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Il fut un temps où l’Essex House était la plus haute tour de New York. Construite en même temps que l’Empire State Building et que le Rockefeller Center, il s’agit certainement d’un des plus beaux exemples du style Art déco des années 30 dans la Grosse Pomme.

 

Cet immeuble imposant, surmonté d’une inscription de son nom en gigantesques lettres rouges, n’a rien perdu de sa prestance. À deux pas de Colombus Circle, de Carnegie Hall, du Lincoln Center, du quartier des théâtres et du MoMA, l’Essex House continue de régner sur Central Park, aux côtés de ses voisins, le Ritz-Carlton, le Plaza et le Park Lane.

LA MEILLEURE ADRESSE À MANHATTAN

Aujourd’hui, le 160, Central Park South à New York abrite l’hôtel JW Marriott Essex House New York, désigné Meilleur hôtel des états-Unis il y a quelques années par le Global Traveller Magazine. Il est également occupé par des condominiums d’une élégance exceptionnelle, dont quelques-uns sont la propriété de la société Lauren Berger Collection, qui les offre en location.

 

LE RÊVE DEVIENT RÉALITÉ

Lauren Berger, l’une des expertes mondiales du Condé Nast Traveller en 2013, est chef de la direction et fondatrice de Lauren Berger Collection, qui propose en location des propriétés de luxe à travers le monde et qui a été récemment couronnée comme l’une des meilleures sociétés de location au monde par le Vacation Rental Travel Guide. Lauren Berger se distingue par sa chaleur et son intégrité. Elle accueille ses invités – membres de la royauté, entrepreneurs prestigieux, personnalités d’Hollywood – avec classe et discrétion. Lauren Berger Collection offre un service de conciergerie VIP, 24 heures par jour.

VASTE APPARTEMENT LUXUEUX SURPLOMBANT CENTRAL PARK

Lauren Berger réalise elle-même la décoration de ses propriétés afin de procurer à ses locataires le summum du confort et du calme.

 

Meublé avec raffinement, cet appartement de deux chambres avec deux salles de bain peut accueillir jusqu’à huit personnes. Il offre, du 11e étage, une vue directe sur Central Park, depuis son impressionnant salon.

 

La seconde chambre possède sa propre porte d’entrée donnant sur le couloir de l’hôtel. Une troisième chambre est également disponible. Non reliée à l’appartement de l’intérieur, on y accède par le couloir.

 

Le personnel, trié sur le volet, traite la clientèle de Mme Berger avec une attention sans égale. On la surnomme « la reine de l’hospitalité de New York ». Ses invités sont nombreux à revenir, non seulement pour revivre l’expérience offerte par Lauren Berger Collection, mais surtout pour les valeurs et les qualités de leur hôtesse.

 

 

Lauren Berger Collection
917-306-5600 646-629-9669

 

www.laurenbergercollection.com

 

Texte : Renée Senneville

Un dossier exclusif : une incursion dans l’univers de la société montréalaise DAC Jet Internationale, filiale du groupe DAC Aviation Internationale, qui propose une expérience unique sur le continent nord-américain et en Europe.

 

Imaginez le feeling. Une Rolls Royce vous attend à votre porte et vous dépose à deux mètres d’un élégant jet – un Cessna Citation CJ4, où se retrouvent en parfaite synthèse haute performance, sécurité et confort – qui vous amènera à la destination de votre choix. New York peut-être? Pas de souci, vous y serez dans environ 50 minutes. Un agent douanier viendra à votre rencontre, sur la piste d’atterrissage à New York, et le tout sera réglé en cinq minutes. Votre chauffeur privé, au volant d’une Cadillac Escalade ESV, pourra alors vous emmener là où bon vous semble, et ensuite vous ramener à « votre avion ». Non, vous ne rêvez pas!

 

Après avoir survolé les lieux les plus dangereux de la planète, contribué à freiner des catastrophes humaines, redéfini les paramètres du transport des biens périssables et des personnes en Afrique, Emmanuel Anassis, fondateur du groupe DAC Aviation Internationale, lance l’expérience DAC Jet. Depuis septembre 2014, les Montréalais ont accès à un service de vol privé d’un luxe inégalé, en partance de l’aéroport international Pierre-Elliott-Trudeau, qui repose sur plus de vingt années d’expérience sur le terrain et sur une expertise à la fine pointe des connaissances et de la technologie.

