urbaine et branchée », précise M. Ly.

Le rez-de-chaussée comprendra ainsi des espaces de détente et des stations de coworking, tandis que le deuxième étage abritera une vaste salle d’entraînement. Le Stanbrooke disposera également sur son toit d’une salle de divertissement de style lounge avec îlot et cuisine, et d’une terrasse spectaculaire. Enfin, un stationnement intérieur pour les voitures, un espace pour les vélos ainsi que des casiers de rangement viendront compléter le tout.

 

En bref

  • 178 unités de 364 à 1 130 pieds carrés
  • Studios, 1, 2 et 3 chambres (de 1 220 $ à 2 995 $/mois)
  • Une quarantaine d’unités semi-meublées
  • Espace bureau
  • Cuisine contemporaine
  • Salle de bain esthétique et fonctionnelle avec douche vitrée
  • Fenestration pleine hauteur
  • Domotique (Amazon Echo, Smart Lock)
  • Électricité, réseau sans fil et eau chaude inclus

Services

  • Deux ascenseurs
  • Système électronique de contrôle des accès très sécuritaire
  • Stationnement intérieur pour voitures et vélos
  • Salle d’entraînement à la fine pointe avec espace yoga
  • Zones de travail et de rencontre
  • Terrasse sur le toit avec espace de détente intérieur

Bureau des ventes

2061, rue Stanley
Montréal (Québec) H3A 0B7
T. 514 835-6868
info@stanbrooke.ca

 

www.stanbrooke.ca

 

Texte : Diane Stehle

Innova Condos, C3 Cavendish, YUL – le plus important projet résidentiel au centre-ville de Montréal – et maintenant Stanbrooke : le Groupe Brivia compte à son actif un impressionnant portfolio de projets immobiliers d’envergure dans la métropole. Cette société d’investissement et de développement contribue à revitaliser le quartier et à faire rayonner la ville à l’international. Entretien avec Kheng Ly, président et PDG du Groupe Brivia.

Le Groupe Brivia est un joueur clé dans la croissance de l’immobilier à Montréal. Quels types de projets vous intéressent et en quoi se démarquent-ils?

Notre portfolio comprend en majorité des projets résidentiels, mais nous développons également des projets commerciaux. Tous répondent d’abord aux besoins du marché. Ils sont situés sur des sites stratégiques et se démarquent par leur qualité à tous les niveaux : architecture, construction, matériaux, technologie, consommation d’énergie.

Le projet immobilier YUL semble bien avancé. Parlez-nous de ses maisons de ville.

Offrant 2 400 pieds carrés baignés de lumière, les 17 maisons de ville YUL représentent le summum de la qualité de vie. Chaque unité comprend trois chambres à coucher, trois salles de bains et deux salles d’eau. Au rezde-chaussée, la cuisine italienne signée Scavolini reflète le raffinement de l’espace de vie. Sur le toit, une terrasse accueille une cuisine extérieure complète et une aire de détente avec vue sur la ville ou le jardin privé. De plus, les résidents de nos maisons de ville ont accès aux aires communes des deux tours.

Quelles sont les caractéristiques du projet Stanbrooke?

Située sur la rue Stanley, cette tour d’habitation locative haut de gamme compte 19 étages. Chic, élégante et moderne, elle abritera 178 appartements, notamment des studios, des 3 1/2, des 4 1/2 et des penthouses au 18e étage, ainsi qu’une salle d’entraînement, une terrasse sur le toit, une aire de détente et un stationnement intérieur. Le concept architectural unique est l’œuvre de la firme montréalaise Marco Manini Architecte. Il a été développé au siège social américain de la firme internationale de consultants en design Humphreys & Partners Architects. Les premiers occupants sont attendus dès juillet 2018 même si la fin des travaux est prévue pour septembre 2018.

À qui s’adresse-t-il?

Stanbrooke s’adresse à une vaste clientèle, notamment les jeunes professionnels qui travaillent au centre-ville ou les étudiants qui fréquentent les universités avoisinantes, mais aussi à toute personne qui souhaite avoir un pied-à-terre au centre-ville.

YUL Condominiums, l’un des plus importants projets résidentiels au centre-ville de Montréal, vient de remporter le prix Énergir pour une meilleure utilisation du gaz naturel lors du 35e gala des Prix Domus. La responsabilité envers l’environnement est-elle importante pour vous?

Absolument. En plus de son style architectural contemporain, son design novateur, ses composantes technologiques de pointe et la qualité de ses matériaux, YUL se distingue également par ses choix en matière d’efficacité énergétique qui sont, certes, moins visibles à l’œil nu, mais tout aussi importants pour nous et nos résidents. Nous innovons et concevons des projets qui tiennent compte des principes du développement durable. L’utilisation de gaz naturel s’inscrit dans une vision d’avenir qui vise à offrir à nos résidents un milieu de vie bénéfique pour l’environnement et axé sur le confort.

