VOTRE MAGAZINE EN LIGNE DU LUXE IMMOBILIER & ART DE VIVRE

Accueil / 2016 / décembre

Situé à Singapour, l’hôtel Marina Bay Sands fait dans la démesure : 2 561 chambres et suites, 3 immeubles de 55 étages et 8 000 employés. Mais ce qui le distingue vraiment, c’est le Sands SkyPark, une immense piscine à débordement qui trône à deux cents mètres d’altitude, au sommet des trois édifices.

 
Imaginé par l’architecte Moshe Safdie, l’hôtel Marina Bay Sands affiche une architecture des plus audacieuses : au sommet, ses trois immeubles de 55 étages sont reliés entre eux par une structure soutenant un jardin botanique doté d’une multitude d’espèces d’arbres et de plantes. Juste à côté de cette oasis de verdure, la piscine à débordement la plus haute du monde offre une vue à couper le souffle à 200 mètres du sol. Nager à l’air libre, sous le soleil, avec le fabuleux panorama de la marina de Singapour devant soi est sans aucun doute une expérience unique.

 

Ouvert en 2010, le luxueux hôtel aurait coûté huit milliards de dollars. Et pour cause. Il est pourvu d’absolument tout : centre commercial, pharmacie, casino, restaurants, boutiques de luxe, palais des congrès, théâtres, salles de concert, et même un musée en forme de fleur de lotus.

 

Parmi les nombreux restaurants, le DB Bistro Moderne, tenu par Daniel Boulud, chef de renommée internationale, réjouira les plus gastronomes.

 

Enfin, comme si l’architecture spectaculaire et futuriste des bâtiments ne suffisait pas, un spectacle son et lumière est offert à la tombée de la nuit. Pendant une quinzaine de minutes, vous serez transporté au 22e siècle…

 

  • Surface au sol : 15,5 hectares
  • Superficie : 6 258 137 pi2
  • Vue : 360 degrés
  • Capacité du palais des congrès : 45 000 personnes
  • Casino : 500 tables de jeux et 1 600 machines à sous
  • Salles de réunion : 250
  • 2 théâtres de 4 000 places
  • Un chandelier de 6,4 mètres de haut muni de 132 000 cristaux Swarovski!

 

www.marinabaysands.com

Texte : Diane Stehle

Après une carrière vouée au mannequinat, Ruby Brown a eu la bonne idée de lancer une entreprise de création de parfums sur mesure. Aujourd’hui, la PME qui porte le nom de sa fondatrice offre une gamme de bougies parfumées, des ateliers de création de parfums ainsi qu’un éventail de services aux professionnels. Rencontre avec une jeune femme passionnée par son métier.

Vous êtes aujourd’hui créatrice de parfums. Quel a été votre parcours?  

J’ai commencé une carrière de mannequin à 15 ans. Cela m’a menée à Paris, où j’ai habité pendant plusieurs années. À travers mes amies parisiennes, j’ai découvert l’importance du parfum. Certaines retournaient chez elles pour en remettre, comme on rentre ici à la maison quand on a oublié son cellulaire! L’été, j’allais souvent à Grasse, la ville du parfum par excellence. Puis j’ai effectué plusieurs ateliers auprès de maîtres parfumeurs réputés, un peu partout dans le monde. Quand j’ai pris ma retraite du mannequinat à 25 ans, j’avais envie de me lancer en affaires. Lorsque je suis rentrée à Montréal en 2008, j’ai constaté que le Québec était en retard dans le domaine de la parfumerie. L’idée m’est alors venue de créer des parfums sur mesure.

Parlez-nous de vos ateliers sur mesure.

Dans un premier temps, vous êtes initié au monde olfactif par une petite introduction théorique. Puis, vous élaborez votre propre fragrance en choisissant vos matières premières dans un orgue à parfums qui compte plus de quatre-vingts essences de toutes sortes. Bien entendu, vous êtes accompagné tout au long du processus. Au bout de deux heures, vous repartez avec votre flacon. Les formules sont par la suite archivées pour vous permettre de commander à nouveau votre parfum.

À qui s’adressent vos ateliers et où se tiennent-ils?

Nos ateliers s’adressent autant aux hommes qu’aux femmes. En fait, dire qu’un parfum est davantage destiné aux femmes qu’aux hommes n’est souvent qu’une question de marketing, car cela dépend de la personnalité de chacun. Notre orgue présente un éventail très vaste de matières premières. Il rassemble des essences classiques comme le jasmin ou la rose, mais aussi des notes plus inusitées comme le cuir, le tabac, l’herbe ou même le sirop d’érable. Les ateliers ont lieu chaque premier samedi du mois dans le cadre du magnifique Ritz-Carlton Montréal, et nous organisons aussi des sessions lors d’événements spéciaux comme la Saint-Valentin ou la fête des Mères. Récemment, nous avons lancé une offre spécialement pensée pour les bachelorettes!