 

Emmanuel Anassis est un Canadien dont le nom est associé aux plus hauts niveaux de sécurité aérienne. Pilote de brousse pendant vingt ans, il se rend encore parfois dans des endroits où peu acceptent d’aller, à bord de l’un des Dash 8, CRJ ou Cessna Grand Caravan EX de sa flotte, composée de près de 30 appareils et basée à Nairobi, au Kenya. Mais il en revient toujours. Les plus grands spécialistes de l’aide humanitaire, les hauts dirigeants d’entreprises ou d’organismes internationaux, les chefs d’état le savent et font souvent appel à lui pour les emmener en région dangereuse. Kofi Annan, Angelina Jolie et Jimmy Carter en sont des exemples.

 

LUXE a eu le privilège de rencontrer M. Anassis et de l’interviewer.

Vous avez survolé le monde entier en mettant vos avions au service de l’aide humanitaire. D’où cette idée de vol privé vous est-elle venue?

Lors d’un voyage en Europe en 2012, je suis tombé gravement malade, victime d’un virus attrapé dans l’un des aéroports par lesquels j’avais transité. Il me fallait de toute urgence rentrer à Montréal. Il régnait, dans le milieu du transport aérien privé, un désordre indescriptible, et les prix proposés semblaient tout à fait arbitraires. Les avions étaient si mal entretenus que je craignais d’y embarquer. Ça a été pour moi une expérience terrible sur le plan personnel, sans compter la perte financière enregistrée par ma société au cours des 18 mois de mon absence du travail. Je me suis dit que plus jamais je ne vivrais un cauchemar pareil. L’idée de lancer à Montréal un service de vol privé de classe m’est ensuite venue tout naturellement.

Comment la société DAC Jet Internationale se démarque-t-elle?

Assurément, par le niveau exceptionnel de sécurité et de fiabilité de ses avions. Propriétaire d’une flotte aérienne importante, le groupe DAC aviation offre des services intégrés de transport sur la planète entière. Nous assurons nous-mêmes l’entretien de nos appareils selon un protocole très strict de gestion de la sécurité aérienne. Nos normes de sécurité sont nettement supérieures aux normes usuelles de l’industrie, autant en matière de ressources humaines que d’équipements. Nous sommes ainsi en mesure d’atteindre des régions très difficiles d’accès. C’est la raison de notre succès : depuis 1995, nous n’avons jamais connu d’année déficitaire.

Parlez-nous de l’expérience DAC Jet.

Nous voulons que cette expérience soit telle que rien ne puisse la surpasser. Fraîchement sorti de l’usine, notre avion peut accueillir jusqu’à huit passagers en plus du personnel de bord, et il est muni des technologies les plus avancées, notamment en matière de télécommunications (wi-fi, téléphone, Sirius XM radio , satellite, etc.).Outre notre expertise en matière de sécurité, nos clients peuvent avoir l’esprit tranquille pour plusieurs raisons. Le DAC Jet leur permet par exemple de ne pas avoir à mettre les pieds à l’aéroport et d’éviter ainsi les risques d’attraper un virus comme cela m’est arrivé, en 2012. Ce qui n’est pas négligeable, compte tenu des récentes épidémies. Nous assumons par exemple les risques reliés aux intempéries. Notre service à la clientèle est assuré directement par la présidente de DAC Jet Internationale, Mme Jane Potapova. C’est avec elle – et parfois même avec moi! – que nos clients communiquent pour les réservations. DAC Jet offre aussi un service de conciergerie continu, lors des déplacements.Depuis le jour du lancement, le 10 septembre dernier, pas une semaine ne se passe sans que nous nous rendions à new York, dans le Midwest, à Miami ou en Californie. Notre intuition nous a bien guidés : ce besoin existe vraiment, à Montréal.

Pourquoi offrir un tarif horaire unique?

Nous cherchions le moyen de rendre cette expérience accessible à tous les gens d’affaires, et notre structure de prix se devait d’être cohérente. Puisque nous supervisons nous-mêmes l’entretien de nos appareils, nous en sommes venus à la détermination d’un prix unique très raisonnable. Et cela, quel que soit le nombre de passagers (d’un à huit).

Comment cette expérience s’inscrit-elle dans la continuité du Groupe DAC Aviation? 

Depuis vingt ans, nous desservons le secteur de l’aide humanitaire, dans des conditions météorologiques, géographiques et politiques souvent très difficiles. Nous avons décidé d’explorer un autre marché – peut-être un peu plus reposant! – en créant notre propre marque de luxe, DAC Jet.

Pilote de brousse, vous êtes également pilote de course chez Ferrari. Doit-on voir un lien entre ces deux passions?

