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Paris, Barcelone, Bangkok, Hong Kong, Bali, Abu Dhabi, Los Angeles, New York, Londres ne sont que quelques exemples des grandes villes du monde où le voyageur peut savourer l’art de vivre que proposent les hôtels W répartis sur tous les continents. Luxe c’est arrêté à l’hôtel W Montréal, situé dans le bâtiment qui abritait la Banque du Canada, à proximité du Vieux-Montréal dans le Square Victoria. Bienvenue dans un environnement sensoriel au design emblématique et au luxe contemporain!

Un séjour à l’hôtel W Montréal se veut un voyage ultime dans l’univers du design, une escale dans une atmosphère enveloppante et envoûtante. Dès l’entrée, le charme opère instantanément dans le Living room W. Le regard se dirige vers la réception feutrée, se lève ensuite vers le plafond illuminé de sphères blanches et aériennes qui se multiplient dans le mur tapissé de miroirs fumés, et se perd ensuite dans la multitude de moelleux canapés invitants aux lignes carrées, pimentées de fauteuils rouges en forme de fleur. En tout lieu, l’ambiance est propice à la détente et rejette illico le stress.

Pour les amoureux du design et des ambiances branchées, le W Montréal est l’endroit parfait pour s’inspirer des tendances de l’heure que ce soit à la réception, à la chambre, dans les salons animés ou les bars.

W MONTRÉAL, CRÉATEUR D’AMBIANCES
Quel plaisir avant de sortir souper que d’aller savourer un cocktail au Plateau Lounge, dans une ambiance lumineuse tamisée au son d’une musique planante. Surplombant le hall d’entrée, l’endroit offre un confort intime à la chandelle et de luxueux canapés qui invitent le client à prolonger l’heure de l’apéro sans regret! Le bar illuminé s’habille de feuilles d’automne pressées à l’acrylique, une touche déco qui mêle un design ultra moderne aux influences locales. Sous un plafond illuminé aux motifs ondulants, le Wunderbar est l’endroit tout indiqué pour aller danser au son d’une musique urbaine, sans oublier le W Bartini qui propose des martinis maison et champagnes enivrants! Les plaisirs se multiplient autant au Spa Away ainsi qu’au restaurant Otto qui propose une fine cuisine italienne alliée aux saveurs de l’Asie et de terroir aux parfums méditerranéens.

NUITS MAGIQUES
La magie est dans les détails : lits luxueux avec draps de coton à 350 fils, des duvets et oreillers à plumes d’oie et une déco originale et contemporaine! Mobilier imposant, tables de chevet illuminées, grandes douches vitrées, plancher noir ébène et touches de chrome ici et là entraînent une expression commune chez les voyageurs, un «WOW» omniprésent sur toutes les lèvres! Plusieurs catégories de chambres sont proposées dont, entre autres, la Suite Extrême WOW qui offre une luminosité maximale grâce aux immenses baies vitrées de plus de six mètres de haut.

La Suite Fantastic, la Mega, la Suite Wow ou la Ewow offrent le même luxueux confort où l’on aurait envie d’éterniser son séjour. Dans tous les hôtels W, la philosophie est la même : pour le client, tout est possible! Une fête d’anniversaire à 10 000 mètres d’altitude? Une détente dans un bain de pétales de roses? Un séjour rempli d’activités inusitées? Tous vos souhaits seront réalisés avec le Service Whatever/Whenever. Tout ce que vous voulez, quand vous le voulez; telle est la devise de l’hôtel en plus d’offrir à tous les clients l’expérience Acura, une excursion gratuite avec chauffeur privé. Un service haut de gamme à tous les niveaux fait d’un séjour au W Montréal une expérience exceptionnelle qui plonge le visiteur dans un art de vivre distinctif et unique. En somme, W comme dans WOW, partout partout! «W pour un service whatever/whenever. »

901, square Victoria, Montréal
1 866 716-8101
www.whotels.com
 

TEXTE : Nathalie Clark    PHOTOS : Pierre Houle

« L’artisan culinaire », tel est le nom que le chef Sébastien Houle a donné à son restaurant de Mont-Tremblant et à son livre récemment paru. De petits boulots en voyages autour du monde jusqu’à chef à bord de yachts luxueux, sEb a appris son métier à l’école de la vie et en accéléré. Aujourd’hui que son rêve s’est concrétisé, c’est grâce à ce bagage exceptionnel et atypique qu’il offre tous les soirs à ses clients une expérience gastronomique hors du commun. Rencontre avec un homme généreux et profondément habité par sa passion.