Comment voyez-vous Montréal dans 10 ans, d’un point de vue économique et social?

Montréal est une ville d’avenir, que ce soit sur le plan technologique, économique ou social. On n’a qu’à penser à l’effervescence que l’on observe aujourd’hui concernant l’intelligence artificielle. La métropole est en train de consolider sa position comme l’un des chefs de file mondiaux dans ce secteur. Pensons aussi aux efforts déployés par la Ville et plusieurs groupes pour favoriser la cohésion sociale et le vivre-ensemble. Montréal favorise fortement l’inclusion sociale de tous ses citoyens, qu’ils aient grandi ici ou à l’étranger. J’en suis la preuve vivante! Si le passé est garant de l’avenir… je suis très optimiste pour l’avenir.

On a dit que Montréal se classe parmi les meilleures villes du millénaire. Qu’en pensez-vous?

Absolument. Ce qui fait Montréal, ce sont ses habitants, les Montréalais et les Montréalaises : ils sont l’âme de la ville. La joie de vivre qui caractérise Montréal est très attrayante pour les milléniaux. Malgré ses 375 ans, Montréal demeure une ville jeune qui se démarque sur la scène internationale par la créativité, l’innovation, la technologie, l’ouverture et la diversité culturelle. Ce sont tous des facteurs qui interpellent les jeunes d’aujourd’hui.

 

Texte : Diane Stehle

Avec ses plages, ses quartiers Art déco et sa vie nocturne très animée, Miami est, à bien des égards, l’une des villes les plus attirantes des États-Unis. Cité aux mille visages, elle possède tous les attraits pour plaire aux plus exigeants: d’excellentes adresses pour manger, boire un verre ou magasiner, mais aussi de magnifiques endroits pour se promener. Visite guidée.

OÙ SÉJOURNER?

LE BILTMORE

Datant de 1926, cet établissement est inscrit au Registre national des lieux historiques. De nombreuses personnalités y ont séjourné. Il dispose d’une immense piscine, d’un parcours de golf, de terrains de tennis et d’un restaurant français, le Palme d’Or, étoilé au guide Michelin.

 

LE EAST

Situé au cœur de Brickell City Centre et décoré avec élégance, cet hôtel de 352 chambres possède quatre piscines, plusieurs salles de réunion, des spas, des boutiques de luxe et un cinéma. Sa terrasse sur le toit offre une vue incroyable sur la ville. Quant à son restaurant uruguayen, il est, en peu de temps, devenu le chouchou des gourmets.

LE DELANO

Mariant patrimoine Art déco et design contemporain, l’hôtel Delano, imaginé par Philippe Starck, est l’un des plus en vogue de Miami Beach. Il offre deux restaurants, une piscine luxueuse, un centre d’entraînement et un spa sur le toit, ainsi que des salles de réunion. Situé à trois minutes de la plage, l’hôtel possède des balcons avec une vue imprenable sur l’océan.

L’HÔTEL FAENA MIAMI BEACH

Longeant la plage, cet hôtel ouvert il y a à peine un an est déjà devenu une référence dans l’hôtellerie du luxe. Doté de 169 chambres et suites ainsi que de 13 résidences penthouses conçues par Alan Faena, en partenariat avec le réalisateur Baz Luhrmann et la productrice Catherine Martin, il est muni d’un spa de plus de 2 000 m2. Il dispose aussi de deux excellents restaurants – l’un argentin, l’autre asiatique –, ainsi que d’un théâtre offrant des spectacles inspirés de Broadway.

 

LE FONTAINEBLEAU

Conçu dans les années 50, le Fontainebleau est l’un des hôtels les plus réputés de Miami Beach. L’établissement au design contemporain est doté de six piscines, neuf restaurants, neuf bars, des cafés et des discothèques – dont le LIV, l’un des lieux les plus festifs et branchés de la ville –, sans oublier son spa, le Lapis, que Martha Stewart a qualifié « d’un des plus beaux de toute l’Amérique ».

FOUR SEASONS MIAMI

Situé en face de la baie de Biscayne, cet hôtel Art déco se trouve dans le quartier des affaires. En plus de ses deux piscines extérieures, il offre gratuitement des cours de remise en forme, de vélo ou de yoga. Son service irréprochable et sa restauration impeccable reflètent le standard de qualité des hôtels Four Seasons.

LE SETAI

Cet hôtel, combinant raffinement et bien-être, est le lieu idéal pour tous ceux en quête de calme et de sérénité. Réputé pour ses cours de yoga et de tai-chi, le Setai possède trois piscines à débordement avec chacune une température différente. Une oasis de paix au cœur de Miami Beach.

