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Carlos Ferreira avait un rêve en arrivant au Québec : faire découvrir aux Québécois la cuisine et la culture portugaises. Pari tenu. Aujourd’hui propriétaire de trois restaurants de renom – le Ferreira Café, le Café Vasco da Gama et la Taverne F –, il propose également à ses clients des vins provenant de ses propres vignobles au Portugal ainsi que des huiles d’olive de première qualité. Rencontre avec un homme d’affaires visionnaire et passionné par son métier.

Lorsqu’en 1996 Carlos Ferreira ouvre le Ferreira Café, sur la rue Peel à Montréal, il souhaite faire connaître la culture et la gastronomie portugaises aux Québécois, mais aussi se distinguer de ce qui existe déjà. « Je voulais que le Ferreira devienne l’ambassadeur du Portugal, que mon pays ne soit plus vu seulement comme un pays du tiersmonde, mais comme un lieu ayant beaucoup à offrir », relate le restaurateur. Très vite, grâce au talent de l’équipe, à des produits de qualité hors pair et à un service exceptionnel, le succès est au rendez-vous et le Ferreira Café s’impose comme l’une des meilleures tables en ville.

« Nous nous remettons toujours en  question non seulement au sur le plan gastronomique, mais aussi dans notre façon d’apprêter les aliments et de recevoir les clients. Et, depuis les premiers jours, nous offrons le plus important choix de vins portugais à Montréal, avec 240 vins différents et 80 portos. »

Tous les mardis, des poissons frais arrivent directement du Portugal par avion. Le chef cuisinier de talent João Dias ramène aussi régulièrement de sa terre natale des nouveautés qui servent à retravailler les classiques de manière originale. Ainsi, le principe sur lequel repose le Ferreira depuis le début est maintenu : offrir une cuisine portugaise fraîche et authentique, avec une touche de modernité.

Faciliter la vie du consommateur

« Dans nos restaurants, le client est roi. Nous nous concentrons sur ce qui est important : la qualité du service et des produits. » Cette philosophie a d’ailleurs conduit M. Ferreira à ouvrir, après le Ferreira Café, un restaurant d’alimentation rapide au concept novateur : le Café Vasco da Gama. « Au centre-ville, certaines personnes n’ont ni le temps ni l’argent pour manger au Ferreira. Mais ce n’est pas parce qu’on est pressé qu’il faut s’empêcher de bien manger! » Offrant un comptoir de plats simples, mais de haute qualité, le Café Vasco da Gama propose également un service de traiteur pour les entreprises. En outre, depuis février dernier, les voyageurs qui transitent par l’Aéroport international
Montréal-Trudeau peuvent déguster les omelettes, wraps et autres succulents sandwichs du restaurant éponyme. « Vous pouvez même emporter avec vous dans l’avion nos boîtes à lunch! », ajoute fièrement M. Ferreira.

Toujours mû par le souci de faciliter la vie au consommateur, le Groupe Ferreira a ouvert la Taverne F, dans le Quartier des spectacles. « Au départ, je voulais monter un restaurant sophistiqué, mais je me suis aperçu que la clientèle qui va au théâtre n’a souvent qu’une heure pour manger. J’ai donc privilégié une cuisine rapide. » Dans une ambiance décontractée et résolument moderne, on y déguste ainsi des petiscos,
ces petits plats à partager typiquement portugais. Depuis peu, cerise sur le gâteau, la Taverne F et le Café Vasco da Gama possèdent une terrasse, ouverte d’avril à octobre. Quant au Ferreira Café, dès le 27 juin, il profitera d’une terrasse de 20 places.

Des vins et de l’huile d’olive de première qualité

Depuis peu, les clients peuvent aussi se procurer, dans tous les établissements du Groupe Ferreira ou en importation privée, des vins rouges, blancs et rosés, mais aussi des mousseux, issus des 14 hectares de vignobles de M. Ferreira lui-même. Provenant de la vallée du Douro au Portugal, les vins F seront bientôt en vente à la SAQ. « Grâce à ma connaissance des Québécois, j’ai conçu des vins qui sont à leur goût, frais et avec du caractère. » Aussi, dès cet été, des huiles d’olive de première qualité, issues du même domaine privé, seront offertes au public.