UN LIVRE DE RECETTES AU CONCEPT UNIQUE
Quand on lui pose une question sur son métier, le jeune chef est intarissable. Et pour cause, depuis tout petit, la passion pour la cuisine l’habite. Dans son livre, préfacé par Catherine Zeta-Jones et Michael Douglas, clients fidèles, il raconte avec émotion comment, à six ans, sa vocation est née. Le premier chapitre, entièrement consacré à ses souvenirs d’enfance, nous livre de savoureuses recettes héritées de sa famille, le tout entrecoupé de tendres anecdotes. De fait, plus qu’un livre de recettes, c’est un ouvrage autobiographique que Sébastien Houle partage avec nous. D’un chapitre à l’autre, on comprend comment sa mémoire gustative s’est bâtie, et comment la maîtrise de l’équilibre des goûts, qui lui est si chère, s’est développée chez lui très tôt (lire l’anecdote au sujet du forêt-noire de sa mère!). Les textes, d’une sensibilité à fleurs de peau et accompagnés de sublimes photos, nous racontent ainsi l’histoire d’un cheminement, et l’on se surprend à dévorer un livre de recettes comme on le ferait d’un roman.

« Aujourd’hui, beaucoup d’émissions de cuisine sont basées sur la performance. Ce livre s’intéresse, non pas à la performance, mais au « comment », comment on devient un chef. Il s’adresse à ceux qui aimeraient ou qui auraient aimé ce  métier. Mon but est de donner envie aux jeunes de concrétiser leur rêve et à tous ceux qui aiment cuisiner, de libérer leur créativité grâce à mes recettes », déclare sEb.

Entre 90 recettes toutes plus savoureuses les unes que les autres, et surtout faciles à faire, à des moments de vie inoubliables, le livre, déjà sacré Meilleur livre de recettes de chef au Canada français par le prestigieux Gourmand World  Cookbook Awards est en lice pour le Grand prix du meilleur livre de cuisine au monde qui aura lieu en mars 2012 à Paris.

UN CHEF NOMADE DÉSORMAIS ANCRÉ DANS SA RÉGION
Avant d’ouvrir son restaurant en 2005, « son navire échoué sur la neige », comme il aime le nommer, sEb a traversé quatre continents et voyagé un peu partout sur la planète à bord de luxueux yachts privés. « Sur un yacht, en ordre  hiérarchique, il y a l’ingénieur, le cuisinier, puis le capitaine. Comme la mère d’une famille nombreuse qui doit cuisiner pour satisfaire ses enfants, le chef cuisinier doit préparer un plat capable de réconforter toutes les personnes qui sont à bord. » En cinq ans, sEb s’est ainsi offert un apprentissage unique de la cuisine internationale et du métier de chef. De Beyoncé à Bill Gates en passant par les personnalités du monde du cinéma, il a cuisiné pour une clientèle exigeante à la recherche de découvertes culinaires.

Mais surtout, durant ces années, sEb s’est découvert un amour pour les marchés publics, qui ne l’a pas quitté depuis. De l’Amérique du Sud à l’Europe en passant par les Caraïbes, il en a parcouru de nombreux. Aujourd’hui, il se fait un devoir de participer à leur développement au Québec. « Le marché est un des seuls endroits aujourd’hui où tout le monde, riches comme pauvres, se retrouve. C’est une communion incroyable. » Ainsi, les samedis d’été, on le retrouve au Marché de Tremblant en train de présenter une recette inspirée des produits faciles à dénicher sur place. Il y côtoie aussi les producteurs locaux, partenaires de travail indispensables. Au restaurant, l’une de ses priorités est en effet de proposer des plats préparés à partir de produits locaux qui contribueront à bâtir une culture culinaire québécoise.