Vous fabriquez également des bougies parfumées. Quelles sont leurs particularités?

Avant même de sortir notre propre gamme de bougies parfumées, nous en avions beaucoup fabriqué pour différents projets. Un jour, nous avons eu envie de créer notre propre gamme. Toutes nos bougies sont fabriquées au Canada. Ce sont des bougies de grand luxe qui brûlent pour vous offrir 60 heures de bonheur. Elles sont faites à partir de cire de soya qui a ceci de particulier qu’elle brûle deux fois moins vite qu’une autre cire et qu’elle est écoresponsable (elle ne produit pas de fumée noire). De plus, elle contient 14 % de parfum, soit le double de ce que contient la majorité des grandes marques de bougies parfumées. Après seulement 20 minutes, une odeur délicieuse embaumera votre pièce. C’est un produit exceptionnel.

 

Vous offrez des services aux entreprises. Quels sont-ils?

Nous nous déplaçons dans les locaux de l’entreprise pour offrir un atelier clé en main. Le tarif est très compétitif, puisque les formules de groupe sont offertes à 99 $ par personne pour 15 participants et plus. Nous proposons aussi un bar à parfums dans le cadre de congrès. Tout comme un bar à cocktail, il présente une variété de fragrances. Chacun sélectionne celle qu’il préfère puis choisit un flacon. Le parfum peut être personnalisé à l’effigie de l’entreprise.

Citez-nous un souvenir olfactif qui vous fait voyager.

Il y en a plein, mais le plus marquant reste sans doute celui de l’odeur du cuir. C’est une matière que j’adore. Son odeur me transporte dans les maroquineries de Paris, car j’ai longtemps habité un quartier où il y en avait beaucoup. Nous offrons d’ailleurs une bougie parfumée, la Perfecto, qui offre cette senteur. L’odeur des oranges éveille aussi en moi beaucoup de souvenirs. Elle me ramène à mon enfance, lorsque ma mère nous forçait à manger des oranges de Floride pour nous faire faire le plein de vitamines. Nous devions en ingurgiter des tonnes!

Quels sont vos projets à moyen terme pour votre entreprise?

Nous développons la marque Ruby Brown depuis six mois seulement et la réponse est extraordinaire! Et nous ne sommes qu’au début de l’aventure. Notre objectif est de fabriquer nos produits dans les règles de l’art et de manière personnalisée, tout en respectant l’environnement. J’ai la chance d’être entourée d’une équipe formidable. J’aspire à devenir la Jo Malone canadienne!

 

www.rubybrown.com

Texte : Diane Stehle

UNICEF Canada a tenu sa soirée-bénéfice le 20 novembre dernier, la faisant coïncider avec la Journée mondiale de l’enfant, afin de collecter des fonds pour les enfants réfugiés, une cause chère au cœur de son organisatrice, Bita Cattelan.

 

La soirée, qui s’est tenue à l’Hôtel Ritz-Carlton, a connu un franc succès puisque 60 000 $ ont été amassés. Cette somme a ensuite été égalée par le gouvernement fédéral dans le cadre de son programme d’aide aux Syriens. Le montant récolté de 120 000 $ permettra d’approvisionner des centaines d’enfants vivant dans des camps de réfugiés en vêtements, soins médicaux, denrées de première nécessité et leur donnera accès à l’éducation.

 

Madame Cattelan, membre du conseil d’UNICEF Canada, et son mari Paolo ont parrainé l’événement grâce aux commanditaires DAC Aviation International ltée et la famille Torriani, propriétaires du Ritz. Parmi les nombreux participants à cet événement — qui, l’espère madame Cattelan, deviendra un événement annuel de collecte de fonds — se trouvaient le président et chef de la direction d’UNICEF Canada, David Morley, le chef Antonio Park, Sandra et Carlos Ferreira du Groupe Ferreira, les artistes Karine Vanasse et Ariane Moffatt, l’animatrice Anne-Marie Withenshaw, ainsi que l’ambassadrice d’UNICEF Canada, Miss Canada 2006, également ex-bénéficiaire de l’aide pour enfants d’UNICEF, Solange Tuyishime.

 

L’événement a également été marqué par la présence de l’Orchestre symphonique de Montréal, qui a interprété Le Carnaval de Venise et l’Andante Con Moto Tranquillo. L’ambassadeur d’UNICEF et compositeur Steve Barakatt a interprété la Berceuse (hymne d’UNICEF), accompagné par les musiciens de l’OSM.