Ma passion pour l’aide humanitaire m’a amené à passer la plus importante partie de ma vie à assurer des missions périlleuses. J’ai dormi dans une tente pendant dix ans, à un kilomètre de zones de guerre. Je recevais des appels au milieu de la nuit, et je partais en mission, souvent sous une pluie de balles… C’est une autre passion, celle de la vitesse, qui m’a fait découvrir la course automobile. Conduire ma Ferrari, c’est pour moi une détente, une manière de laisser la pression s’échapper. Bien sûr, c’est aussi une forme de luxe excessif. Mais la décision de me joindre au réseau Ferrari en 2003 était aussi un geste de marketing réfléchi. Membre de ce cercle exclusif de gens qui pour la plupart font des affaires, je suis aujourd’hui extrêmement bien placé pour les sensibiliser aux immenses besoins de l’aide humanitaire.Et puis, Ferrari est l’une des meilleures marques au monde. Je veux que l’expérience DAC Jet soit associée avec un produit qui a atteint un sommet et qui est synonyme de perfection!

Qu’est-ce qui vous a amené à confier les rênes de DAC Jet Internationale à Jane Potapova, vice-présidente du Groupe DAC Aviation?

Personne d’autre que Jane n’était mieux placé pour diriger DAC Jet. Jane est mon bras droit – mon homme de confiance! – depuis longtemps. Elle est entrée chez DAC alors qu’elle était étudiante en marketing et au MBA. Elle possède des connaissances exceptionnelles dans le domaine de l’aéronautique, notamment en matière d’entretien des avions. Surtout, elle comprend parfaitement que lorsqu’un avion est bien entretenu, le pilote se rendra à destination, et les passagers aussi. Vous seriez surpris de connaître le nombre de dirigeants de sociétés aériennes qui n’ont aucune notion pratique de l’industrie, qui ne connaissent que les chiffres. Comme un grand nombre de nos employés, Jane saura bientôt piloter un avion.

 

LUXE a également rencontré Mme Potapova.

Mme Potapova, quel est le modèle d’affaires de DAC Jet Internationale?

Nous voulons convaincre les propriétaires d’avions privés de s’en défaire, et d’adopter l’expérience DAC Jet pour une fraction des sommes qu’ils déboursent actuellement. Nous voulons amener les gens d’affaires à s’aligner avec nos services, et ainsi transformer « l’intangible en tangible ». Le succès en affaires repose sur la bonne communication. Rien de mieux que de rencontrer nos interlocuteurs en personne, en nous rendant là où ils se trouvent, à bord d’un avion ultra-sécuritaire et luxueux, à un prix abordable.

Comment faites-vous pour arriver à suivre un patron qui a autant de passions?

Le Groupe DAC Aviation repose, c’est vrai, sur le rêve et la passion. Emmanuel est un grand passionné, mais il reste toutefois ancré dans la réalité, et trouve toujours la façon de faire fonctionner les choses. Il est passé maître dans l’art de prendre les risques pour ensuite les atténuer.

 

Jane Potapova
jane@dacjet.ca
Tél. : 514 876-0135, poste 345
Ligne sans frais : 1 877 876-0135

 

www.dacjet.ca

 

Texte : Renée Senneville

Photos : Patrizia Castiglione

À peine à quinze minutes en bateau de Cancún, l’Île des Femmes semble à mille lieues de sa voisine bruyante et fêtarde. Entourée par les eaux cristallines de la mer des Caraïbes, cette petite île est en effet une véritable oasis de calme et de beauté, idéale pour qui veut se ressourcer à l’ombre des cocotiers.

 

De Cancún, il suffit de prendre le traversier pour fouler le sol de ce petit paradis. Ou bien encore l’avion, pour une arrivée grandiose et la découverte d’un panorama à couper le souffle, entre kilomètres de bancs de sable, nature luxuriante et récifs de corail émergeant des eaux turquoise.

 

Découverte en 1517 par un conquistador espagnol, l’Île des Femmes tiendrait son nom des figurines de déesses mayas découvertes dans l’un des sanctuaires de l’île, dont le plus visité se trouve aujourd’hui sur les falaises de Punta Sur. Certains racontent, peut-être pour alimenter la légende, que des pirates espagnols y laissaient leurs  femmes afin de les mettre à l’abri, avant d’aller piller la côte.

 

Le fait est qu’à l’époque des Mayas, Isla Mujeres (l’Île des Femmes) était considérée comme un lieu sacré dédié à la Déesse Ixchel, mère des dieux, déesse de la lune et de la fertilité.

 

Aujourd’hui encore, l’île semble bénie des dieux, tant elle offre de sérénité et de trésors à celui qui tente de la découvrir.

