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Marival Resorts, une entreprise familiale fondée il y a plus de 30 ans, monte la barre de l’industrie hôtelière avec la création du complexe Marival Armony Luxury Resort, un tout nouvel hôtel de type tout-inclus offrant des services incomparables et des paysages à couper le souffle. Situé à Punta de Mita au Mexique, le Marival Armony se targue d’offrir des services et des installations haut de gamme au cœur d’un milieu naturel des plus enchanteurs.

Un paysage à faire rêver

Le Marival Armony Luxury Resort ouvre officiellement ses portes aux voyageurs du monde entier dans un cadre naturel des plus enchanteurs, voire le plus spectaculaire de la région. « Ce qui rend le Marival Armony unique, c’est qu’il est niché près d’une crique, le long de la plus belle plage de la baie. Vous pouvez vous promener le long de la plage de sable blanc ou encore vous avancer quelques mètres dans l’océan pour admirer le paysage magique et époustouflant de Punta de Mita », affirme Nuit Hernández, directrice des ventes pour le marché du luxe. La vue qu’offrent les chambres est sublime : la végétation luxuriante des montagnes est d’un magnifique contraste avec les rochers, l’océan et la verdure qui entourent l’hôtel.

Ce qui rend le Marival Armony unique, c’est qu’il est niché près d’une crique, le long de la plus belle plage de la baie.

 

Un spa unique en son genre

Le Marival Armony incarne un parfait équilibre avec la nature environnante : les visiteurs peuvent profiter d’un séjour à saveur tropicale des plus sereins en relaxant dans une atmosphère détendue, tout en profitant d’une vaste gamme de restaurants, de bars à même les piscines, de piscines et de spas. « Le spa Melange World a été conçu pour évoquer des lieux de partout dans le monde, et l’aménagement de chacune de ses salles de traitement est inspiré de différents pays », explique Nuit Hernández. « Les clients du spa peuvent se détendre pleinement dans nos jacuzzis et nos salles humides, ou encore se laisser dorloter grâce à nos massages et à nos soins de beauté comme les manucures et les pédicures. Notre autre complexe Marival Distinct Luxury Residences offre également un centre de spa Melange. »

Pour familles et adultes seulement

Le Marival Armony offre des suites de 1, 2 ou 3 chambres, afin de profiter de vacances familiales et intergénérationnelles dignes de la réputation de la marque Marival. « Les familles sont bien entendu au cœur de la marque Marival, mais ce qui distingue le complexe Marival Armony, c’est sans aucun doute son magnifique espace hôtelier pour adultes seulement, dans un environnement offrant une expérience supérieure et intime à nos clients qui voyagent sans enfants », affirme Nuit Hernández. Marival Resorts monte assurément la barre de l’industrie hôtelière; aucun effort n’est mis de côté pour rendre vos vacances tout à fait inoubliables.

 

Chambre principale de la suite Lush

À propos du Marival Group

Reconnu à l’échelle mondiale pour l’excellence de ses services et de ses suites, le Marival Group est un pionnier en matière d’hébergement familial tout inclus à Riviera Nayarit, au Mexique. La chaîne hôtelière propose aussi le complexe haut de gamme Marival Distinct Luxury Residences et le complexe Marival Emotions Resorts & Suites. Entre le Marival Distinct et le Marival Emotions, les visiteurs trouvent leur compte parmi plus de 11 restaurants, une foule d’activités pour enfants, adolescents, adultes et familles entières, en plus des spectacles offerts chaque soir et des divertissements nocturnes.

Le Marival Armony Luxury Resort ouvre officiellement ses portes aux voyageurs du monde entier dans un cadre naturel des plus enchanteurs, voire le plus spectaculaire de la région.

www.marivalresorts.com

 

Texte : Alecs Kakon

Les magasins Printemps Haussmann à Paris et Saks Fifth Avenue à New York, l’Al Badia Golf Club à Dubaï, le restaurant Nobu Downtown à New York, les hôtels Four Seasons à Las Vegas et, plus récemment, à Montréal : aux quatre coins de la planète, les établissements de luxe s’arrachent ses œuvres. Il faut dire qu’en vingt ans de carrière, Pascale Girardin a développé un style unique. Qu’il s’agisse d’installations, d’œuvres d’art intégrées à l’architecture, de vaisselle ou d’objets d’art, sa signature est immédiatement reconnaissable. Elle a reçu LUXE dans son atelier du quartier Rosemont.