 

L’événement a aussi permis aux invités d’expérimenter la charité virtuelle, grâce à UNICEF 360. Plusieurs simulateurs de réalité virtuelle, couplés avec une application mobile, permettaient ainsi de visualiser des vidéos de réalité virtuelle en 360 degrés dans les régions du monde où intervient UNICEF.

 

Madame Cattelan était enthousiaste à l’idée d’organiser la soirée et d’en être la coparraineuse, à titre personnel. C’est en effet à la suite de sa propre expérience lors d’une visite du camp de réfugiés de Zaatari en Jordanie, avant qu’elle ne devienne membre du conseil d’UNICEF Canada, qu’elle a rencontré une femme qui avait fui la Syrie avec ses jeunes enfants. Celle-ci lui a montré des photos sur son cellulaire, tenant à ce qu’elle sache que ses enfants n’étaient pas toujours aussi « poussiéreux », qu’ils avaient déjà porté des uniformes pour aller à l’école et de belles tenues aux fêtes d’anniversaire.

 

En rentrant chez elle, Madame Cattelan s’est dit qu’elle ferait tout en son pouvoir pour aider les familles réfugiées. « Ces femmes étaient comme moi, elles avaient une maison et une vie en Syrie avant d’être obligées d’entasser leurs effets dans deux sacs à dos et de partir, raconte-t-elle. Je n’ose pas m’imaginer dans cette situation. »

Natif d’un village près de Lyon en France, Daniel Boulud est aujourd’hui à la tête d’un empire gastronomique qui compte sept restaurants à New York (dont le DANIEL, étoilé au guide Michelin) et plusieurs autres établissements à travers le monde. LUXE l’a rencontré en février dernier, alors qu’il faisait un saut à Maison Boulud, son restaurant montréalais installé au Ritz-Carlton.

 

Malgré un emploi du temps chargé, Daniel Boulud garde toujours le sourire et dégage une énergie sereine. « J’adore mon métier, même s’il est parfois éprouvant », lance-t-il. Voilà, le mot est lâché : passion. On pourrait même dire vocation. Car à quatorze ans, alors qu’il habitait encore sur la ferme de ses parents à Saint-Pierre-de-Chandieu près de Lyon, le jeune garçon rêvait déjà de devenir chef, même s’il n’allait jamais au restaurant. « Sur la ferme, on produisait tout ce dont on avait besoin. Le lait, le fromage, les légumes, le poulet, le canard. Je cuisinais beaucoup avec ma grand-mère. Cette éducation m’a appris très tôt à respecter les produits et à les utiliser selon les saisons », explique-t-il.

 

Le jeune Daniel ne se plaît pas à l’école. Mais, par un heureux hasard, une voisine se sert de ses relations et lui permet d’entrer comme apprenti dans un grand restaurant de la région. Il n’en faut pas plus pour lancer la carrière de celui qui deviendra bientôt le chef français préféré des New-Yorkais.

Le rêve américain

Après avoir travaillé en France avec les plus grands chefs (Roger Vergé, Georges Blanc, Michel Guérard), Daniel Boulud décide, en 1980, de partir aux États-Unis. Il fait sa marque dans des restaurants de renom, notamment Le Régence de l’Hôtel Plaza Athénée. Mais c’est en devenant chef du légendaire restaurant Le Cirque qu’il se fait un nom. « C’était l’occasion de montrer ce dont j’étais capable. J’ai obtenu une cote de quatre étoiles du New York Times. » En 1993, il ouvre le restaurant DANIEL, dans Manhattan, qui obtient rapidement un vif succès. « Je prépare une cuisine française contemporaine inspirée des saisons et imprégnée de la culture cosmopolite de New York », dit-il. Puis, au fil des années, il en ouvre six autres dans la seule Grosse Pomme, chacun proposant une ambiance et des spécialités uniques. Aujourd’hui, homme d’affaires accompli, Daniel Boulud gère un empire gastronomique s’étendant de Montréal à Singapour, en passant par Boston, Miami, Washington, Las Vegas, Londres et Toronto. Rien d’étonnant si le chef possède cinq téléphones portables : « Un pour la France, un pour le Canada, deux pour les États-Unis et un pour l’Asie! », précise-t-il en riant.

Un homme généreux

Mais cette réussite ne serait rien pour Daniel Boulud si elle ne lui servait pas à aider les autres. « Avoir une grande réputation de chef, c’est bien, mais c’est encore mieux si on l’utilise pour de bonnes causes. Ça, c’est le réel aboutissement personnel », confie-t-il. C’est pourquoi il est le co-président de Citymeals on Wheels et, au sein de cette fondation, il a créé le mouvement Chefs Deliver. Sa mission? Servir des plats concoctés par des chefs à des personnes âgées qui ne peuvent se déplacer au restaurant ou même cuisiner chez elles. Chaque mois, Daniel Boulud et cinquante de ses pairs se relaient ainsi pour préparer des centaines de plats qui seront livrés à domicile.