LA CUISINE MOLÉCULAIRE, FAÇON SEB
Au cours de ses pérégrinations, sEb a eu la chance de s’attabler dans les plus grands restaurants du monde. Il s’est intéressé à la cuisine moléculaire, inspiré par le célèbre chef catalan, Ferran Adria du El Bulli. Avec la créativité qui le caractérise, il se l’est appropriée pour mieux la réinventer. Contrairement au livre qui propose des recettes à la portée de tous, son restaurant ajoute au menu des plats sophistiqués, difficiles à réaliser à la maison, « pour que chaque client ait
droit à un festin gustatif mémorable qui lui donnera envie de revenir. »

Afin d’élaborer un nouveau plat, toute l’équipe se réunit. Les discussions vont bon train jusqu’à ce que quelqu’un – souvent sEb! – devienne enthousiaste au sujet d’un plat. À partir de cette émotion, la brigade étudie les méthodes qui permettront de le réaliser. Une véritable démarche créative que le chef aime enseigner à ses stagiaires. C’est ainsi que, pour les Fêtes, le restaurant à proposé une saucisse d’escargot servie avec une choucroute de chou rouge sur un cheddar crémeux. Impressionnant. Chaque plat profite ensuite de l’expertise du talentueux sommelier Guy Bourbonnière, qui s’attarde, par ses suggestions, à déployer les arômes à l’infini. « Avec Guy, nous avons un accord parfait entre le plat et le vin. Avec lui ma cuisine peut atteindre cet équilibre tant recherché ».

L’été, le restaurant offre une grande terrasse où les clients se retrouvent pour déguster les fameux tapas, l’une des spécialités de sEb. Ivre de ces parfums exotiques, bercé par la langueur du soleil, l’on voyage alors au bout du monde sur les traces du chef nomade. Si sEb a choisi de s’ancrer à Mont-Tremblant après dix ans de pérégrinations sur mer et sur terre, c’est entre autres parce que la région jouit d’une clientèle internationale qui lui ressemble un peu. De fait, lorsqu’on l’entend, un sourire aux lèvres, nous dire qu’il aurait pu s’installer n’importe où dans le monde, mais qu’à Mont-Tremblant, il vit au rythme des saisons, en harmonie avec la région, les gens et son rêve, on se dit qu’il ne pouvait trouver meilleur port d’attache.

 

Dos de bar sauvage, chanterelles et moules à la dijonnaise

Pour 4 personnes  /  Niveau de difficulté : Facile

COUP DE BAR

 
Tous les voyages, si on est attentif à ce qu’on mange, sont des occasions d’expériences gustatives fabuleuses. Je ne crois pas avoir connu de meilleure école de cuisine que celle-là. Lorsqu’on découvre, dans un petit resto perdu ou à la table d’un chef réputé, un assemblage de saveurs qui nous paraissent être la perfection, notre mémoire gustative se met en marche. La mienne, en tout cas, fait des bonds. Voici un exemple d’accords qui me font littéralement vibrer de plaisir.

 

INGRÉDIENTS
  • 4 portions de filet de bar sauvage avec la
  • peau, d’environ 150 g (5 1/4 oz) chacune
  • Sel Maldon et poivre du moulin
  • Beurre et huile d’olive
  • 500 g (1,1 lb) de chanterelles fraîches
  • Ciboulette, ciselée
  • 1 botte de cresson frais

 