 

 

Le visage avenant et serein, Pascale Girardin nous accueille ce matin dans son studio lumineux de 4 000 pieds carrés. Autour d’elle, sa « brigade », une équipe de sept artistes céramistes, dont la moyenne d’âge doit avoisiner les vingt-cinq ans (et dont fait partie son fils Wolfe). « Même si je leur propose ma vision lors de la réalisation d’un projet, contrairement à un chef de cuisine, je reste ouverte à toute suggestion. Nos échanges m’enrichissent et me permettent de faire évoluer ma pratique. » Transmettre, échanger, évoluer. Trois notions sur lesquelles elle reviendra souvent au cours de notre rencontre et qui semblent au cœur de son approche humaine et professionnelle.

 

Saks Fifth Avenue, New York

 

D’ailleurs, après vingt-cinq ans de métier, en pleine possession de son art, Pascale Girardin a décidé il y a un an de retourner sur les bancs de l’école pour suivre une maîtrise en arts visuels à l’UQAM. « J’avais besoin de réfléchir sur le processus créatif, sur notre relation à la matière dans la découverte de soi-même. Souvent, on veut aller vers quelque chose, mais on constate que le résultat n’est pas ce qu’on avait en tête au début. »

 

Être ouvert à la découverte et à l’imprévisible. Voilà ce que l’artiste a rapidement appris en travaillant l’argile. Car celle-ci est très capricieuse : « Il faut accepter que la matière nous enseigne plutôt que d’essayer de tout maîtriser. Je développe ma pratique avec l’humilité totale du débutant, et plus j’en connais, moins j’en connais. Mais c’est ce qui est merveilleux et qui me motive à continuer! Je dis toujours à mes clients : “ça devrait marcher”, sans que ce ne soit jamais une certitude », explique-t-elle.

 

Celle qui a étudié en biologie avant de suivre une formation en arts plastiques et en arts visuels passe pourtant de longues heures à élaborer la formule chimique qui permettra d’obtenir le coloris et le produit imaginé. Mais une foule d’obstacles peuvent survenir dans la création d’une céramique : elle peut exploser dans le four, s’affaisser, se déformer, se fendre. Et il faut être prêt à se relever de ces échecs rapidement. « Dans ce métier, on ne peut pas pleurer sur le passé, sur toutes les heures perdues. On recommence et la pensée change », raconte Pascale Girardin.

 

West Edmonton Mail

Rêverie et bouddhisme zen

Selon le bouddhisme zen, c’est d’ailleurs lorsqu’on abandonne sa conception de ce qu’une chose est censée être qu’on l’apprécie pour ce qu’elle est. Cette philosophie, Pascale Girardin l’a complètement adoptée. Plutôt que de mettre au rebut les œuvres imparfaites, elle les pose sur une étagère de son atelier et attend. « Après des jours, des semaines et même des mois de gestation, je fais des liens nouveaux et l’une d’elles se dévoile enfin. » C’est ainsi que sa série de totems a vu le jour.

 

Lâcher prise, laisser son esprit se perdre dans la rêverie, l’artiste en a fait son mantra personnel. Son blogue fait d’ailleurs régulièrement part de ses « drifts », c’est-à-dire de ses « errances » artistiques, de ses pensées vagabondes qui peuvent évoluer et mener à une idée. Férue d’ouvrages érudits, elle a trouvé écho à ses recherches dans celles du philosophe français Gaston Bachelard, qui s’est lui-même beaucoup intéressé au rôle de la rêverie dans la création. D’un point de vue artistique, ses autres sources d’inspiration se trouvent du côté du Japon, en particulier de la céramique de la période Edo, pour son esthétique minimaliste et abstraite. La génération actuelle, qu’elle côtoie au quotidien au sein de son atelier, mais aussi à l’École des arts visuels et médiatiques de l’UQAM où elle enseigne, est également un puissant tremplin pour se renouveler.

 

En plus de ses prochaines commandes pour Saks Fifth Avenue, pour le Convention Center de Las Vegas ou encore pour des bateaux de croisière de luxe, Pascale Girardin prépare pour le mois de mai 2020 une exposition qui mêlera céramique, installation au sol et projection vidéo. L’occasion pour elle de nous faire part du fruit de ses recherches, notamment sa réflexion sur le lien qu’entretiennent ces différents médiums, en véritables « vases communicants ». À ne manquer sous aucun prétexte.