 

Autre activité qui tient à cœur au chef lyonnais : soutenir la relève afin de perpétuer le savoir-faire culinaire. Dans cette perspective, il a, avec deux de ses grands amis et chefs de renom, Thomas Keller et Jérôme Bocuse (le fils de Paul Bocuse), créé la Fondation Ment’or BKB. Cet organisme à but non lucratif vise à aider les jeunes professionnels à améliorer leur pratique grâce à des bourses qui leur permettront d’effectuer des stages aux quatre coins du monde. En outre, elle sélectionne chaque année le candidat qui représentera les États-Unis à la prestigieuse compétition culinaire des Bocuse d’Or en France. « L’an dernier, la médaille d’argent a été remportée pour la première fois par les États-Unis », déclare fièrement Daniel Boulud. Et d’ajouter : « Et on compte bien gagner la médaille d’or dans les années à venir! » À l’entendre, le chef français a réellement trouvé aux États-Unis une terre d’adoption. Et pourtant, quand on lui demande quel est son restaurant préféré, son cœur reste définitivement français : « C’est celui de Paul Bocuse à Lyon. Je le connais depuis le début de ma carrière et il restera toujours ma référence. »

Ses coups de cœur à Montréal

Bien entendu, quand il vient à Montréal, Daniel Boulud va rencontrer le talentueux chef Riccardo Bertolino, qui dirige la cuisine de la Maison Boulud. Mais il aime aussi découvrir de nouvelles adresses gourmandes. D’ailleurs, il nous confie avoir récemment succombé aux sandwichs d’Olive et Gourmando et aux accords mets et vins du Pullman. Il en profite aussi pour faire la tournée des restaurants de ses amis et chefs montréalais : Le Toqué!, le Ferreira Café ou encore le Montréal Plaza.

 

Pour en savoir plus : www.danielboulud.com

Fondation Ment’or BKB : www.mentorbkb.org

À Montréal : www.maisonboulud.com

Texte : Diane Stehle

Résultat d’une fusion entre la Fondation Justine-Lacoste-Beaubien et la Fondation Sainte-Justine, la Fondation CHU Sainte-Justine telle qu’on la connaît est née en 1987. Depuis vingt ans, grâce à la générosité de la communauté des affaires et du grand public et grâce à l’expertise de son personnel, elle remplit avec brio sa mission : guérir toujours mieux un plus grand nombre d’enfants.

 

« Il y a quarante ans, 85 % des enfants leucémiques décédaient. Aujourd’hui, on a renversé cette tendance et on continue de diminuer l’impact des effets secondaires des traitements », lance avec fierté Maud Cohen, présidente et directrice générale de la Fondation CHU Sainte-Justine. « La situation est la même en cardiologie : on effectuait auparavant des interventions à cœur ouvert très éprouvantes pour les enfants qui ont des malformations cardiaques. Aujourd’hui, on intervient avec de simples cathéters. Quant au domaine de la génétique, il a singulièrement progressé depuis quinze ans. La rapidité avec laquelle on diagnostique aujourd’hui ces maladies va bientôt nous permettre de nous consacrer à leur guérison », poursuit-elle.

 

Ces progrès fulgurants ont été obtenus en grande partie grâce à d’importants investissements dans la recherche, ce qui prouve que la présence d’institutions pédiatriques est essentielle. L’un des volets de la mission du CHU Sainte Justine est en effet d’injecter des fonds dans la recherche, en plus d’offrir des soins de santé spécialisés et de former des générations de pédiatres et de spécialistes.

Des campagnes d’envergure

Parmi ses plus récentes initiatives, la Fondation CHU Sainte-Justine compte la campagne Grandir en santé. Cet ambitieux projet vise la modernisation et l’agrandissement du CHU Sainte-Justine d’ici la fin de l’année. « Nous recevons ici des enfants et des familles qui ont souvent des décisions déchirantes à prendre. C’est important de leur offrir un bel environnement », commente Maud Cohen. Le nouveau bâtiment accueillera un centre de recherche moderne ainsi que les départements des soins intensifs, de la néonatologie et des salles de chirurgie. De plus, il sera pourvu de deux amphithéâtres destinés à l’enseignement. Patients, personnel, enseignants et chercheurs profiteront ainsi d’un milieu de vie, d’hospitalisation et de travail adapté à leurs besoins.

 

Depuis 2012, la Fondation a également lancé la campagne Plus mieux guérir. Le but? Investir dans de nouvelles approches de recherche, d’enseignement et de soins afin de toujours mieux guérir un plus grand nombre d’enfants. L’objectif est d’amasser 150 millions de dollars sur six ans. « Beaucoup d’enfants peuvent aujourd’hui survivre à une leucémie. Mais les effets secondaires des traitements, souvent mis au point pour les adultes, affectent la croissance des enfants. Cette campagne va nous permettre d’investir dans une recherche qui adaptera les traitements aux enfants. Et ce dans divers domaines », explique la présidente et directrice générale.