POUR LA SAUCE AUX MOULES À LA
DIJONNAISE
  • 1 filet d’huile d’olive
  • 5 ml (1 c. à thé) de beurre
  • 1 gousse d’ail, ciselée
  • 1 échalote, ciselée
  • Quelques branches de thym
  • 30 ml (2 c. à soupe) de moutarde de Dijon
  • 60 ml (1/4 tasse) de crème à 35%
  • 200 ml (un peu plus de 3/4 tasse) de vin blanc
  • 1 kg (2,2 lb) de moules
  • Ciboulette, ciselée
PRÉPARATION POUR LA SAUCE AUX MOULES
1. Chauffer l’huile et le beurre dans une casserole et faire suer l’ail, l’échalote et le thym.
2. Ajouter la moutarde de Dijon, la crème et le vin blanc.  Porter à ébullition.
Ajouter les moules et cuire à couvert quelques minutes. Elles seront prêtes lorsque les coquilles se seront ouvertes sous l’effet de la vapeur.
Retirer de la casserole et mettre à refroidir sur une plaque.
Réserver 24 moules dans leur demi-coquille pour la garniture et décoquiller le reste.
3. Récupérer le jus de cuisson et tout ce qui s’y trouve, et passer au mixeur à cocktail  ou au mélangeur environ 2 minutes. Vérifier la consistance de la sauce, qui devrait être lisse et homogène, et rectifier l’assaisonnement au besoin.

 

POUR LES FILETS DE BAR SAUVAGE
1. Le bar doit être cuit juste au moment de servir.
Ce poisson à la chair tendre et fragile doit être manipulé avec délicatesse.
Assaisonner le poisson côté peau et côté chair.
2. Dans une grande poêle, faire fondre 2 cuillérées à thé de beurre avec un
peu d’huile d’olive et déposer le bar côté peau vers le fond.
Cuire à feu moyen-vif de 2 à 4 minutes de chaque côté, selon l’épaisseur des filets.
Le beurre moussera et prendra une teinte noisette en caramélisant avec les jus.
Arroser le poisson pendant toute sa cuisson pour lui donner un goût très fin.

 

POUR LES CHANTERELLES
1. Dans une grande poêle, faire sauter les champignons avec
du beurre et un peu d’huile d’olive.
Saler et poivrer. Bien rissoler et finir avec la ciboulette ciselée.

 

MONTAGE
1. Dans une assiette creuse, mettre une bonne cuillerée
de sauce et disposer des chanterelles sur un côté.
Placer ensuite un filet de bar, chair vers le bas, de manière à montrer sa peau bien
caramélisée. Ajouter les moules réservées et quelques branches de cresson frais;
assaisonner d’un filet d’huile d’olive et d’une pincée de sel.

Le livre de recettes de Sébastien Houle est
disponible au restaurant et en librairie
 
Service de traiteur pour événement corporatif, privé et pour apporter
Atelier et conférence sur la cuisine et les vins   –   Cocktail moléculaire
444, rue St-Georges, Mont-Tremblant, Qc J8E 3G4 819 429-6991
www.resto-seb.com info@resto-seb.com
 

 

TEXTE: Diane Stehlé      PHOTOS: Nino Hilal

Plaisirs des sens rapidement retrouvés devant l’effet de pureté et de grandeur qui s’impose à l’approche de la région des Laurentides! Plaisirs décuplés lors de la découverte des multiples ressources bienfaisantes de ce coin de pays qui a su miser, avec équilibre, sur la beauté de sa nature.

Au-delà d’un décor montagneux, les Laurentides occupent une place importante dans la vie de plusieurs citadins de la ville de Montréal et de ses environs. Certains y habitent à l’année alors que d’autres profitent de leur résidence secondaire durant les week-ends ou pendant les périodes de longues vacances.

Située au nord de Montréal, la région des Laurentides tient son nom de la chaîne de montagnes qui la caractérise. D’ailleurs, cette formation rocheuse sert de base à la majorité des activités sportives quatre saisons de ce territoire : des élévations naturelles vallonneuses aux formes arrondies et des sommets de près de 800 mètres de hauteur, comme celui de la montagne du Diable, ont créé un emplacement idéal pour les milliers de lacs et de rivières qui se trouvent sur ce territoire regroupant 8 municipalités régionales de comté (MRC).