Ainsi, en quelques années, le Groupe Ferreira a su redonner à la cuisine portugaise ses lettres de noblesse. Et c’est en famille que cette réussite se partage puisque Jorge, Julio, Tino, Olivia et Marie, les frères et soeurs de Carlos, sont tous impliqués d’une manière ou d’une autre dans l’exploitation des restaurants. Quant à Sandra, sa fille, elle prend progressivement la relève dans la gestion du Groupe. « Parce qu’un jour, il faudra bien que je prenne ma retraite! » En tout cas, d’ici là, à voir les mille et un projets que M. Ferreira a toujours en tête, bien des surprises nous attendent encore!

Pour toute information :

  • Ferreira Café
    1446, rue Peel, Montréal
    Tél. : 514 848-0988
    info@ferreiracafe.com
    ferreiracafe.com
  • Café Vasco Da Gama
    1472, rue Peel, Montréal
    Tél. : 514 286-2688
    info@vascodagama.ca
    vascodagama.ca
  • À l’Aéroport international
    Montréal-Trudeau
    Tél. : 514 631-2688
  • Taverne F
    1485, rue Jeanne-Mance
    Quartier des spectacles,
    Montréal
    Tél. : 514 289-4558
    info@tavernef.com
    tavernef.com

Texte : Diane Stehle

L’utilitaire britannique me rappelle la poésie de Baudelaire : « Là, tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté. Faut-il cependant s’en étonner dans un véhicule de prix? » De tous les utilitaires sport, le Range Rover est sans contredit celui qui rayonne le plus sur l’échiquier du prestige. L’aristocrate véhicule, reconnu tant pour son aisance sur beau pavé que pour ses capacités légendaires en terrains accidentés, a subi une transformation majeure en 2013. Exclusif, il recrute un nombre limité d’élites. Au moment d’écrire cet article, Land Rover en avait vendu quelque 400 depuis le début de l’année au Canada. En comparaison, Porsche a vendu un peu plus du double de son Cayenne.

Le doyen

Acheter un produit, c’est un peu acheter son histoire. Louis Vuitton, par exemple, c’est une toile monogramme. Mais c’est aussi l’histoire d’un homme qui quitte sa famille à quatorze ans pour devenir plus tard le maître malletier le plus réputé au monde.

Acheter un Land Rover, donc, c’est en quelque sorte acheter l’héritage d’une marque anglaise vieille de plus de quarante ans. L’histoire débute par le premier Range Rover qui a foulé le sol au début des années 1970 et qui a donné le ton à une signature visuelle reconnaissable parmi mille. Le Range Rover a donc un peu plus de quarante ans.

La plus récente génération a été dévoilée en 2012, sous le règne de Tata Motors, paradoxalement le constructeur de la voiture la moins chère au monde. Car, faut-il le rappeler, Land Rover, tout comme Jaguar, ne fait plus partie du giron de Ford. La firme indienne les a acquises pour la modique somme de 2,3 milliards américains, durant la crise financière de 2008.

Mythique habillage

La quatrième génération n’a pas perdu son allure altière. Épurée, la carrosserie profite d’un meilleur aérodynamisme. Plus encore, elle repose sur un bâti monocoque en aluminium. Cette approche, utilisée pour la première fois dans l’Audi A8 et la Jaguar XJ, constitue une première application dans la famille des utilitaires. En plus d’assurer une solidité accrue par rapport à l’acier, l’aluminium permet d’alléger le poids du véhicule tout en améliorant grandement la solidité de la structure : deux qualités qui contribuent notamment à réduire la consommation de carburant.

Performances athlétiques

Propulsé par un moteur V6 suralimenté de 340 chevaux, le modèle d’entrée de gamme consomme en moyenne environ 14 L/100 km. Ostentatoire à l’heure où les ours polaires désespèrent devant les banquises qui fondent sous leurs yeux, elle est néanmoins comparable à des
véhicules moins performants, tel le Mercedes-Benz ML 350. David Suzuki rejetterait cet argument du revers de la main, et avec raison. L’an dernier, le constructeur du Royaume-Uni a cependant annoncé l’arrivée d’une version à motorisation diesel-hybride dont il estime la consommation moyenne à 6,4 L/100 km et les performances dignes d’un V8. Pour l’heure, il n’y a cependant aucun plan de commercialisation
de ce côté de l’Atlantique.