 

Nobu Downtown, New York

 

www.pascalegirardin.com

 

Texte : Diane Stehle

Photos : © Stephany Hildebrand

Après avoir vécu de nombreuses expériences au cours de son existence, Robert Rahal a décidé de prendre un peu de recul afin d’en dégager le sens. Laissant derrière lui une carrière plutôt conventionnelle, il a décidé d’explorer son plein potentiel artistique et de vivre de sa passion. Il y a cinq ans à peine, Robert Rahal apprivoisait pour la toute première fois le mouvement d’un pinceau sur la toile… mouvement qui perdure depuis. L’artiste exprime ses pensées et sentiments les plus profonds sous une forme circulaire, explorant la liberté au cœur même des frontières de son univers intérieur.

 

Expressionnisme abstrait

Un art qui exprime le caractère primitif de la vie : voici ce qui définit l’œuvre de Robert Rahal. Par le truchement d’un expressionnisme abstrait représenté par un coup de pinceau parfaitement maîtrisé, l’artiste illustre tant sa non-conformité que son aspiration à la liberté. « Peindre me procure du bien-être. J’éprouve un grand réconfort à manipuler le pinceau et le sentir glisser sur la toile », affirme-t-il. Les fines lignes dansant dans une parfaite symétrie qui composent son œuvre dévoilent une certaine anxiété ainsi qu’un désir de garder le contrôle. L’artiste utilise cependant une palette chromatique qui nous donne l’impression d’une attitude enjouée et plutôt désinvolte : « Ma vie est tel le canevas, avec des bordures qui représentent ses frontières ainsi qu’un univers contrôlé, défini. Et moi, je suis le cercle. Je ne suis pas libre, mais la couleur me permet de sortir de cette zone de confort. »

 

La représentation et la vie

Savoir apprécier l’art requiert une compréhension de son processus créatif. Le dynamisme et le mouvement sont ressentis lorsque l’on observe la circularité des œuvres de Robert Rahal. L’intention derrière chaque coup de pinceau émane de pièces tridimensionnelles; quiconque a déjà vu ses œuvres en personne a forcément ressenti une émotion au plus profond de lui-même à cet instant. « L’expressionnisme abstrait est gestuel et rempli d’émotions spontanées. Mes toiles sont caractérisées par l’action, elles sont créées par le mouvement », explique l’artiste. « J’espère qu’elles suscitent des émotions, car j’en ressens lorsque je les crée. » Que ce soit par sa palette chromatique organique ou encore ses formes circulaires parfaitement symétriques, centrées et conçues, les œuvres de Robert Rahal ont la vocation de représenter leur maître ainsi que sa perception du monde qui l’entoure. En revanche, elles amènent celui qui les contemple à s’interroger sur la place qu’il occupe dans l’univers.

 

Le succès dans le monde artistique contemporain

Pour vivre de leur passion, les artistes d’aujourd’hui doivent avoir la fibre entrepreneure. Les artistes qui, comme Robert Rahal, ont connu le succès rapidement dans leur carrière artistique sont peu nombreux. « Je n’ai jamais eu à pousser mon art. Bien sûr, j’ai exposé mes œuvres et j’ai fait quelques vernissages, mais j’ai surtout eu le privilège d’être reconnu rapidement comme artiste émergent », raconte l’artiste. Robert Rahal a vendu des œuvres à l’exposition Context Art lors de la semaine Art Basel Miami, tandis que d’autres œuvres sont entre les mains de courtiers artistiques à Boston. Il est aussi représenté localement, et il a récemment créé une œuvre originale pour le concert Raise Your Glass : A Backyard Concert, qui a eu lieu en octobre 2019 à Pacific Palisades au profit des organismes UCLA Health et Teen Cancer America. Son œuvre, signée par Roger Daltrey et Pete Townsend du groupe légendaire The Who, figurait parmi les prix officiels de l’encan.