Baignade et farniente

S’étendant sur à peine huit kilomètres, Isla Mujeres possède un port pittoresque, bordé par une foule de petits restaurants qui vous proposeront quelques spécialités locales, comme le ceviche ou le pollo frito (poulet frit), ou encore un poisson pêché le matin même, finement grillé.

 

Sa principale attraction reste, bien sûr, ses plages de sable blanc, dont la fameuse Playa Del Norte, sans doute l’une des plus belles du monde. Quel plaisir de se prélasser au soleil, loin de toute âme humaine, avec pour seul horizon le bleu de la mer et la transparence de l’eau… Pour admirer les fonds marins et les milliers de poissons multicolores, inutile d’être un plongeur averti : à quelques mètres du bord, sergents-majors, anges, poissons-perroquets, barracudas, et même raies et calmars se laissent observer facilement, au grand bonheur des enfants.

 

 

Durant le jour, faire le tour de l’île constitue une belle activité et donne l’occasion de visiter d’autres plages, quasi désertes, et surtout de rencontrer les Mexicains, avenants et chaleureux, même si tous vivent en grande partie du tourisme. Les marcheurs plus aventuriers partiront à pied, les autres pourront louer un vélo ou, mieux, une voiturette de golf.

 

 

Le soir, la rue principale offre une agréable promenade parmi ses maisons basses et colorées. Vous y dénicherez à coup sûr un joli souvenir et en repartirez une crème glacée à la main.

Une multitude d’activités

Malgré sa petite taille, Isla Mujeres propose une panoplie d’activités. Les amateurs de plongée en apnée ou plongée sous-marine ne manqueront pas de se rendre au parc naturel Garrafon, pourvu de magnifiques fonds marins. Une tyrolienne y a été installée au-dessus de l’eau pour permettre d’admirer le paysage, tout en s’amusant.

 

 

La grotte des requins endormis (Cueva de Los Tiburones Dormidos) est également un incontournable pour ceux qui aiment plonger. Vous y approcherez de près les fameux squales.

 

Si vous souhaitez aller voir un peu plus loin, plusieurs excursions en mer sont offertes, en bateau ou en catamaran, notamment pour découvrir la petite île de Contoy, une réserve naturelle où viennent séjourner plus de 90 espèces d’oiseaux et qui abrite une flore et une faune aquatique remarquables. Le Musa, le plus grand musée sous-marin au monde, vaut aussi le détour (voir notre encadré). Mais, surtout, on ne peut aller visiter Isla Mujeres sans partir à la rencontre des requins-baleines. Nager avec ces géants de la mer vous laissera un souvenir impérissable.

 

 

Oui, Isla Mujeres est vraiment bénie des Dieux

Un musée sous-marin

Inauguré en novembre 2009, le Musa est le plus grand musée sous-marin de la planète. Quatre cent soixante sculptures en ciment, créées en majorité par l’artiste anglais Jason de Caires Taylor, ont été immergées à près de dix mètres de profondeur, dans les fonds d’Isla Mujeres.  D’un réalisme saisissant, ces statues  ?  un homme qui pleure, un autre qui regarde la télé, une femme en train de prier, etc.  ?  retracent l’histoire du peuple maya, une civilisation parmi les plus mystérieuses de la planète.

 

En plus d’être artistique, ce projet vise à sensibiliser les touristes à la fragilité des coraux qui souffrent de l’afflux massif de visiteurs dans la région de Cancún. La visite se fait à la nage, en plongée sous-marine, en apnée ou en bateau équipé d’un fond de verre. Les plongeurs les plus expérimentés peuvent aussi visiter le site de nuit.

 

 

Texte : Diane Stehle

La Suisse est un pays absolument merveilleux qui vaut la peine d’être découvert. Pour ma part, j’y suis allée pour la première fois cette année et j’en suis tombée follement amoureuse.

Les Québécois ont beaucoup en commun avec les suisses. Tout d’abord, nous aimons rire! nous faisons notre travail avec sérieux, sans nous prendre au sérieux. nous avons une grande ouverture d’esprit sur le monde. Bref, il y a des similitudes dans la culture et le mode de vie.

 

Nul doute, les Suisses sont reconnus internationalement pour leurs montres, leurs fromages et leur chocolat, mais leurs vins restent méconnus : seulement 2 % de leurs cuvées sont exportées sur le marché international. néanmoins, la société des alcools du Québec offre environ 18 produits. C’est une jolie sélection pour découvrir le profil de goût des vins de la Suisse.