LES TROIS PARTIES D’UN MAGNIFIQUE TOUT
Du secteur des Basses-Laurentides à celui des Hautes-Laurentides en passant par le Cœur des Laurentides, il semble bien que tous les plaisirs soient possibles pour les amateurs de faune et de flore, d’activités sportives, de gastronomie ou d’arts. Un ensemble impressionnant de 18 parcs et réserves se déploient sur ces 3 vastes parties réunies. Plus nombreux encore sont les terrains de golf à coefficients de difficulté variés : 23 au total. De quoi satisfaire le plus mordu des adeptes!

Au sud, dans le secteur des Basses-Laurentides, paradis de l’agrotourisme, se trouve la rivière Rouge qui garantit des sensations fortes aux aventuriers du rafting. Plus au nord, les Hautes-Laurentides et leurs multiples zecs (zones d’exploitation contrôlées) offrent la nature en fond d’écran à tous les regards et aux fervents de chasse et pêche, de traîneau à chiens, de motoneige ou de bain de soleil sur les larges plages de sable blanc du réservoir du Baskatong. La région propose aux actifs près de 100 km de pistes cyclables asphaltées et, aux visiteurs qui préfèrent se laisser conduire, son incontournable parc linéaire Le P’tit train du Nord. Une excellente façon de profiter du décor et de connaître les villages dispersés au fil du parcours.

C’est dans le secteur du Cœur des Laurentides, à seulement 40 km de Montréal, que se trouvent le très renommé Mont-Tremblant, le prestigieux Club Intrawest au charme européen ainsi que toute une gamme d’établissements de restauration alliant produits du terroir et mets internationaux. Les gourmands découvriront avec joie et délice les fromages de la région, les cidres et les alcools de pommes, de miel et de raisins, les saucisses d’autruche, d’oie ou de canard et… toutes les succulentes déclinaisons des produits de l’érable.

LE MEILLEUR DES DEUX MONDES
L’hébergement pour séjours courts ou longs y est aussi très facile grâce aux formules gîtes, aux chalets, aux auberges et aux grands hôtels disponibles, et ce, que l’on soit intéressé par une brève visite de relaxation dans un des nombreux spas (spas massages, spas urbains, nordiques ou finlandais) ou par des vacances en famille, estivales ou hivernales. Consacrée principale destination de villégiature quatre saisons du Québec, la région des Laurentides accueille, chaque année, des milliers de voyageurs étrangers venus découvrir ou redécouvrir les plaisirs qu’elle leur offre, y compris les populaires festivals thématiques, les spectacles musicaux ou les pièces de théâtre. Certains résidents des envoûtants villes et villages comme Saint-Sauveur, Sainte-Adèle, Saint-Jérôme, Sainte-Agathe-des-Monts, Mont-Tremblant ou Morin-Heighs, pour n’en nommer que quelques-uns, n’abandonneraient ce secteur pour rien au monde! Quitte à louer leur demeure distinctive temporairement s’ils doivent se déplacer pour 1 an ou 2 à l’étranger parce que les affaires les appellent ailleurs dans le monde. Mais la vendre? Pas de gaieté de cœur!

Dans ce lieu dans lequel les vastes terrains boisés enveloppant les résidences sont une règle bien établie, toute âme qui vive tire une grande satisfaction de cet environnement où tranquillité et silence créent l’ambiance du quotidien. Un bien précieux pour ceux qui s’y ressourcent temporairement en s’extirpant de la ville et un bien inestimable pour tous les retraités qui ont quitté la ville pour de bon et qui souhaitent s’imprégner de la paix avoisinante.

Région magnifique riche en histoire et en patrimoine qui réunit une grande variété d’activités modernes et toute la rusticité voulue pour jouir d’un milieu de vie entouré de forêts, de lacs et de montagnes. Décor enchanteur au printemps, en été, en automne ou en hiver!

Texte : Sandra Gravel