LE THE ST. REGIS BAL HARBOUR RESORT

Le The St. Regis Bal Harbour Resort est un havre d’élégance situé en bord de mer, faisant directement face aux célèbres boutiques de Bal Harbour Shops et à quelques minutes seulement de South Beach. Présentant une décoration moderne, ses chambres sont incroyablement confortables et bien équipées. Certaines suites comprennent une kitchenette ainsi qu’un grand balcon offrant une vue sur l’océan. Le The St. Regis Bal Harbour Resort possède plusieurs salles de soins, un hammam et des saunas finlandais. Le complexe est doté de plus de 1000 m2 de salles de réunion pouvant accueillir différents événements.

 

OÙ MANGER?

Chefs étoilés, cuisine créative ou locale… c’est bien la diversité et la qualité qui qualifient l’offre culinaire de Miami. Hormis les plats typiquement américains, on y trouve des restaurants latinoaméricains – notamment dans le quartier de Little Havana –, mais aussi une cuisine espagnole, française, italienne, asiatique, libanaise, etc. Un melting pot qui ne peut que conquérir les palais les plus audacieux.

 

Le 1826 Restaurant & Lounge propose une cuisine créative délicieuse. Le jardin et la terrasse de la Casa Tua offrent un cadre exquis pour apprécier les créations italiennes du chef. Le célèbre restaurant Palme d’Or du Biltmore offre une cuisine française dans une atmosphère intimiste. Le Juvia, restaurant emblématique de Miami, sert des plats français, asiatiques et même péruviens avec une vue panoramique sur la ville. Enfin, la cuisine du restaurant Azul va de pair avec sa vue imprenable sur le centre de Miami.

SE PROMENER

DANS LE DESIGN DISTRICT

Ce n’est que récemment que le Design District est parvenu à se faire une place dans la capitale de la Floride. Aujourd’hui, ce quartier abrite plus de 70 galeries d’art et autant de boutiques luxueuses. Chaque année s’y installent la foire Design Miami ainsi que l’Art Basel. Cette zone piétonnière comprend des boutiques de renom comme Bulgari ou LVMH.

 

DANS LE FAENA DISTRICT

Développé par l’Argentin Alan Faena, le quartier éponyme est un tout nouveau concept testé et approuvé à Buenos Aires. En arrivant à Miami, l’architecte souhaitait restaurer d’anciens complexes hôteliers et galeries d’art. Pari réussi. Ce quartier, aux résidences luxueuses, invite les touristes à découvrir une enclave culturelle regroupant musées, théâtres et restaurants à travers une architecture contemporaine et extravagante. Il comprend notamment le Faena Art Center et l’hôtel Faena Miami Beach.

 

À WYNWOOD

Autrefois très industriel, ce quartier se trouve désormais au centre de l’attention touristique de Miami. Dès les années 2000, il attire de nombreux investisseurs; le milliardaire et géant de l’immobilier, Tony Goldman, fait même venir 30 artistes de rue pour en décorer les murs en 2009. Le Wynwood se transforme alors en un quartier branché dans lequel ouvrent bars, restaurants et galeries d’art.

 

MAGASINER

Les légendaires boutiques de Bal Harbour ont fait de ce centre commercial une référence nationale en matière de magasinage de luxe. Qui plus est, Bal Harbour est magnifique avec ses palmiers, passages ombragés, fleurs tropicales et fontaines. Si vous préférez magasiner en plein air, rendez-vous au Shops at Merrick Park, au cœur de Coral Gables ou dans les magasins de la zone piétonne de Lincoln Road.

VISITER LA VILLE EN MONTGOLFIÈRE…

À bord d’une montgolfière de Miami Balloon Rides, vous surplomberez le parc national des Everglades, celui de Biscayne Bay ainsi que l’océan Atlantique. L’aventure se terminera par un pique-nique, accompagné d’une coupe de champagne.

… OU EN BATEAU

Autre moyen de découvrir Miami, à bord d’un petit bateau de croisière en journée ou en soirée. Holiday of Magic et Island Queen Cruises offrent diverses excursions.

FAIRE DE LA PLONGÉE

Pour les amateurs de mer et de plongée, Miami est la destination idéale. Les récifs de corail Florida Straits, la troisième barrière de récifs du monde, et les épaves du Biscayne National Park Maritime Heritage Trail, de magnifiques paquebots ayant fait naufrage, sont à ne pas manquer.

À FAIRE EN FAMILLE

• Matheson Hammock Park

Idéal pour se baigner avec les toutpetits. Les plus grands essaieront la planche à bras (paddle board) ou la planche à voile.

• Fairchild Tropical Botanic Garden

Un magnifique jardin botanique comprenant une forêt vierge et une ferme aux papillons.

• Venetian Pool

Un lieu de baignade construit sur une source d’eau naturelle; tout simplement féérique avec ses grottes et ses cascades.

 

Pour en savoir plus : www.miamiandbeaches.fr

Nous remercions l’office du tourisme de Miami, en particulier Christelle Albistur, pour sa précieuse collaboration.

 

Texte : Diane Stehle