 

Par ailleurs, si vous appréciez les accords vins et mets, le pays sera mis en vedette lors du festival Montréal en Lumière, qui aura lieu du 19 février au 1er mars 2015 (montrealenlumiere.com). Une occasion unique de découvrir les vertus des vins suisses et de savourer des plats typiques dans les restaurants participants, comme l’Auberge Saint-Gabriel qui offrira des plats et des fondues au fromage typiques du pays.

 

 

De plus, le meilleur sommelier du monde, le Suisse Paolo Basso, sera à Montréal quelques jours pour donner des conférences ouvertes au public. Un événement à ne pas manquer pour les passionnés de vin.

 

Si vous désirez partir en voyage, la Suisse devrait être au haut de votre liste! Je n’ai jamais vu de paysages aussi beaux, des vignes à perte de vue plantées en plateau, comme des rizières! J’y ai rencontré de grands vignerons, comme la famille rouvinez, et j’y ai visité de superbes domaines, comme ceux de Provins, Bonvin et cave st-Pierre.

 

Si vous êtes déjà allés en Suisse et si vous aimez les vins blancs légers, vous savez que le Fendant, c’est bon! Le Fendant est un raisin qui donne des vins digestes. Un gaz carbonique y est souvent ajouté pour lui donner une touche perlante et en faire un vin festif, idéal pour l’apéro. Mais si vous désirez goûter la quintessence des blancs suisses, optez plutôt pour le cépage la Petite arvine. Son goût de noyau de pêche lui confère une droiture et un style inégalé. absolument délicieux avec des filets de perche, repas typique de la région.

 

Ça me fait sourire lorsque les gens me demandent si la Suisse produit de bons vins rouges, car en réalité, la région du Valais est près de la Vallée du Rhône, donc la Syrah est sublime! et à Neuchâtel, on fait de l’excellent Pinot Noir, délicat comme ceux de la Bourgogne, non loin de là. On retrouve évidemment des cépages autochtones qui piqueront votre curiosité comme le cornalin ou l’Humagne rouge. Bref, les vins de la Suisse ont beaucoup à offrir. Santé!

 

 

Jessica Harnois
Sommelière/animatrice

 

www.jessicaharnois.com
www.vinsaufeminin.com
Twitter : jessicaharnois

Natif de Hull, dès l’âge de 15 ans Georges Laurier travaille chez un traiteur réputé de la région. Inscrit à l’université dans le programme d’éducation, il décide finalement de suivre sa passion première, la cuisine. Ainsi, il quitte l’université pour se concentrer à temps plein sur son nouveau choix de carrière : chef cuisiner.

 

À la suite de stages dans des restaurants réputés en Suisse, en France et à New York, il participe, à titre de membre de soutien de l’équipe culinaire Ottawa-Hull, à plusieurs compétitions culinaires régionales et nationales ainsi qu’aux Olympiades culinaires de Francfort. Au cours de sa carrière, Georges Laurier a occupé le poste de chef dans des endroits de renom, notamment le Café Henry Burger, la résidence de l’ambassadeur des États-Unis d’Amérique, l’auberge du Moulin Wakefield, le Musée canadien de l’histoire et l’école culinaire C’est Bon Cooking.

 

En 1995, il ouvre son restaurant, Laurier sur Montcalm, maintes fois lauréat des Grands Prix du tourisme et de la cote Quatre Diamants du CAA. Après une dizaine d’années passées à relever d’autres défis au sein de l’entreprise Rational, qui fabrique des fours combinés à la fine pointe de la technologie, l’appel de la cuisine se fait de nouveau
sentir.

 

Georges Laurier dirige maintenant la cuisine du restaurant la Quintessence, et conjugue habilement styles et saveurs. Son style culinaire se définit comme une cuisine régionale, d’inspiration nordique avec de solides bases de cuisine française. « Il faut que ça goûte », tel qu’il se plaît à le dire. Toujours à la recherche des meilleurs ingrédients locaux ou régionaux, il entretient des liens serrés avec les producteurs de la région.

Depuis juin dernier, la ville de Québec offre aux touristes et aux gens d’affaires une occasion exceptionnelle de vivre Québec autrement : la location à court terme d’un condo de luxe ou d’un penthouse au meilleur emplacement qui soit. Situé sur la colline Parlementaire, à deux pas du Vieux-Québec, des salles de spectacles et des commerces de la rue Saint-Jean, à quelques minutes des centres de ski et à la porte d’entrée de Charlevoix, le 760 Honoré-Mercier occupe une place parfaite, tant pour les touristes qui souhaitent découvrir la région que pour les artistes et gens d’affaires qui veulent séjourner dans la capitale.