Comment faire pour aider

Il existe plusieurs manières d’aider la Fondation à accomplir sa mission. Bien entendu, le premier geste est de faire un don par l’intermédiaire du site Internet. On peut aussi organiser des activités au profit de la Fondation, comme le font de nombreux groupes communautaires tels que le Cercle des jeunes leaders, un groupe de jeunes très dynamiques. « Plus de 270 organismes mettent sur pied des activités chaque année. Tous ces bénévoles nous sont d’une aide extraordinaire. Nous leur procurons des outils pour organiser leur collecte de fonds, notamment un site Internet. » Les entreprises peuvent quant à elles s’associer à la Fondation par un don ou en s’associant à un événement spécifique. Plusieurs types de partenariats sont proposés. Le Grand Sapin et les activités du Cercle de jeunes leaders en sont des exemples très réussis.

 

« Notre institution est extraordinaire et elle est choyée par la communauté des affaires et le grand public. Mais les besoins sont toujours plus grands. Pour les projets de recherche, l’achat d’un équipement de pointe peut demander à lui seul un million de dollars. De plus, la médecine évolue à un tel rythme que nous devons constamment nous adapter si nous voulons offrir à nos enfants l’espoir d’un avenir en santé », conclut Maud Cohen.

Quelques chiffres qui en disent long

Chaque année :

  • 74 595 visites à l’urgence
  • 1 348 nouveau-nés admis aux soins intensifs de néonatalogie et dans les unités spécialisées
  • 887 enfants admis en hémato-oncologie
  • 433 enfants admis aux soins intensifs pédiatriques
  • Taux moyen actuel de survie des enfants nés prématurément et traités à Sainte-Justine : 93 % (contre 89 % en 2003)
  • 72 % des cas de traumatologie sévères sont traités au CHU Sainte-Justine
  • Taux moyen actuel de survie des patients leucémiques : 85 % (contre 15 % en 1960)
  • 5 enfants sur 10 sont dirigés à Sainte-Justine pour des soins spécialisés
  • 5 000 enfants accueillis chaque année par le Centre de réadaptation Marie Enfant, seul centre dédié à la réadaptation pédiatrique au Québec

 

Pour en savoir plus ou faire un don : www.fondationsaintejustine.org

Texte : Diane Stehle

Enchâssé dans un écrin de verdure, entre la rivière des Mille Îles d’un côté et les verts du Club Laval-sur-le-Lac de l’autre, L|L Laval-sur-le-Lac sera bientôt implanté sur la pointe ouest de l’île Jésus, au cœur d’un boisé centenaire. Environnement de rêve, lignes épurées et design contemporain, bienvenue dans l’un des plus prestigieux projets immobiliers de l’heure!

 

Le secteur est déjà réputé pour ses résidences cossues et son emblématique club de golf, l’un des plus anciens au pays. Le projet L|L Laval-sur-le-Lac est néanmoins le premier du genre dans ce quartier : « C’est le seul et unique projet de condos à Laval-sur-le-Lac », précise Maxime Laporte, Directeur du développement immobilier chez Groupe Quorum.

 

Ce qui le distingue particulièrement, c’est l’emplacement tout à fait exceptionnel dont il jouit. Judicieusement inséré entre l’emblématique terrain de golf et la rivière – « entre le vert et le bleu », comme le font valoir les promoteurs –, à deux pas du lac des Deux-Montagnes et à proximité des Laurentides, le complexe de copropriétés L|L offrira à ses résidents un environnement et une qualité de vie tout à fait incomparables. Le Groupe Quorum et le Groupe Marsan, les promoteurs de ce projet haut de gamme, ont vu grand, et le résultat est vraiment impressionnant.

 

Une équipe talentueuse

La qualité des professionnels retenus y est certainement pour beaucoup. Joanne Godin, architecte chez Lemay, et Alain Desgagné, designer d’Innédesign, ont mis en commun leurs efforts, leur talent et leur créativité afin de concevoir un projet immobilier de grande classe. Le fruit de ce travail d’équipe est remarquable : les quatre immeubles d’une hauteur de sept étages s’intègrent littéralement à la nature environnante. Légers et aériens, ils semblent flotter, posés sur leur base transparente en retrait. « C’est vraiment fidèle au courant artistique Bauhaus, qui reste une référence en art et en architecture : des lignes simples et une inspiration juste, qui laissent le volume libre, pour qu’il puisse être aménagé de n’importe quelle façon », explique Alain Desgagné.