Les plus audacieux pourront choisir le moteur V8 de 510 chevaux. En revanche, ils devront probablement accepter de faire des arrêts plus fréquents à la station-service. Puisque le V6 procure d’éblouissantes performances, ce qui est étonnant pour un véhicule aussi lourd, le V8 en vaut-il le débours élevé additionnel? Car, en comparaison, les performances du V6 surpassent avantageusement celles du Porsche Cayenne V6, pourtant plus léger. Les ingénieurs de Land Rover font appel à une boîte à huit rapports tout aussi efficace que discrète.

La richissime cabine impressionne par son habitabilité. Les passagers profitent de sièges hyper confortables, recouverts d’un cuir souple et rehaussés par des surpiqûres. Le conducteur profitera d’une excellente position de conduite et de commandes relativement intuitives. Le bouton pour sélectionner les vitesses est particulièrement ingénieux. Ceux des places avant auront l’impression de monter sur leur trône. À bord, tous les sens sont interpellés, que ce soit par le soin méticuleux apporté au choix et au mariage des matériaux d’une qualité irréprochable ou par la suave quiétude qui règne à bord tant les bruits sont étouffés.

À l’instar des véhicules haut de gamme européens, les acheteurs ont le loisir d’ajouter certaines options qui, à mon avis cependant, devraient faire partie intrinsèque des caractéristiques de série du Range Rover, puisqu’elles équipent des véhicules beaucoup moins prestigieux. C’est le cas d’éléments tels que le volant chauffant, l’éclairage ambiant modulable, le régulateur de vitesse adaptatif, le freinage d’urgence en cas de ralentissement brusque ou encore le système de surveillance des angles morts.

Le Range Rover propose l’une des expériences de conduite les plus intéressantes des utilitaires, qui est renforcée par l’orgueil de le conduire. Souple, la suspension de l’utilitaire britannique excelle par son confort de roulement et son aisance sur les surfaces chaotiques, au détriment toutefois de l’agilité. Il est plutôt rare que la combinaison souplesse et agilité vit en harmonie. Dans le cas du Range Rover, elle contribue à augmenter l’inclinaison de la carrosserie. Pour obtenir une conduite plus sportive, il faudra opter pour un Porsche Cayenne, par exemple, au prix cependant d’une conduite moins décontractée.

Étonnamment, la marque Land Rover ne reçoit pas les notes les plus élogieuses sur le plan de la fiabilité, et ce, depuis de nombreuses années. L’année 2014 montre toutefois des signes d’amélioration selon J. D. Power. La firme américaine, qui conduit une enquête annuelle auprès des propriétaires de véhicules, place la marque dans les derniers rangs. Il faut cependant garder une certaine réserve, puisque la gamme Land Rover comprend plusieurs produits. Autrement, comment ne pas succomber au charme de son véhicule amiral?

Prix : À compter de 98 990 $

 
– JEAN-PIERRE BOUCHARD

Nichée dans un cul-de-sac donnant accès au bord de l’eau, cette magnifique propriété de Rosemère ressemble à s’y méprendre aux hôtels particuliers parisiens. Pour arriver à un tel résultat, il a fallu l’expertise d’Avac Béton et l’implication d’une propriétaire bien préparée.

Lorsqu’il s’agit de parler de sa nouvelle demeure, la propriétaire s’enflamme. Et pour cause, avant même d’acquérir le terrain, un rêve lui trottait dans la tête : faire bâtir un hôtel particulier, comme on en trouve en Europe. « Après un voyage en France, je voulais déménager là-bas, mais c’était trop compliqué. J’ai donc pris les choses autrement : j’ai fait venir la France ici! », se souvient-elle en riant. Pendant des années, elle a scrupuleusement recueilli dans les magazines l’information lui permettant de concrétiser son rêve. « Rien que pour les fenêtres, j’ai découpé au moins une centaine de modèles afin de faire ma sélection. » aussi, quand elle a rencontré l’équipe d’Avac Béton, elle savait parfaitement ce qu’elle voulait, du nombre de pièces aux moulures, en passant par le type de portes. Avac Béton lui a conseillé une excellente architecte, Dominique Valiquette de la Caravane d’architecture, spécialisé dans les constructions haut de gamme.