 

L’inspiration est omniprésente 

« Mon approche artistique est plutôt organique. Je n’ai jamais suivi de plan; je choisis simplement une couleur et c’est elle qui me guide. L’expérience est lucide. » Robert Rahal peut se tenir devant une œuvre dans un musée pendant des heures, non pas pour contempler l’œuvre en soi, mais plutôt pour analyser son processus de création. « Je suis fasciné par le mouvement présent dans les œuvres de Jackson Pollock. Sa liberté d’expression transcende les éclaboussures de peinture, j’en ai des frissons », dit-il. Alors qu’il aborde son art avec une rigueur absolue, il souhaiterait se laisser aller davantage pour mieux apprivoiser l’imperfection. Il s’engage à explorer la vie et toute sa signification par l’art, sa fibre existentielle, et il a appris que le processus est une expérience continue, en constante évolution. « Avant, j’avais une idée préconçue de ce que devait être l’art, mais j’ai compris que l’art est une émotion, et j’ai appris à avoir confiance en mon évolution, car après tout nous évoluons tous. »

 

 

www.robertrahal.com

 

Texte : Alecs Kakon

Photos : © Andrew Nowacki

La fébrilité était palpable le 26 septembre dernier au cœur du Quartier des spectacles : Devimco Immobilier, le Fonds immobilier de solidarité FTQ et Fiera Immobilier effectuaient la première pelletée de terre du projet Maestria Condominiums. Plus grand projet résidentiel à usage mixte jamais construit à Montréal, Maestria Condominiums permettra aux futurs résidents d’être aux premières loges de la vie artistique et culturelle à Montréal.

 

Implanté au cœur du Quartier des spectacles de la métropole, sur l’ancien terrain du mythique Spectrum de Montréal, Maestria Condominiums offrira un emplacement idéal à tous les amoureux de la culture et de l’art pour profiter de toutes les activités de la ville. Réalisée par la firme réputée Lemay, l’architecture du projet est elle-même un clin d’œil au Quartier des spectacles. Les deux tours asymétriques de 57 et 61 étages reflètent en effet une fluidité et une mouvance évoquant une symphonie. En plus d’abriter des appartements ultra-luxueux, elles seront liées par la plus haute passerelle aérienne résidentielle sur deux étages au Québec, offrant des vues imprenables à 360 degrés sur la Place des festivals.

 

Inspiré des arts, de la beauté et de la créativité, Maestria Condominiums puise son essence architecturale dans le mythique nombre d’or, symbole d’idéal permettant d’atteindre l’harmonie ultime. Une magnifique vidéo publicitaire a d’ailleurs été lancée en même temps que la deuxième phase du projet, faisant référence au relief de l’homme de Vitruve, le célèbre dessin de Léonard de Vinci, et célébrant la magie des arts. Une première dans le domaine du marché immobilier au Québec.

 

 

« Cette création incarne le côté émotionnel et sensationnel que procure l’art, que ce soit par la danse, le chant, la musique, les arts visuels ou l’écriture. Notre objectif était de personnifier ces différentes formes d’art en faisant la démonstration que les résidents de Maestria Condominiums feront partie intégrante, au quotidien, de ce secteur artistique de Montréal », explique Marco Fontaine, vice-président, Développement immobilier, résidentiel et marketing, chez Devimco Immobilier. La vidéo sera projetée en continu dans le bureau des ventes et sera visible par les passants de la rue Sainte-Catherine Ouest.

 

Salle à manger

Salle de lecture

Piscine extérieure

Un milieu de vie unique

Visant une certification LEED, le projet intégrera les meilleures pratiques en matière de développement durable et d’écoresponsabilité. Espaces verts, basilaire commercial, multiples aires de détente, infrastructures sportives : Maestria Condominiums offrira un cadre de vie exceptionnel à ses résidents avec plus 40 000 pieds carrés d’espaces communs.

 

De plus, une placette publique sera également accessible à tous. On y trouvera des restaurants de marque, des lieux de divertissement, des commerces de proximité et de services, de même que des espaces à bureaux.

 

Alors que 75 % des 438 condos de la première tour se sont vendus en quelques mois seulement, les partenaires du projet ont profité de la cérémonie de pelletée de terre pour annoncer officiellement la mise en vente de la deuxième tour qui comprendra 611 copropriétés et 340 unités locatives. À qui la chance?