 

Un cadre de vie exceptionnel

Chacun des quatre pavillons abrite de 24 à 30 appartements, d’une superficie variant entre 1 650 et 3 978 pi2, ce qui explique que le nombre total fluctue. Chaque condo ou appartement-terrasse (penthouse) est pourvu de fenêtres de pleine hauteur. Comme les plafonds sont hauts, la lumière pénètre généreusement et la nature s’invite à l’intérieur. Sérénité garantie! Placés en porte-à-faux, les vastes balcons-terrasses sont cintrés de garde-corps vitrés, pour une transparence optimale. C’est l’endroit idéal pour prendre l’apéritif en bonne compagnie tout en admirant la beauté du site. Dans chaque détail, l’esthétisme et le raffinement ont guidé les concepteurs. « On a essayé de faire quelque chose qui va traverser le temps », souligne Alain Desgagné.

 

Quant à la configuration intérieure des appartements, tout est possible, dans le respect de l’intégrité structurale, bien sûr. Changer l’emplacement de la cuisine pour celui du salon? Pas de problème. « Nous savons faire preuve d’une grande souplesse, assure Maxime Laporte. Les acheteurs qui le désirent peuvent modifier les plans de base à leur guise, avec l’aide de nos designers, pour s’offrir unespace de vieà leur image. Ce qu’on vise, c’est de ne jamais dire non au client et de tout faire pour lui livrer l’appartement de ses rêves », conclut-il.

 

Les copropriétaires jouiront d’espaces communs dignes d’un club privé de luxe, dont un court de tennis extérieur, un studio de conditionnement physique à la fine pointe de la technologie et une superbe piscine intérieure à débordement, semblant littéralement se déverser au-dehors. Ils bénéficieront aussi d’un grand lounge privé avec terrasse, pour les rencontres impromptues ou les réceptions privées (sur réservation).

 

La prévente

« Le prix des appartements varie de 600 000 $ à 1,6 million environ », selon Maxime Laporte, et les avantages sont proportionnels à la mise : qualité, beauté et sérénité sont au rendez-vous.

 

Comme prévu à l’échéancier du projet, la construction de la phase 1, qui contiendra les aires communes, commencera ce printemps, et les ventes vont bon train, puisque la moitié de ce premier pavillon est déjà vendue. Les promoteurs pensent livrer les premiers appartements à l’été 2017. Conçu et aménagé par le designer Alain Desgagné, un condo modèle entièrement meublé, de 1 749 pi2, vous attend dans le pavillon des ventes (voir coordonnées ci-dessous). Invitant, n’est-ce pas?

Points saillants

  • Quatre pavillons distincts de 24 à 30 appartements chacun avec vue sur la rivière ou sur le golf
  • Condos de 2 ou 3 chambres, superficie de 1 650 à 2 528 pi2
  • Penthouses sur un ou deux niveaux avec mezzanine, superficie de 3 328 à 3 978 pi2
  • Plafonds de 9 à 10 pieds et fenestration pleine hauteur
  • Balcons-terrasses aux garde-corps épurés
  • Aires communes : piscine intérieure à débordement, vaste lounge privé avec terrasse, studio de conditionnement physique ultramoderne, court de tennis extérieur et paisible jardin privé aménagé
  • Prix variant de 600 000 $ à 1,6 million
  • Début des travaux au printemps 2016

Pour plus d’information

Pavillon des ventes
1000, rue Les Érables
Laval, Québec
Tél. : 450 627-7277

Heures d’ouverture

Les lundis et mercredis : de 12 h à 19 h
Les samedis et dimanches : 12 h à 17 h

 

www.llsurlelac.com

 

Texte : Sylvie Lamothe

Situés sur le boulevard René-Lévesque Ouest, à quelques minutes de marche des principaux commerces et restaurants du centre-ville ainsi que du Centre Bell, les luxueux condominiums du Roccabella combinent élégance et confort à l’italienne pour offrir un cadre de vie exceptionnel.

 

Constitué de deux tours élancées de 40 étages, le complexe immobilier Roccabella connaît un vif succès depuis ses débuts. Pour preuve, la quasi-totalité des condominiums de la première tour a été vendue et la vente va bon train pour la deuxième tour.

 

L’élégance italienne

Comment expliquer un tel engouement? Par le caractère unique du projet sans doute et aussi par son emplacement idéal. Le Roccabella est en effet à  proximité des principaux commerces et restaurants du centre-ville et à deux pas de plusieurs stations de métro, de la Gare Centrale de Montréal et des accès aux autoroutes. De plus, il présente un accès direct au boulevard René-Lévesque, ce qui permet aux résidents de rentrer chez eux sans être dérangés, même lors d’un événement d’envergure au Centre Bell.