 

L’immeuble compte 82 condos, dont 60 sont offerts en location à court terme par leurs propriétaires. Impliqués à fond dans ce projet, ceux-ci ont investi beaucoup d’efforts pour finaliser le design de leur appartement et l’aménager avec soin et raffinement. Ils ont été guidés en cela par les immeubles Charlevoix, l’agence immobilière qui gère la résidence de tourisme. Comme elle possède plus de 35 ans d’expérience dans la gestion immobilière, dans les régions de Québec et de Charlevoix, c’était l’agence toute désignée pour encadrer l’aménagement des appartements et faire en sorte que cette résidence de tourisme dépasse les normes requises par la Corporation de l’industrie touristique du Québec, tant par la qualité que par l’esthétisme. Ainsi, au-delà du luxe et du confort, chaque locataire est assuré de trouver dans son condo tous les meubles, électroménagers et accessoires dont il pourrait avoir besoin durant son séjour. Quelle que soit la durée de la location, de quelques jours à quelques mois, les locataires peuvent s’attendre à vivre une expérience extraordinaire grâce à une offre pratique ou touristique sans compromis : les joies de la ville et du plein air au même endroit.

 

 

L’effet le plus marquant de la situation géographique de l’immeuble est sans contredit le regard en surplomb qu’il offre sur le Vieux-Québec, la basse-ville et les Laurentides au loin, de même que sur les toits du quartier Saint-Jean-Baptiste. Le soir, c’est un panorama de petites lumières dispersées et d’étoiles qui s’offre à la vue, un véritable fond d’écran en perpétuel changement. Tout simplement magique!

 

 

Impressionnant, le choix des appartements est multiple : une, deux ou trois chambres à coucher, une à deux salles de bain, petite superficie (600 pieds carrés) ou plus grande (jusqu’à 2 000 pieds carrés), loft ou encore penthouse avec escalier et terrasse sur le toit. Le plus surprenant, c’est que chaque condo a sa propre signature, son design et son cachet particulier, selon les choix de décoration et de matériaux faits par les propriétaires. Cependant, une chose est garantie, la qualité est toujours au rendez-vous.

 

Planchers de bois, céramiques recherchées, comptoirs en granit, grandes douches vitrées, électroménagers haut de gamme, luminaires dernier cri, fenêtres surdimensionnées et stores sophistiqués, rien n’a été négligé pour obtenir l’ambiance parfaite. Détail important dans ce secteur très prisé : presque tous les condos sont assortis à un espace de stationnement intérieur ou plus.

 

 

Il convient enfin d’ajouter que le service fourni par les immeubles Charlevoix dans la résidence va lui aussi au-delà des normes. Cela comprend notamment une présence continue au comptoir d’accueil (24 heures), un entretien ménager hors pair et une concierge diplômée (membre du réseau Clefs d’or), disponible pour tout renseignement touristique, toute suggestion d’itinéraire ou de visite guidée, diverses réservations (restaurant, théâtre, spectacle, gardienne) ou pour tout autre service personnalisé. Pour les vacances, le travail ou pour visiter la famille, à Québec ou dans les environs, l’endroit idéal, c’est là et pas ailleurs.

 

Louise Bédard
Courtier immobilier agréé
418 692-2908
louise.bedard@imcha.com

 

Texte : Sylvie Lamothe

Promoteur et gestionnaire de la région de Québec depuis 1992, GM Développement a fait de l’immobilier son domaine de compétence, dans le secteur tant résidentiel que commercial. L’entreprise est connue pour avoir joué un rôle de premier plan dans la revitalisation du quartier saint-Roch, qu’elle ne cesse de promouvoir. L’implantation du magasin Benjo, qui célèbre son dixième anniversaire cette année, a contribué, de pair avec d’autres réalisations d’envergure, à témoigner du dynamisme des propriétaires de GM Développement.

 

Les projets de GM Développement se démarquent principalement par leur emplacement de choix. GM Développement réussit à amener un vent de fraîcheur et de modernité dans des secteurs urbains populaires. Des condos en plein coeur du centre-ville, près de tout et jouissant d’une vue spectaculaire,comptent parmi les projets immobiliers du promoteur. Trois récents en témoignent : Tandem condos sur cour, Les suites de la Colline et District 03.