Des panneaux robustes adaptés au climat

Grâce aux panneaux préfabriqués en usine et conçus sur mesure, la structure a été montée rapidement et l’assemblage s’est fait facilement. « Pour la façade, afin de combiner des éléments structuraux solides à une esthétique européenne, nous avons dû relever un défi de taille. Nous avons ainsi habillé des poutres de métal avec des moulures de fenêtre. Au-dessus de l’entrée principale, nous avons ajouté un second balconnet pour souligner l’importance de l’entrée principale », commente Virginie Leclerc, directrice d’Avac Béton.

Toute la maison a été parfaitement insonorisée et isolée du froid. Composés d’uréthane giclé, les panneaux qui font la réputation d’Avac Béton sont également écoénergétiques. Comme l’isolation est en continu et sans pont thermique, aucune condensation ne se produit, évitant toute moisissure.

Un savoureux mélange de classicisme et de modernité

Une fois la construction terminée, la propriétaire a fait appel à Marc Lessard, président de la firme de décoration d’intérieur les arts Décoratifs. « Je voulais combiner le cachet de l’ancien au confort de la modernité. Ainsi, partout dans la maison, les moulures, les portes de style classique et l’escalier typiquement européen côtoient les étagères en verre et les meubles en noyer, d’allure très contemporaine. » Au sol, une superbe céramique beige et gris court sur les 7 000 pieds carrés de surface habitable.

Au total, la maison compte deux étages avec un sous-sol et un grenier abritant le cinéma maison. Mère d’un bébé de onze mois et possédant des animaux, la propriétaire voulait un intérieur de choix, mais qui soit aussi fonctionnel et pratique. la cuisine, équipée des appareils dernier cri et munie d’un grand îlot surmonté d’une crédence, en est un bon exemple.

L’autre priorité était de laisser passer la lumière au maximum. La salle à manger et le salon possèdent ainsi une immense fenestration, tandis qu’à l’étage la plus grande des quatre chambres, inondée de lumière, communique avec la terrasse.

Enfin, le conjoint de la propriétaire, passionné de chasse, souhaitait avoir un espace spécialement consacré à son activité favorite. Une pièce au sous-sol a donc été aménagée. Juste à côté, on a construit pour les invités un logement indépendant. Aussi, cerise sur le gâteau, pour faciliter les allées et venues, la propriété a été pourvue d’un ascenseur.

Le résultat est-il à la hauteur du rêve? « Oui, parfaitement! Notre expérience avec avac Béton a été très positive. Ma maison correspond exactement à ce que j’avais en tête. »

Avac Béton
77, rue St-Jude Sud
Granby
Tél. : 450 378-9995
www.avacbeton.com

Texte : Diane Stehle

 
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Fondée en 1985 par Bonnitta Beauchamp, cette entreprise familiale se spécialise dans la vente d’oeuvres de peintres québécois et canadiens. On y trouve ainsi de grands maîtres tels que Serge Brunoni, John Der, John Hammond ou encore Normand Hudon, pour n’en citer que quelques-uns.

Si vous possédez déjà l’un de ces chefs d’oeuvre, un expert du Balcon d’art se fera un plaisir de l’évaluer aux fins d’assurance. Et si vous souhaitez vous en départir, il pourra même vous proposer de le vendre pour vous! L’entreprise offre aussi des services de restauration, d’encadrement, et même un registre de mariés. Que ce soit pour des tableaux, des diplômes, des photographies ou des lithographies, Le Balcon d’art présente une vaste sélection d’encadrements haut de gamme. Pour vous simplifier la vie, vous pouvez payer par versements égaux.

Services aux entreprises

Le Balcon d’art habille régulièrement les murs de projets immobiliers d’envergure. La firme propose également aux entreprises de louer des oeuvres qui pourront être achetées par ceux qui les ont admirées. Une formule ingénieuse qui permet notamment au Country Club de Montréal ainsi qu’au Club de Golf Rosemère d’embellir leurs locaux à coût abordable tout en faisant découvrir à leur public de magnifiques toiles. Un service de crédit-bail est à la disposition des clients.

Passez à la galerie! Vous y découvrirez une grande variété d’artistes tout en savourant le capuccino maison. Parce qu’au Balcon d’art, on vous reçoit avec les mêmes attentions que si vous étiez invité chez un ami!

Le Balcon d’art
650, avenue Notre-Dame,
Saint-Lambert, QC J4P 2L1

Texte : Diane Stehle

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