 

 

Quant aux condominiums (298 dont deux penthouses), ils s’élèvent, à partir du troisième étage, à quelque 47 pieds au-dessus du boulevard René-Lévesque. Leur vue sur la ville est donc imprenable. De plus, leur aménagement sophistiqué de style italien leur confère un charme tout particulier. D’une superficie de 736 à 2 600 pieds carrés (avec une terrasse de 1 100 pieds carrés pour les penthouses), ils sont dotés d’une à trois chambres à coucher et de superbes cuisines munies d’un mobilier haut de gamme et de comptoirs en marbre, en quartz ou en granit, provenant tout droit d’Italie. La salle de bain et la vaste penderie font écho à la cuisine par leur élégante touche italienne.

Des espaces communs et commerciaux

Du rez-de-chaussée au deuxième étage se trouve un basilaire entièrement consacré aux espaces communs et commerciaux. Il abrite une majestueuse piscine intérieure s’ouvrant sur l’extérieur durant la belle saison, une salle d’entraînement bien équipée, un studio de yoga et de Pilates, un spa, une salle de réception multifonctionnelle, un cinéma, un sauna et un jacuzzi. Sur le toit du basilaire, d’immenses terrasses communautaires accueillent les résidents dès qu’un rayon de soleil se pointe.

 

 

Bref, le Roccabella est l’endroit rêvé pour tous ceux qui souhaitent profiter de l’effervescence de la ville, tout en bénéficiant d’un chez-soi confortable et paisible, au cœur d’un complexe raffiné et luxueux.

 

2e tour : occupation fin 2017

298 condos, dont 2 penthouses, sur 40 étages

Superficie : 1 à 3 chambres à coucher, de 736 à 2 600 pieds carrés

Prix : à partir de 350 000 $

Caractéristiques principales

  • Accès au bâtiment sécurisé avec agent de sécurité 24/24, 7/7
  • Stationnement intérieur sur 5 niveaux
  • Salle de conditionnement physique
  • 17 000 pieds carrés de terrasses communes
  • Piscine intérieure à l’eau salée
  • Sauna et Jacuzzi
  • Salle de réception et salles de conférence
  • Salle de cinéma, salle de billard
  • Espaces commerciaux

Bureau des ventes

1059, rue de la Montagne
Bureau 250
Montréal, Québec  H3G 0B9
Tél.: 514 838-2000
info@roccabella.ca

 

Du lundi au vendredi, de midi à 19 h

Samedi et dimanche, de midi à 17 h

 

www.roccabella.ca

Texte : Diane Stehle

Que diriez-vous d’un immeuble élégant et moderne combinant des appartements luxueux, un hôtel-boutique et une magnifique galerie d’art – le tout, dans un emplacement idéal au centre-ville d’Ottawa? C’est ce que vous propose DevMcGill, en collaboration avec la Galerie d’art d’Ottawa, l’Université d’Ottawa et Le Groupe Germain. Les amoureux de la culture comme tous ceux qui cherchent un style de vie unique en plein cœur de l’effervescence urbaine seront comblés.

 

Couronné du titre d’Entrepreneur de l’année ainsi que du prestigieux Prix du patrimoine architectural de Montréal, DevMcGill s’est imposé au Canada comme un promoteur immobilier incontournable. Avec le projet Arthaus, son savoir-faire hors pair se double d’une audace qui le démarque à nouveau. Pour la première fois au Canada, une tour résidentielle accueille sous le même toit des condominiums de luxe, une galerie d’art et un hôtel-boutique. Les résidents vivent ainsi une immersion culturelle totale, en plein cœur d’Ottawa.

 

De somptueux condominiums

Situés entre le 15e et le 23e étage, les 89 condominiums (dont quatre penthouses) offrent un panorama à couper le souffle sur Ottawa et ses environs, et ce, quel que soit le positionnement de l’appartement. À l’est, on aperçoit de nombreux arbres, des maisons et d’anciens édifices ainsi que le campus de l’Université d’Ottawa; à l’ouest, la vue sur le centre-ville, le Parlement et ses spectacles nocturnes magiques est imprenable; enfin, au nord, les collines de l’Outaouais du nord de Gatineau se dressent fièrement à l’horizon.

 

Tous les condos sont pourvus d’au moins une chambre à coucher, d’un salon, d’une salle à manger et d’une salle de bain (deux pour les condos de deux chambres) avec douches vitrées et pommeaux de douche à effet de pluie. Ils bénéficient également d’une élégante cuisine à aire ouverte, conçue par le designer torontois U31, munie d’électroménagers européens intégrés. Deux condominiums peuvent en outre être jumelés pour obtenir trois chambres.