 

  • 1 750 unités résidentielles de 300 à 2 200 pi2
  • 40 000 pi2 d’espaces communs
  • Espaces verts favorisant la biodiversité urbaine
  • Placette publique accessible à tous
  • Salle d’entraînement, spa, piscines intérieure et extérieure
  • 2 Skylounges avec terrasses aux 26eet 27e étages
  • Piano Lounge et espace de création
  • Salle de jeux et de golf virtuel
  • Salle à manger, salle de projection, salle de lecture et centre d’affaires
  • Lobby très spacieux
  • Stationnement intérieur
  • Basilaire commercial de 50 000 pi2

 

www.maestriacondos.com

 

Texte : Diane Stehle

Photos : © Devimco Immobilier

Restaurants, parcs, cinéma, épiceries fines et autres commerces : le quartier Rosemont–La Petite-Patrie est en pleine effervescence. C’est justement à deux pas de la dynamique rue Beaubien et du parc Molson, dans la rue des Érables, que le Castor des Érables a été bâti. Fruit d’une collaboration entre le promoteur immobilier de renom Parkhouse et L. McComber – Architecture Vivante, ce nouveau projet d’habitation propose trois maisons de ville intimes et luxueuses, construites selon les exigences les plus strictes.

 

Subtilement dissimulé derrière une façade patrimoniale respectant le caractère authentique du quartier, le Castor des Érables est constitué d’espaces lumineux et spacieux offrant une qualité de vie supérieure.

 

« Réputé pour la justesse de ses interventions et pour sa grande sensibilité au contexte, Laurent McComber, architecte fondateur de L. McComber – Architecture Vivante, a su créer la surprise derrière la façade patrimoniale de l’édifice. Résultat : trois unités d’habitation uniques et extrêmement bien pensées qui combinent la force d’évocation à la rigueur d’exécution », explique Martin Durocher, entrepreneur et associé principal de Parkhouse.

 

Cour arrière, garage fermé, fenestration abondante, planchers d’érable, planchers chauffants en béton poli, salles de bain dernier cri et cuisine bien équipée avec comptoir de quartz : rien n’a été laissé au hasard. Dans les trois unités – le Cottage(qui est déjà vendu), le Split Level et le Penthouse –, les plafonds atteignent jusqu’à 14 pieds. Combinés à une vaste fenestration, ils contribuent à une impression d’espace et de bien-être. L’extérieur n’est pas en reste. Dotée de terrasses allant de 306 à 560 pieds carrés, chaque unité permet de profiter pleinement des beaux jours. Toutes disposent également d’un garage fermé ainsi que d’une entrée privative.

 

Depuis 2009, l’arrondissement Rosemont–La Petite-Patrie se classe parmi les meilleurs en matière d’investissement immobilier. Faites vite et devenez propriétaire d’une maison unique dans ce magnifique quartier!

 

Le Penthouse

  • Étage et mezzanine
  • Superficie : 2 498 pi2
  • Chambres à coucher : 3
  • Salles de bain : 2,5
  • Stationnement : 1
  • Prix : à partir de 1 299 000 $

 

 

Le Split Level

  • Sous-sol et rez-de-chaussée
  • Superficie : 3 173 pi2
  • Chambres à coucher : 4
  • Salles de bain : 2
  • Stationnement : 1
  • Prix : à partir de 1 399 000 $

 

 

www.parkhou.se

 

Texte : Diane Stehle

Photos : © Parkhouse / Bardagi

L’automne nous donne envie de cocooner et de préparer de bons petits plats qui embaument dans toute la maison…

Romans

Faire tomber les masques

« Ce livre est l’histoire de mes mensonges. Sans doute est-ce le plus risqué que je n’écrirai jamais. » Depuis quelques années, Alexandre Jardin a entrepris une démarche d’authenticité. Ce roman en est l’aboutissement. L’auteur de Fanfan y confesse trente années d’imposture, tant dans sa vie personnelle que dans ses romans. Aveu d’honnêteté, ce livre est aussi une réflexion puissante sur le pouvoir de la littérature, sa capacité à falsifier la réalité, mais aussi à faire apparaître la vérité de celui qui l’embrasse corps et âme.

 

Le roman vrai d’Alexandre, d’Alexandre Jardin   ̶ Éd. de l’Observatoire

 

Haletant et engagé

Qui est ce père de famille qui décide un jour de prendre en otage le personnel et les patientes de cette clinique spécialisée dans les avortements? À travers le destin d’une foule de personnages, Jodi Picoult profite de cette journée cauchemardesque pour aborder avec intelligence la question de l’avortement, mais également celles des origines ethniques et sociales, de l’homosexualité et de la liberté. Tout en finesse, l’autrice de Mille petits riens poursuit son exploration des tabous de l’Amérique.