Tandem condos sur cour

Situé sur la rue Saint-Jean, dans le quartier Saint-Jean-Baptiste, le projet Tandem, présentement en construction, rassemble 84 condos en plein coeur de l’effervescence du centre-ville. Tout près de la rue Cartier et de la grande allée, le Tandem offre à ses résidents un emplacement privilégié avec vue notamment sur les Laurentides et sur la ville. Le rez-de-chaussée de la rue saint-Jean proposera par ailleurs des espaces commerciaux. Tout a été pensé de manière à en faire un projet porteur pour le secteur.

 

La cour intérieure du Tandem et son système de passerelles constituent des atouts majeurs. ils permettent en effet à chacun des condos de disposer d’une entrée extérieure. Pas de longs corridors intérieurs ni d’entretien supplémentaire en hiver : les passerelles seront toutes chauffées. La majorité des condos étant traversants, les propriétaires jouiront d’une ventilation et d’un ensoleillement naturels peu communs dans l’offre de condos actuelle. Ces particularités s’inscrivent dans la vocation écologique du quartier Saint-Jean-Baptiste, au même titre que les jardins verticaux de la cour intérieure du Tandem.

 

Les Suites de la Colline

Situé juste en face de la colline Parlementaire, le projet des suites de la Colline regroupe 29 condos magnifiquement situés. avec les plaines d’Abraham et les grandes artères du Vieux-Québec à proximité, Les Suites de la Colline vous permet de vivre au coeur de la ville, dans un décor moderne, avec une vue exceptionnelle.

 

Une finition intérieure luxueuse, des systèmes de chauffage et de climatisation à la fine pointe de la technologie, des armoires en matériaux de qualité supérieure et des comptoirs de quartz contribuent au cachet des condos des suites de la Colline.

 

District 03

Véritable précurseur, GM Développement réalise le premier projet de six étages en structure de bois massif au Québec. District 03 propose 53 condos urbains de style loft, dotés d’une fenestration abondante, de plafonds hauts de neuf pieds et d’un aménagement à aires ouvertes, alliant espace et modernité. avec ce projet en plein coeur du Nouvo st-Roch, GM Développement poursuit ses efforts de revitalisation du quartier.

 

GM Développement a travaillé de pair avec les architectes afin d’offrir des condos tous différents les uns des autres. La vente sur plan leur permet d’ailleurs de donner une certaine exclusivité aux acheteurs et de leur assurer un résultat à leur goût et à la hauteur de leurs attentes.

 

www.district03.ca

 

Céleste

Bénéficiant également d’une localisation sans pareille, les condos Céleste, au Mont Sainte-Anne, profitent d’un attrait touristique important. Le Céleste représente une option intéressante pour les Québécois qui passent l’hiver à l’extérieur de la ville et qui désirent rentabiliser leur investissement en louant leur condo aux amateurs de ski pendant l’hiver. notons que le Céleste se trouve aussi à proximité de plusieurs activités estivales, comme le golf et les sentiers de randonnée. il est également possible de louer un condo à court, moyen ou long terme pour profiter de la montagne, qui se trouve à quelques pas seulement. Seule une quinzaine d’unités sont encore offerts.

 

Achat : www.condosceleste.com
Location : www.locationcondomontsteanne.com

 

Ce ne sont pas les idées qui manquent chez GM Développement, qui travaille également à l’élaboration du projet Quartier central, un complexe d’affaires comprenant un hôtel et des immeubles de bureaux, à proximité du nouvel amphithéâtre de Québec. Comme toutes les autres réalisations de GM Développement, Quartier central se démarque par son emplacement de choix, qui offre une visibilité considérable à ses futurs locataires. Des années encore fort occupées attendent donc les propriétaires de GM Développement, qui poursuivent la consolidation de leur expertise en bonifiant le développement immobilier de Québec.

 

www.gmdeveloppement.com

 

Texte : Joannie Langlois

Depuis janvier dernier, Carlos Ferreira, propriétaire des restaurants de renom Ferreira Café, Taverne F et Café Vasco da Gama, a confié les activités quotidiennes de son groupe à sa fille Sandra, désormais directrice des opérations. Pour assurer la transition, il reste toutefois très présent. Dynamique et créative, la jeune professionnelle compte bien poursuivre le rêve de son père : faire du groupe Ferreira l’ambassadeur de la culture gastronomique portugaise.

 

Sandra Ferreira avait sept ans lorsque le Ferreira Café a ouvert ses portes. elle passait toutes ses fins de semaine au restaurant avec son père. « J’aidais le personnel à servir les clients, je mangeais, puis… je m’endormais sous les tables! », se rappelle la jeune femme. « Plus vieille, quand j’étais au cégep, je travaillais là-bas à temps partiel comme hôtesse. J’adorais ça! » les voyages forment la jeunesse. Sandra est donc partie étudier trois ans en Pennsylvanie puis deux ans à new York, où elle a travaillé pour le magasin Macy’s, comme gérante d’un rayon. Elle a ensuite occupé un poste en marketing au sein d’une start-up avant de rentrer l’année dernière à Montréal.