 

 

Quant aux penthouses, ils se distinguent par deux ou trois chambres à coucher, leurs deux salles de bain et leur salle d’eau (pratique pour les invités!) ainsi que par une cuisinière au gaz dans la cuisine et une sortie de gaz extérieure pour faciliter le barbecue. Ceux qui le souhaitent peuvent aussi faire installer un foyer au gaz. Afin qu’ils puissent personnaliser leur décor à leur goût, les propriétaires sont invités à choisir parmi un éventail de finis haut de gamme, sélectionnés par des designers de renom. De plus, au-delà du choix des matériaux, ils bénéficient de conseils d’experts pour configurer leur espace sur mesure. Notons que dans les appartements-terrasses, un système de domotique ultramoderne pour contrôler la lumière, la musique et le système d’alarme peut être installé sur demande.

 

Autre caractéristique de ces condominiums : leur luminosité exceptionnelle, soulignée par d’immenses baies vitrées ainsi que par des plafonds de 9 à 10 pieds (14 pour les penthouses). De plus, la majorité de ces appartements, et tous les penthouses, possèdent un balcon ou une terrasse en loggia. De quoi se sentir presque dans les nuages, avec la ville d’Ottawa à ses pieds!

Des espaces exclusifs

En plus de profiter d’un appartement au confort unique, les résidents disposent d’aires communes bien aménagées. Le 15e étage abrite en effet le Salon Firestone, un lieu privé de divertissement incluant une cuisine et une salle à manger, afin d’organiser des évènements officiels ou des soirées entre amis. Il héberge aussi une salle de conditionnement physique équipée d’appareils dernier cri et dotée d’espaces destinés au yoga et à la musculation. Sur le toit de l’immeuble, la terrasse avec foyer extérieur et zones de repos est un véritable havre de paix. En toutes saisons, rien de plus agréable que de se prélasser sous les étoiles ou d’admirer la vue exceptionnelle. En outre, une place de stationnement intérieur est offerte avec la plupart des condos.

 

Enfin, pour assurer la sécurité des résidents, l’entrée de l’immeuble dispose d’un service de conciergerie virtuel à la fine pointe de la technologie ainsi que d’un interphone et de caméras qui fonctionnent 24 heures sur 24. De jour comme de nuit, la tranquillité d’esprit est garantie!

La galerie d’art et l’hôtel-boutique

Véritable joyau architectural, la tour résidentielle ArtHaus se distingue également par sa galerie d’art, située au rez-de-chaussée, ainsi que par son hôtel-boutique Le Germain, qui surplombe la galerie.

 

 

La Galerie d’art d’Ottawa regroupe de vastes salles destinées à l’exposition d’œuvres des artistes les plus en vue, ainsi qu’un espace de projection multidisciplinaire. De plus, elle héberge l’Institut canadien du film. Pour permettre à ses visiteurs de faire une pause entre deux expositions, elle dispose également d’un café à l’ambiance chaleureuse. Cerise sur le gâteau, plusieurs œuvres de la galerie sont exposées sur les murs des aires communes du bâtiment, procurant aux résidents un environnement unique. De plus, ceux-ci bénéficient d’un programme avant-gardiste leur permettant de louer une toile à moindre coût afin de l’admirer chez eux.

 

Quant à l’hôtel-boutique Le Germain, dont la signature est bien connue pour allier élégance, confort et service personnalisé, il offrira un séjour inoubliable aux passionnés de design et à tous ceux qui souhaitent partir à la conquête d’Ottawa.

 

Afin de prolonger leur expérience urbaine et culturelle, les résidents de l’ArtHaus comme les visiteurs de passage à l’hôtel ou à la Galerie d’Ottawa pourront découvrir les nombreux restaurants, bistros, boîtes de nuit et cafés situés dans le quartier du marché By et du Centre Rideau. Et s’ils veulent se rendre à l’autre bout de la ville, la nouvelle ligne de SLR (système de transport sur rail) est déjà à leur disposition!

 

 

Adresse de l’ArtHaus : 20 Daly Avenue, Ottawa

 

  • 85 condos de style contemporain entre le 15e et le 22e étage à partir de 250 000 $
  • 4 appartements-terrasses (penthouses) au 23e étage de 1 500 à 2 200 pieds carrés (prix à partir de 1 M$)
  • Salle d’entraînement au 15e étage
  • Terrasse et jardin d’hiver sur le toit de l’immeuble
  • Stationnement intérieur
  • Entrée privée sécurisée avec service de conciergerie
  • Salon avec foyer, cuisine et salle à manger à la disposition des résidents
  • Approche de construction écoresponsable
  • À proximité des transports en commun
  • Aux abords du marché By, près du Centre Rideau

Bureau des ventes

264, Rideau Street
Ottawa, Ontario K1N 5Y2
Tél. : 613 909-3223

 

www.arthauscondos.com

 

Texte : Diane Stehle