 

Une étincelle de vie de Jodi Picoult  ̶  Roman traduit de l’anglais (États-Unis) par Marie Chabin   ̶  Éd. Actes Sud

 

Une fable romanesque

Sur l’île où habite Samuel, l’homme obéit à sa femme. Gare à celui qui tente de s’émanciper, car des vigiles armés surveillent les rues. Marié, il devra satisfaire les désirs de Madame et se taire. Que peut un homme facilement remplaçable dans un monde où les femmes dominent toutes les sphères de la société? Avec toute la finesse et l’audace qui caractérisent son œuvre, l’auteur de L’orangeraie nous livre une fable romanesque qui ébranle nos préjugés et pose la question brûlante de la domination des sexes.

 

Le deuxième mari de Larry Tremblay   ̶Éd. Alto

 

Beaux livres

Bien manger et bouger

Alexandra Diaz, journaliste, animatrice et coauteure des best-sellers Famille futée nous revient cette fois avec plus de 100 recettes festives et délicieuses. Brunchs, déjeuners qui brisent la routine, tacos punchés, salades colorées ou sandwichs spectaculaires : tous les plats ont été approuvés par la nutritionniste sportive Mélanie Olivier. Passionnée de marche et de course à pied, Alexandra nous livre en plus les bienfaits de la course sur le physique et la santé mentale ainsi que les conseils de son coach, Pierre Léveillé, athlète olympique et propriétaire de la boutique Endurance. Bref, si vous souhaitez retrouver la forme tout en vous régalant, c’est le livre tout choisi!

 

Fiesta Santé, Mes recettes et mes trucs pour commencer à bouger et être débordante d’énergie d’Alexandra Diaz  ̶  Éd. de l’Homme

 

© Annie-France Charbonneau

Simplement délicieux

Yotam Ottolenghi, auteur à succès de sept livres de recettes dont Plenty et Sweet, chroniqueur, animateur et propriétaire d’épiceries fines et restaurants réputés à Londres, nous propose dans cet ouvrage des plats qui raviront les amateurs de cuisine facile et savoureuse. Brunchs, légumes, grains, pâtes, viande, poisson et desserts : on y trouve 140 délicieuses recettes pour les repas de tous les jours… et les festins des grandes occasions!

 

Simple de Yotam Ottolenghi   ̶ KO Éditions

 

Trésors de la forêt

Cet ouvrage magistral est bien plus qu’un livre de cuisine. Véritable bible des plantes comestibles du Québec, il perpétue des savoirs ancestraux et nous donne toutes les clés pour redécouvrir les trésors oubliés de notre terroir sauvage. Pratique et poétique, il contient plus de 100 recettes pour apprêter les délices forestiers.

 

FORÊT, Identifier, cueillir, cuisiner d’Ariane Paré-Le Gal et Gérald Le Gal ̶  Éd. Cardinal

 

Cuisine gourmande et sans viande

Jean-Philippe Cyr de La cuisine de Jean-Philippe nous revient en force avec 100 nouvelles recettes inspirées des classiques de nos grands-mères. À la fois drôle et séduisant, ce livre délivre les plus grands succès d’hier à aujourd’hui en version 100 % végane : cipaille, gâteau aux carottes, ragoût de boulettes, soupe à l’oignon, beignes maison… Des incontournables du comfort food interprétés avec la touche magique de la star de la cuisine végane.

 

Mes grands classiques véganes de Jean-Philippe Cyr   ̶Éd. Cardinal

 

Ludique et pratique

Il était temps : la végétalienne la plus populaire du Québec, Caroline Huard alias Loounie, lance enfin son premier livre de recettes. Elle y dévoile plus de 100 recettes végétaliennes sans produits transformés (ou presque!) ainsi qu’une foule d’idées et de conseils pour éprouver plus de plaisir et moins de stress devant les fourneaux.

 

Loounie cuisine : astuces et recettes 100 % végétales par Caroline Huard  ̶  KO Éditions

 

© Dominique Lafond

 

Texte : Diane Stehle