 

« Quand je suis revenue, j’étais prête à m’impliquer à 100 % dans l’entreprise de mon père. » Les premiers mois ont été consacrés à l’ouverture de la Taverne F, inaugurée en février dernier. Situé en plein coeur du Quartier des spectacles, l’endroit présente un nouveau concept de restauration, dans une ambiance conviviale. « Notre menu est fait de petiscos, de petits plats à partager typiquement portugais. Chacun en choisit trois ou quatre puis ils sont placés au centre de la table pour être partagés. Les foodies peuvent donc goûter à tout à un coût abordable », commente-t-elle. Idéal avant ou après un spectacle, le restaurant convient aussi parfaitement à un rendez-vous en amoureux ou entre amis.

Changement et continuité

la Taverne F continuant sur sa lancée, Sandra et son père se consacrent aujourd’hui à restructurer le Ferreira Café, en collaboration avec le nouveau chef, João Dias, afin que l’entreprise demeure solide dans un marché difficile.

 

Face à la rude concurrence et à l’augmentation des coûts, il faut être passionné et avoir une volonté de fer pour gérer un restaurant. Des qualités qui ont toujours animé Carlos Ferreira et qu’il a réussi, visiblement, à transmettre à sa fille. « Comme dit mon père, il y a toujours place à l’amélioration et à l’innovation. »

 

Cette philosophie de l’entrepreneuriat, qui permet au Ferreira Café de compter, dix-neuf ans après son ouverture, parmi les meilleures tables de Montréal, Sandra l’a faite sienne.

 

Dans cette optique, en collaboration avec João et Cristina Garcia, la directrice des événements, elle poursuit la mise en valeur du service de traiteur. le Ferreira Café propose ainsi des menus entièrement personnalisés dans le cadre d’événements d’envergure. Cette année, il a notamment été coprésentateur de la soirée-bénéfice de la Fondation Sainte-Justine, parrainée par Céline Dion.

 

Confiant, Carlos Ferreira commente : « avoir une vision, c’est aussi croire en une relève prometteuse et savoir passer le gouvernail quand on en ressent le besoin. Aujourd’hui, ma fille est sur le terrain au quotidien. De mon côté, je me consacre plutôt au développement de nouveaux produits et, bien sûr, je l’accompagne si elle a besoin de moi. »

 

Un avenir prometteur

Carlos Ferreira vient en effet de créer une gamme de vins et d’huile d’olive d’excellente qualité, qu’il souhaite développer. Pour le moment, les vins provenant de la vallée du Douro au Portugal, sa région natale, sont proposés en importation privée dans tous les établissements du groupe.

 

Toutefois, à court terme, ils pourraient figurer sur les tablettes de la SAQ. « Nos vins sont savoureux et accessibles au grand public. Tout comme pour nos huiles d’olive, nous en contrôlons la qualité de A à Z. Chaque fois que nous fabriquons un produit qui porte le sceau de notre marque, nous voulons que nos clients soient satisfaits à 100 % », dit l’homme d’affaires.

 

 

Pour Sandra, renforcer la marque de commerce du groupe est aussi une priorité. D’ailleurs, quand on lui demande comment elle imagine sa société dans dix ans, elle nous répond : « J’aimerais que notre marque soit reconnue par tous les Québécois et qu’elle ait une plus grande visibilité. »

 

Plus de restaurants? Plus de nouveaux produits? Sandra ne sait pas encore la forme que prendra cette extension. Pour l’heure, elle est au coeur du vent de renouveau qui souffle sur le Ferreira Café. Et c’est ce qui importe. Né du rêve d’un immigrant portugais qui souhaitait faire découvrir sa culture aux Québécois, le restaurant s’engage, à n’en pas douter, dans un avenir prometteur où l’horizon sera grand.

Pour toute information

Ferreira Café
1446, rue Peel
Tél. : 514 848-0988
info@ferreiracafe.com
www.ferreiracafe.com

 

Café Vasco Da Gama
1472, rue Peel
Tél. : 514 286-2688
info@vascodagama.ca
www.vascodagama.ca

 

Taverne F
1485, rue Jeanne-Mance
Tél. : 514 289-4558
info@tavernef.com
www.tavernef.com

 

Texte : Diane Stehle
Photos : Patrizia Castiglione